Après 15 ans de bons et loyaux services dans l'armée romaine, Artorius, dit Arthur (Clive Owen), n'aspire désormais plus qu'à la paix. Prévoyant de rentrer à Rome, loin de la guerre, il se voix chargé d'une dernière mission : ramener une famille patricienne au-delà du Mur d'Hadrien, où elle pourra prendre la route vers le continent en toute sécurité. Là, il découvre que l'Empire, qui domine la région depuis près de cinq siècle, a décidé d'abandonner la Bretagne, laissant le champ libre à l'invasion des terribles Saxons. Arthur et ses chevalier de la Table ronde se retrouvent alors devant un dilemme : partir, eux-aussi, vers Rome, ou bien protéger la population des hordes barbares qui détruisent tout sur leur passage...
Réalisé par Antoine Fuqua et produit par JerryBruckheimer, Le Roi Arthur (King Arthur) est l'énième adaptation de l'histoire des chevaliers de la Table ronde, qui a comme différence de ne pas vouloir raconter la légende, mais de replacer le récit au coeur de "l'Histoire vraie". Le film est sorti dans les sallesaméricaines le 7 juillet 2004, quelques jours après l'avant-première new-yorkaise, organisée le 28juin.
Les premières affiches reprennent le symbole de tous les films reprenant la légende arthurienne : l'épée Excalibur, comme figée dans sa pierre, avec en arrière plan une scène de bataille chevaleresque. Petite différence, l'arme est entourée de la pourpre des empereurs romains, replaçant le mythe dans l'Histoire. A noter, sur la première affiche, la référence à Pirates des Caraïbes, qui a triomphé au box-office quelques temps auparavant, et sur la seconde, la référence au film Training Day, réalisé par Fuqua.
L'affiche officielle se voit supprimer l'aspect légendaire d'Excalibur. A la place, trois des héros du film, Arthur, Lancelot, et au centre, Guenièvre, qui semble d'ailleurs plus mise en avant que les deux chevaliers. Le slogan insiste sur l'intention de raconter non pas un mythe, mais la vraie histoire.
Petit moment d'humour : les fans d'internet auront repéré l'utilisation de Photoshop pour grossir la poitrine jugée trop plate de l'actrice Keira Knightley ! (je vous laisse cherché la comparaison sur internet !)
Andy est un jeune garçon plein d'imagination, qui aime par dessus tout s'amuser avec ses jouets, en particulier avec Woody, son cow-boy préféré. Mais ce qu'il ignore, c'est que dès qu'il a le dos tourné, ses jouets prennent vie, vivant leur propre vie à l'insu du regard des humains. Et cette vie est des plus cadrée. Woody règne en effet sans partage sur la chambre, dictant ses ordres à ses habitants, du ronchon MonsieurPatate à la tirelire Bayonne, en passant par la charmante Bergère, le chien à ressort Zig-Zag, le dinosaure froussard Rex, et les petitssoldats en plastique vert. Mais cette organisation minutieuse est soudain complètement chamboulée. En plus du futur déménagement, Andy fête avec une semaine d'avance son anniversaire, au cours duquel sa mère lui offre un Buzzl'Eclair, un robot astronaute rempli d'électronique. Rapidement élevé au rang de meilleur jouet, Buzz s'attire les foudres de Woody, qui compte bien se débarrasser de cet acolyte plus que gênant...
Près de 60 ans après Blanche Neige et les Sept Nains, le cinéma d'animation connaît une nouvelle révolution. Réalisé par JohnLasseter, et produit par les méconnus (à l'époque) studios Pixar, Toy Story crée en effet une nouvelle forme d'art : le film d'animation entièrement réalisé par ordinateur. Véritable prouesse à une époque bienheureuse où les films en 3-D n'en étaient qu'à leurs premiers balbutiements, Toy Story est sorti dans les sallesaméricaines le 22 novembre 1995.
Il fut également proposé en projection spécial au El Capitan Theatre de Los Angeles, du 22 novembre 1995 au 1er janvier 1996.
En France, Toy Story est sorti dans les salles le 27 mars 1996.
2009 voit le retour des jouets d'Andy dans les salles du monde entier. Quelques mois avant la sortie de Toy Story 3, les 2 premiers volets de la trilogie sont en effet à nouveau présentés au public, mais cette fois dans une version 3-D.
Les affiches américaine, espagnole, roumaine et russe de Toy Story / Toy Story 2 3-D.
Et comme aux Etats-Unis, une sortie des deux films est organisée sur quelques écrans de l'Hexagone, en 3-D, dès le 5 mai 2009.
Les Etats-Unis comptent bon nombre de personnages légendaires, parmi lesquels John Henry, Pecos Bill, Paul Bunyan, ou encore John Chapman, mieux connu sous le nom de Johnny Pépin de Pomme. Héros américain né à la fin du XVIIIe siècle, John était un descendant de colons tout ce qu'il y a de plus commun, récoltant les fruits de ses vergers. Jusqu'à ce que, poussé par son ange gardien, il se lance à la conquête de l'ouest. Sur son chemin, la légende raconte qu'il planta sans relâche des centaines de pommiers, et ce jusqu'à sa mort, ce qui lui valu son surnom de Johnny Pépin de Pomme.
Réalisé par Wilfred Jackson, Johnny Pépin de Pomme (Johnny Appleseed) est un court-métrage spécial en cela qu'il est extrait du film d'anthologie Mélodie Cocktail, sorti dans les salles américaines le 27 mai 1948. Et à l'instar des autres séquences du film, il a connu une carrière en solo, en sortant sur les écrans américains le 25 décembre 1955.
A l'image des affiches de l'époque, la publicité reprend non pas l'aspect physique du film, mais plutôt celui de Mary Blair, qui était chargée de la charte graphique du film durant sa production sans les années 1940. On retrouve ainsi notamment ces arbres aux couleurs pastelles, ...
L'animateur Ollie Johnston, superviseur de l'animation du personnage de Johnny.
Tess Coleman (Jamie Lee Curtis) et sa fille Anna (Lindsay Lohan) ont des relations plus que conflictuelles. La première déteste au plus haut point les goûts vestimentaires et la musique de sa fille, alors que la seconde fait comprendre à sa mère qu'elle n'apprécie pas particulièrement son nouveau fiancé, Ryan (Mark Harmon). Leur vie bascule lorsqu'au cours d'un dîner dans un restaurant chinois, les deux femmes ouvrent chacune un biscuit du bonheur qui leur inflige un sortilège. Le lendemain, Tess et Anna se réveille en effet dans la peau de l'autre... A la veille du mariage de Tess, et du concert d'Anna, elles vont alors découvrir sous un autre angle ce qu'est la vie de l'autre...
Réalisé par Mark Warters, Freaky Friday - Dans la Peau de ma Mère (Freaky Friday) est le remake d'une ancienne comédie des studios Disney, Un Vendredi Dingue, Dingue, Dingue, sorti en 1977, qui mettait en scène Barbara Harris dans le rôle de la mère, et la toute jeune Jodie Foster dans le rôle de la fille. Il est sorti dans les sallesaméricaines le 6 août 2003, deux jours après sa première hollywoodienne.
Une affiche qui rend avec humour le sujet du film. On y retrouve les deux héroïnes, interprétées par Lindsay Lohan et Jamie Lee Curtis, habillée avec les vêtements de l'autre, le regard dépité ! A noter que cet accoutrement n'apparaît jamais tel quel dans le film. A noter que le slogan est plus axé sur la jeune fille, puisqu'il annonce qu'elle est en train de vivre le pire cauchemar d'une jeune adolescente : vivre dans la peau de sa mère !
A noter également des affiches somme toute assez identiques, à l'exception des dates de sortie qui changent. L'une d'elle prévoit une sortie le 1er août... Alors que le film est sorti le 6... Surprenant...
Freaky Friday - Dans la Peau de ma Mère est sorti dans les sallesfrançaises le 24 décembre 2003.
Même visuel que sur l'affiche américaine. Un changement notable cependant : exit les couleurs pastelles. Le violet et le vert laissent place à un jaune et un rose fluo des plus surprenants, qui ont quand même l'intérêt d'attirer l'oeil !
A l'instar de Nettoyeurs de Pendules, sorti la même année, Les Revenants Solitaires (Lonesome Ghosts) rassemble le trio formé par Mickey, Donald et Dingo. Cette fois, les trois compères sont des chasseurs de fantômes. Ils sont un jour appelés par une bande de spectres désireux de s'amuser un peu. Mickey, Donald et Dingo se retrouvent alors au coeur d'une demeure hantée, aux prises avec les revenants solitaires...
Réalisé par BurtGillett, Les Revenants solitaires est sorti dans les sallesaméricaines le 24 décembre 1937, sous l'égide de la RKO Pictures.
L'affiche de la première sortie reprend bien l'esprit du film. On découvre en effet les trois héros, Mickey, Donald et Dingo, cherchant les fameux revenants solitaires, sans s'apercevoir que ces-derniers se jouent d'eux. On remarque que le film est vendu comme un court-métrage de Mickey Mouse, dont le nom apparaît avec des lettres plus grosses que le titre même. Cela s'explique par le fait que Dingo ne possède pas encore sa propre série de dessins animés. Quant à Donald, même s'il possède sa propre série depuis 1936, sa célébrité n'égale pas encore celle de la souris.
Les Revenants Solitaires est ressorti dans les salles américaines en 1949.
Une affiche totalement différente cette fois. On retrouve nos trois héros, qui ont l'air bien plus sûr d'eux, et l'un des fantômes, au centre, qui semble moins moqueur que sur le premier visuel. Du coup, l'esprit du film s'en trouve déformé. Dommage... A noter que cette fois, le nom de Mickey n'est plus le seul à apparaître. Il est associé à ceux de Dingo et Donald, désormais de véritables vedettes, au même titre (voir même plus) que la souris.
- Cliché pour la presse, Etats-Unis :
La photo d'exploitation ci-dessus appartient à une compilation italienne intitulée "Buon Compleanno Topolino", et sortie dans les salles de cinéma en 1978, l'occasion des 50 ans de Mickey.
Etats-Unis, pendant la Guerre de Sécession. James Andrews (Fess Parker), un espion nordiste, reçoit la mission de détruire une partie du réseau de chemin de fer sudiste. Mais les choses ne se passent pas tout à fait comme prévu, et Andrews doit notamment faire face à la ténacité de William Fuller (Jeffrey Hunter), le conducteur du train...
Réalisé par Francis D. Lyon, L'Infernale Poursuite (The Great Locomotive Chase) s'inscrit dans la tradition des épopées américaines produites par les studios Disney durant les années 1950-60, parmi lesquelles Davy Crockett, Roi des Trappeurs, Johnny Tremain ou encore Lueur dans la Forêt. Il est sorti dans les sallesaméricaines le 8 juin 1956.
Dingo a trouvé un emploi de bagagiste dans une petite gare de campagne. Quoi de plus simple comme métier... Mais lorsque Dingo doit prendre en charge la malle d'un magicien, les choses semblent se compliquer quelque peu !
Réalisé par JackKinney, Attention Fragile (Baggage Buster) est sorti dans les sallesaméricaines le 28 mars1941. Il s'agit du 3ème court-métrage de la série des Dingo.
Jeune fille de 15 ans, élevée dans une famille bourgeoise, Winnie Foster (Alexis Bledel) mène une vie morne et monotone. Désireuse de vivre l'aventure, elle échappe à la surveillance de ses parents (Victor Garber et Amy Irving), et s'enfuit dans les bois qui entournent la maison familiale. C'est là qu'elle fait la connaissance de Jesse Tuck (Jonathan Jackson), un jeune homme de 17 ans, et de sa famille (William Hurt, Sissy Spacek et Scott Bairstow). Au départ effrayée, elle tombe bien vite sous le charme de ce clan qui cache un grand secret : chacun d'eux est immortel. Winnie devra alors choisir son destin : vivre sa vie, ou bien boire à la source des Tuck et connaître comme eux l'immortalité...
Réalisé par Jay Russell, Immortels (Tuck Everlasting) est adapté de l'oeuvre de NatalieBabbitt, publiée en 1975. Véritable poésie cinématographique, le film a cependant connu une carrière très spéciale. En effet, il est sorti dans les sallesaméricaines le 11 octobre 2002, quelques jours après sa première organisée le 5 octobre, et quelques semaines après sa présentation au Festival de Toronto, le 8 septembre 2002. Ensuite, sa carrière dans le reste du monde se fit, non pas au cinéma, mais directement en DVD, notamment en France.
L'affiche créée pour la promotion du film présente les deux adolescents héros du film. D'une grande simplicité, elle ne révèle rien de l'intrigue du film, hormis le fait qu'il s'agisse d'une aventure, et qu'un secret en est le centre.
1847. Jack et ArabellaRussel (Bryan Russell et Suzanne Pleshette) sont désormais orphelins. Sans un sou, Jack décide de quitter la bonne ville de Boston et de se lancer dans la ruée vers l'or. Le voilà alors embarqué dans un voyage en direction de la Californie, en compagnie de son major d'homme, Bullwhip Griffin (Roddy McDowall). Mais entre dangers de l'Ouest sauvage et arnaqueurs en tous genre, l'expédition ne sera pas de tout repos !
Réalisé par JamesNeilson, le metteur en scène de Bon Voyage !, L'Eté magique et d'Un Pilote dans la Lune, L'Honorable Griffin (The Adventures of Bullwhip Griffin) est l'un des derniers films dont la production fut supervisée par Walt Disney. Rythmé par les chansons des Frères Sherman, il est sorti dans les sallesaméricaines le 8 mars 1967.
Une belle série d'affiches, qui resitue le film dans son époque. En effet, elles plongent le spectateur directement dans l'Amérique de la fin du XIXe siècle, de la Ruée vers l'or, avec leurs images dessinées et leur police d'écriture qui rappellent les affiches du cirque Barnum ou des spectacles de Buffalo Bill. On y retrouve les principaux gags et les meilleures scènes du film.
Casey Brown (Jodie Foster) est une jeune orpheline qui vit de petits larcins. Véritable garçon manqué, à l'éducation plus que légère, elle fait un jour la connaissance d'Harry Bundage (Leo McKern), petit escroc minable, qui l'embarque dans une de ses arnaques. Celui-ci s'est en effet mis en tête de mettre la main sur le fabuleux trésor caché au coeur du Manoir de Candleshoe. Pour arriver à ses fins, il compte utiliser l'enfant pour duper la propriétaire, Lady St. Esmund (Helen Hayes), une vieille femme à la recherche de sa petite-fille disparue des années auparavant. Usurpatrice involontaire, Casey doit alors chercher les indices menant à la fortune, tout en veillant à ne pas éveiller les soupçons des autres habitants des lieux, des orphelins recueillis par Lady St. Edmund, au majordome Priory (David Niven)...
Les Aventures de Perri (The Story of Perri) relate la vie d'une petiteécureuil qui vit seule dans la forêt. Ayant perdu ses parents tragiquement, elle doit lutter contre de nombreux dangers, en particulier les nombreux prédateurs que sont la martre, l'aigle ou le lynx, trouver sa nourriture, ou encore se protéger d'un incendie qui fait rage. Et au milieu de tout cela, le petit rongeur trouve également le temps de chercher l'amour...
Réalisé par PaulKenworthy et RalphWright, Les Aventures de Perri s'inspire de l'oeuvre de FelixSalten, l'auteur de Bambi. Inclus dans la liste des True-Life Adventures, ces documentaires animaliers produits par Walt Disney à partir de la fin des années 1940, il est le seul de la série à avoir eut l'honneur d'une sortie sur grand écran, programmée le 28 août 1957.
Bien que réalisé en prises de vue réelles, l'affiche du film prend le parti du dessin pour présenter l'oeuvre au public. Sur le document, le spectateur retrouve surtout un élément du film, le danger, tout d'abord, représenté par le feu, mais également par la martre, le lynx ou encore l'aigle. Exit, en effet, toute question de romance ou de comédie. Une chose assez intéressante, c'est la ressemblance de l'affiche avec l'une de celles créées pour la sortie de Bambi, 15 ans plus tôt (voir ci-contre). En effet, les couleurs y sont sensiblement les mêmes, et le thème du feu destructeur de cette nature sauvage y est repris.
Les Aventures de Perri est ressorti dans les salles américaines en 1972, toujours sous l'égide de Buena Vista Distribution, la société de distribution des studios Disney.
Une affiche bien plus intimiste et simple, pour cette ressortie, puisqu'une unique photographie de l'écureuil illustre le document.
Mia Thermopolis (Anne Hathaway) est une adolescente de 15 ans renfermée sur elle-même, qui vit seule avec sa mère. Sa vie monotone bascule le jour où elle fait la rencontre de sa grand-mère, Clarisse Renaldi (Julie Andrews), qui lui annonce qu'elle est la princesse d'un petit royaume d'Europe, la Génovie, sur lequel elle devra un jour régner. La jeune fille doit alors faire un choix : garder sa petite vie tranquille de lycéenne américaine, ou devenir souveraine. En attendant qu'elle fasse son choix, la Reine Clarisse l'emmène visiter son royaume, afin qu'elle y apprenne les règles de bonne conduite. Mais le tempérament de Mia, contrairement opposé à celui de sa grand-mère, ne rendra pas les choses faciles...
Princesse Malgré Elle (The Princess Diaries) est une comédie de GaryMarshall, le réalisateur de PrettyWoman et Just Married (ou Presque). Elle est sortie dans les sallesaméricaines le 3 août 2001.
Deux affiches superbes. Superbes car elle nous font découvrir et redécouvrir deux actrices merveilleuses. Tout d'abord, la pétillante Anne Hathaway, alors inconnue du grand public, dont c'est un des premiers films. Et surtout, la délicieuse JulieAndrews, éternelle Mary Poppins, absente des écrans de cinéma depuis 15 ans. Que dire des visuels si ce n'est qu'ils rendent parfaitement l'esprit du film. On y retrouve les deux héroïnes, aux caractères si opposés, l'une respectant une étiquette stricte de souveraine européenne, et l'autre, qui doit mêler sa nouvelle vie avec son existence mouvementée de jeune adolescente américaine. A noter que le film est vendu comme la nouvelle comédie du réalisateur de Pretty Woman et de Just Married (ou presque), gage de garanti tant le succès de ces deux comédies de GaryMarshall restent encore aujourd'hui, surtout la première, retentissant.
Princesse Malgré elle est sorti en France le 24 octobre 2001. Il est distribué par Gaumont Buena Vista International.
Même visuel que la seconde affiche américaine. Quelques changements cependant, notamment le renvoi à Pretty Woman. Exit la référence à Just Married (ou presque), dont le succès en France fut moins "net" qu'aux Etats-Unis.
DougFrippon est un jeune garçon sans histoire, qui passe son temps avec son ami Moustique. Alors qu'ils jouent dans la forêt, il font une découverte inattendue : un monstre, né de la pollution rejetée dans le lac Dakodac. Au départ terrifiés par leur découverte, les deux jeunes découvrent bien vite que la créature, loin d'être un être redoutable, déborde de gentillesse. Décidés à le préserver d'un tas de dangers, Doug et Moustique décident alors de prendre soin du monstre qu'il surnomme désormais HermanMelville. Mais en parallèle, Doug a d'autres problèmes à régler. En effet, la Saint-Valentin approche, et il est bien décidé à emmener PattiMayonnaise danser. Mais celle-ci est déjà courtisée par GuyGraham...
Avant d'être un film, Doug est une série télévisée créée par JimJinkins et JoeAaron. Au départ produite par le studio Jumbo pour le compte de Nickelodeon, elle est rachetée par les studios Disney en 1996. La série compte 7 saisons, dont les trois dernières furent produites par Walt Disney Television. A l'instar d'autres séries, comme Les Aventures de Buzz l'Eclair, La Cour de Récré, ou encore Scott premier de la classe, la série fut clôturée par un film.
Réalisé par MauriceJoyce, Doug - Le Film (Doug's 1rst Movie) est sorti dans les sallesaméricaines le 19 mars 1999.
L'affiche du film, assez simple, finalement, reprend l'image qui reste la plus associée au film, à savoir celle de cette porte qui s'ouvre au début de chaque épisode de la série télévisée. Sur le visuel, sortent par cette ouverture les quatre personnages principaux du film : Patti, Moustique, Doug, et le chien Fino. L'affiche montre bien le côté décalé des personnages, et surtout, l'aspect si particulier de la série. En effet, comme de nombreuses séries animées de l'époque, des Simpson à Eh ! Arnold !, en passant par Scott premier de la classe, on retrouve un style très marqué, avec ici des personnages dont la couleur de peau peut aussi bien être bleue, violette, ou jaune. Le détail supplémentaire, qui est à la base même de l'histoire du film, réside dans l'ombre éclairée par la porte ouverte, à savoir celle d'un monstre qui semble redoutable, et qui semble impressionner les personnages.
En France, Doug - Le Film est sorti le 2 juillet 1999. Presque totalement passé inaperçu, le film est distribué par Gaumont Buena Vista International.
Affiche totalement différente cette fois. Exit les codes de la série. Doug et ses amis sont assis dans une salle de cinéma, renforçant ainsi l'idée que la série passe sur grand écran.
Narrée par Pépé le grillon, vieil insecte qui apparaît dans plusieurs courts-métrages de Disney à partir de la fin des années 1940, Morris, le Petit Elan (Morris, the Midget Moose) est l'histoire d'un petit cervidé de quatre ans pas plus grand qu'un lapin. Son seul atout, des bois très normaux. Victime des moqueries de ses congénères, il décide quand même de braver le gros caïd de la horde, nommé Coup de Tonnerre, mais sa tentative est un échec cuisant. C'est alors qu'il rencontre Polo, un élan magnifique, mais avec des bois minuscules. C'est ensemble que les deux élans parviennent à régler leurs problèmes, et surtout à détrôner Coup de Tonnerre et prendre sa place de champion. La moralité de l'histoire : "deux têtes valent mieux qu'une" !
Morris, le Petit Elan est un court-métrage spécial réalisé par Charles A. Nichols, d'après une histoire de FrankOwen. Il est distribué par la RKO Pictures à partir du 24 novembre 1950.
Une très jolie affiche, aussi belle, sans le moindre doute, que le film lui-même. On y retrouve les principaux personnages de l'histoire : Morris et Polo, tout d'abord, dont l'union permet au premier d'atteindre les branches et les feuilles indispensables à son alimentation. Et au premier plan, comme des spectateurs, on retrouve Pépé le grillon et ses deux "neveux" (?), bien assis sur leur champignon, et qui semblent regarder la scène.
Morris, le Petit Elan est quelques fois ressorti au cinéma, au sein de compilations, que ce soit aux Etats-Unis ou en France.
L'affiche ci-dessus présente la compilation Si Disney m'était compté, sortie en France le 23 août 1973, pour les 50 ans des Walt Disney Productions, créées en 1923. Elle incluait de nombreux courts-métrages : Pour être un bon Marin, Scouts Marins, Donald Amoureux, Trois Mousquetaires aveugles, Attention au Lion, Morris le petit Elan, Pluto le Chat et la Dinde, Le Petit Oiseau va Sortir, Pluto chien berger, Bonne nuit Donald, Pluto n'aime pas les Chats et Vacances Hawaiennes.
La compilation est ressortie en France en 1979.
Le programme était le même. Une nouvelle affiche fut toutefois créée. Et on remarque que Morris y apparaît, comme debout sur le titre.
40ème Grand Classique des Disney (39ème avant que Dinosaure ne soit finalement inclus dans la liste), Kuzco l'Empereur Mégalo (The Emperor's New Groove) est un ovni dans la filmographie animée des studios de Mickey Mouse. Ce film est en effet une énorme comédieburlesque, telle que Disney n'en avait encore jamais réalisé, dans laquelle les gags se multiplient à un rythme détonnant, et dans lequel les incohérences du scénario et les erreurs (volontaires) de réalisation, loin de nuire à l'histoire, servent le scénario avec drôlerie et dérision. Bien entendu, Disney avait déjà réalisé des comédies, notamment Aladdinou encore Hercule, auxquels Kuzco l'Empereur Mégalo est souvent comparé. Mais jamais le vaudeville et le burlesque n'avaient été utilisés dans une telle proportion, anihilant, pour le plus grand plaisir du spectateur, toute trace de logique et de sérieux. Et ce choix est très surprenant, car à l'époque, les studios Disney s'étaient éloigné des comédies qui avaient fait leur succès, pour se consacrer à des sujets plus sérieux, avec des films comme Tarzan, Dinosaure, Atlantide l'Empire perduou encore La Planète au Trésor - Un Nouvel Univers.
Réalisé par Mark Dindal, le film raconte l'histoire de Kuzco, jeune empereur inca égocentrique et antipathique, dont les deux nouvelles priorités sont, tout d'abord, de virer sa conseillère, la perfide Yzma, qui lorgne sur le trône depuis toujours, et ensuite, d'expliquer à un chef de village, Pacha, pourquoi il doit quitter son village, qui sera détruit pour laisser place à la construction de sa nouvelle résidence d'été. Deux broutilles, en somme ! Et le moins que l'on puisse dire, c'est que Kuzco a l'art et la manière de se faire des ennemis, et la pire d'entre-eux, Yzma, est bien décidée à se débarrasser de lui une fois pour toute. Elle échaffaude alors un plan "simple" : inviter Kuzco à dîner afin de lui faire boire un poison mortel... Le problème, c'est que le bras droit d'Yzma, le simple d'esprit Kronk, s'est trompé de poison, et voilà Kuzco transformé en lama. Qu'à cela ne tienne, elle se débarrasse quand même de lui, et l'empereur se retrouve au coeur d'une jungle sauvage et dangereuse... Son seul espoir de salut réside alors en Pacha, encore sous le choc après l'annonce de la destruction de son village...
Kuzco l'Empereur mégalo est sorti dans les salles américaines le 15 décembre 2000.
La promotion du film utilisa à outrance l'égocentrisme de l'empereur, qui est représenté sur chaque document, chaque publicité, chaque article de presse. Et si cela ne suffisait pas, si quelqu'un avait encore un doute sur le héros de l'histoire, l'affiche principale précise qu'il s'agit bien de son histoire. Rien que la campagne d'affichage est des plus drôles. Elle est simple (pas de décors, aucune info sur l'histoire), mais elle laisse le spectateur curieux de voir qui est ce personnage présomptueux et de savoir quelle est son histoire.
En France, le film est distribué par Gaumont Buena Vista International à partir du 28 mars 2001, avec quelques avant-première dès le 18 mars.
L'affiche française est plus complexe, et présente davantage le cadre géographique et historique du film. Elle montre Kuzco, toujours dans cette position avec les bras grands ouverts et son large sourire, qui laisse entendre à toute personne qui a vu le film un "Boom Bébé !" bien énergique. Mais là où la campagne américaine se centrait sur ce personnage, la campagne française ne laisse pas entrevoir (du moins sur l'affiche) de message égocentrique expliquant que tout tourne autour de l'empereur. Seul indice de la supériorité du personnage, les autres personnages principaux, notamment Kronk et Pacha, agenouillés à ses pieds, et ce décors, rutilant, avec ses couleurs chaudes et le luxe de ses sculptures. Un regret, dans la promotion de ce film, est peut-être le titre choisi en Français, qui ne reprend pas l'idée du groove, qui est cependant un caractère essentiel du personnage de Kuzco. En même temps, au moins, le titre français renseigne sur le côté egocentrique du personnage.
- Danemark (9 février 2001) : Kejserens nye flip
- Espagne (22 juin 2001) : El emperador y sus locuras
- Italie (6 avril 2001) : Le follie dell'imperatore
- Suède (9 février 2001) : Kejsarens nya stil
- Thaïlande :
- Clichés pour la presse, Etats-Unis :
- Dossier de presse, Etats-Unis :
- PLV, Royaume-Uni :
- Dossier de presse, France :
- Photos d'exploitation, France :
- Affiches sorties vidéo, Etats-Unis / Brésil :
Studio Magazine, avril 2001
Journal de Mickey, 21 mars 2001
Journal de Mickey, 28 mars 2001
Journal de Mickey, 7 novembre 2001
Le réalisateur Mark Dindall
Avant première américaine du film, le 10 décembre 2000.
David Spade, Eartha Kitt, Jo Ann Worley, Wendie Mallick, John Debney, Sting, Terri Garr, Victoria Rowell, Krista Allen, Louis Lasser, Mimi Rogers, Rick Schroder, Simon Baker, Kellyann Kelso, Eli Russell Linnetz, Estelle Harris, Ingo Rademacher, Janet Jackson, Jimmy Jam, Terry Lewis, Bruce Jenner, Christopher MacDonald.
Commandé par le Département au Trésor du gouvernement américain, The New Spirit fait partie de la longue liste des films de propagande que les studios Disney ont réalisé durant la Seconde Guerre mondiale. Il met en scène un DonaldDuck assez réticent à payer ses impôts, jusqu'à ce qu'il découvre par l'intermédiaire de sa radio à quel point donner son dû à l'Etat est primordial pour gagner la guerre. Le canard découvre ainsi l'usage de ses impôts, qui servent à financer le développement de l'industrie de guerre et la construction d'une flotte et d'une aviation capable de réduire les forces de l'Axe à néant.
Réalisé par Wilfred Jackson, The New Spirit est impérativement à replacer dans son contexte si on veut pleinement comprendre son message. Les Etats-Unis, qui financent et soutiennent l'Allié anglais depuis l'année 1939, viennent en effet de rentrer en guerre après l'attaque de Pearl Harbor, le dimanche 7 décembre 1941. Et pour le gouvernement, cette guerre passe par une intervention militaire rapide et forte contre le Japon, mais également contre l'Allemagne nazie, dont la guerre sous-marine, commencée en 1941, est notamment tournée vers l'Amérique. Afin de clairement expliquer à la population du pays les enjeux de la guerre, le gouvernement sollicita alors de nombreux cinéastes d'Hollywood, dont Walt Disney, qui laissa en plan ses activités habituelles pour contribuer à l'effort de guerre. The New Spirit, au même titre que Der Fuehrer's Face, ou encore de Education for Death, s'inscrit dans cette ambition.
The New Spirit fut présenté au public américain le 23 janvier 1942. Evidemment, au vue de la portée du message, il ne fut jamais diffusé ailleurs.
L'affiche du film a quelque chose de particulier. En effet, contrairement à celle de Der Fuehrer's Face, par exemple, il en ressort un côté innocent et complètement déconnecté à son message, ce qui peut, aujourd'hui, en laisser plus d'un perplexe. Cette affiche, sortie de son contexte, ne représente finalement plus rien. Aucune trace de la guerre, aucune trace du gouvernement, aucune trace de l'Amérique, aucune trace des impôts si indispensables. Seul Donald, avec son large sourire, et qui semble lâcher quelques pièces de son costume, compose cette affiche, qui présente le film comme une "attraction spéciale". Il est alors impressionnant de voir à quel point cette affiche, finalement, paraît innocente, alors qu'elle illustre un film qui, pour le coup, ne l'est absolument pas. La propagande a perdu toute sa "saveur" avec le temps.
A noter également que Donald est l'unique vedette de ce film et de cette affiche. Pourtant, The New Spirit, là-encore contrairement à Der Fuehrer's Face, ne fait pas partie de sa filmographie, mais plutôt de la liste des films de propagande des studios Disney, dont la majorité est aujourd'hui complètement inaccessible.
Walt Disney, accompagné du secrétaire au Trésor Henry Morgenthau (à gauche) et des scénaristes JoeGrant et DickHuemer (à droite).
L'Afrique semble à la mode chez Disney au milieu des années 1990. Alors même que Le Roi Lion arrive à la fin de sa production, un film centre également son scénario sur le continent noir, Kalahari (A Far Off Place), réalisé par MickaëlSalomon, avec en vedette la jeune actrice ReeseWitherspoon.
Le film raconte l'histoire de deux adoslescents, Nonni (Reese Witherspoon) et Harry (Ethan Embry), qui assistent impuissants au massacre de leurs parents par des braconniers chasseurs d'ivoire. Aidé de Xhabbo (Sarel Bok), un bushman africain, ils n'ont d'autres solution que de traverser les 1 500 kilomètres du désert du Kalahari, afin de trouver de l'aide auprès du Colonel Mopani Theron (Maximilian Schell), chasseur légendaire qui traque les braconniers. Commence alors pour les trois amis une grande aventure où ils doivent survivre face à la nature sauvage et la folie des hommes...
Coproduit par les studios Disney et la société de StevenSpielbergAmblin Entertainment, Kalahari sort dans les sallesaméricaines le 12 mars 1993, en même temps que le court-métrage Panique au Pique-Nique, avec Roger Rabbit, qui est présenté en avant-programme.
L'affiche du film prend soin de placer immédiatement le cadre chronologique. Sur un fond d'une rouge profond, qui n'est d'ailleurs pas sans rappeler l'ouverture du Roi Lion, on découvre en effet les trois jeunes héros et leur chien, qui rencontrent une maman éléphant et son petit. Rien ne semble trahir l'histoire. Seul le slogan indique qu'il s'agit d'une grande épopée à travers l'Afrique. D'une grande poésie, cette affiche laisse donc le spectateur libre d'imaginer ce qu'il veut, et crée une certaine curiosité destinée à attirer le public qui souhaite en savoir davantage dans les salles.
En France, Kalahari sort dans les salles le 28 juillet 1993.
Moins de poésie, certains diront moins de charme, dans cette affiche française. L'atmosphère du film est moins mystérieuse. Le désert est clairement l'élément central du visuel. Le titre même choisi pour la sortie française indique immédiatement où l'intrigue se joue, là où l'affiche américaine laissait planer le doute. Dans ce désert immense et infini, on retrouve nos héros et leurs chien, en pleine traversée. Le sous-titre "A la poursuite des Chasseurs d'Ivoire" laisse également entrevoir une histoire de braconnage. Quand à cette impression de coin de page relevé, en bas à droite... Mystère. Peut-être pour suggérer qu'une page se tourne dans la vie des personnages principaux... Choix étrange cependant d'occuper une place si importante du document par un effet qui ne semble pas apporter réellement d'information...
40ème grand classique des studios Disney, Atlantide l'Empire perdu(Atlantis, the lost empire) est le troisième film du duo KirkWise et GaryTrousdale, les réalisateurs de La Belle et la Bête et duBossu de Notre Dame. Il s'inspire de la légende rapportée par Platon, selon laquelle une île, l'Atlantide, aurait disparu sous les eaux, enfouissant ainsi dans le fond des océans une civilation toute entière.
L'Histoire est celle de MiloJamesThatch, jeune cartographe au Museum de Washington, méprisé par ses supérieurs, qui refusent de financer ses recherches sur l'Atlantide. Désespéré, il fait la connaissance du richissime PrestonWhitmore, un ami de son grand-père, qui lui confie un vieux livre, leManuscritduBerger, qui indique la route à suivre pour découvrir la cité engloutie. Whitmore propose alors à Milo de superviser une grandiose expédition, afin de mettre à jour l'Atlantide et ses secrets. C'est ainsi que le jeune homme se retrouve embarqué au milieu une équipe dirigée par le CapitaineRourke et composée d'explorateurs tous plus loufoques les uns que les autres...
Dans la veine des aventures fantastiques de Jules Verne, Atlantide l'empire perdu est sorti dans les salles américaines le 15 juin 2001, quelques jours après ses avants-premières organisées à Los Angeles et New York.
Commencée très tôt, la promotion du film fut organisée en deux temps. Tout d'abord, Atlantide l'Empire perdu fut présenté par toute une série d'affiches, toutes plus mystérieuses les unes des autres. Rien ne filtrait sur l'histoire, ni sur les personnages. Seuls quelques indices, comme le Manuscrit du Berger, l'ombre de Milo, ou encore l'initiale A sortant des flots, illustraient les premiers visuels. Le slogan était simple "L'Atlantide vous attend".
Les affiches suivantes montraient d'avantage d'éléments. Le public découvrit tout d'abord certains membres de l'équipe montée par Whitmore, ainsi que la jolie Princesse Kida. Il découvrit aussi l'ambiance mystérieuse du film. Enfin, il découvrit le style graphique du film, si particulier, emprunté à l'auteur de la bande dessinée Hellboy, MikeMignola.
En France, Atlantide l'Empire perdu fut distribué par Gaumont Buena Vista International à partir du 28 novembre 2001, deux semaines après une première diffusion au Grand Rex de Paris.
L'affiche reprend les mêmes visuels que les publicités américaines, avec la même logique de mystère, ne montrant tout d'abord que la cité engloutie, puis l'équipe d'explorateurs entourant Milo.
- Allemagne (6 décembre 2001) : Atlantis - Das Geheimnis der verlorenen Stadt
- Espagne (23 novembre 2001) : Atlantis: El imperio perdido
- Grande-Bretagne (19 octobre 2001) :
- Italie (6 décembre 2001) : Atlantis: L'impero perduto
- Japon (4 novembre 2001) :
- Dossier de presse, Etats-Unis :
- Photos d'exploitation, Etats-Unis :
- Dossier de presse, France :
- Photo d'exploitation, France :
- Photos d'exploitation, Allemagne :
- Photos d'exploitation, Italie :
- Publicités vidéo, Etats-Unis et France :
- Publicités, France :
Disney Magazine, été 2001
Journal de Mickey N°2579 du 21 novembre 2001
Journal de Mickey N°2580 du 28 novembre 2001
Picsou Magazine N°359
Guide "Atlantide" offert dans le Journal de Mickey
Magazine Ciné Explore, novembre 2001
Télé Magazine du 8 décembre 2001
Journal de Mickey N°2604 du 15 mai 2002
Magazine Multimedia, mai 2002
Les Années Laser N°81, mai 2002
Avant-première de Los Angeles du 8 juin 2001 :
Michael J. Fox (VO Milo Thatch), Cree Summer (VO Kida), Claudia Christian (VO Helga Sinclair), David Ogden Stiers (VO M. Harcourt), Don Novello (VO Enzo Santorini), Florence Stanley (VO Madame Placard), Jacqueline Obradors (VO Audrey Ramirez), Michael Eisner (PDG Disney de l'époque), James Newton Howard (Compositeur, Carla Gugino, David Hasselhoff, Hunter Tylo, Janes Seymour, Jesse James, Mae Whitman, Melissa Joan Hart, Mimi Rogers, Paula Abdul, Rachel Leigh Cook, Rick Baker, Sean Astin, Spencer Breslin, Virginia Madsen, Wilmer Valderrama.
Les réalisateurs Gary Trousdale et Kirk Wise et le production Don Hahn.
Le Compositeur James Newton Howard et les chanteuses et parolières Mya et Diane Warren.
Lou Anne Johnson (Michelle Pfeiffer), ancienne militaire, devient enseignante afin de changer de vie. Intégrée dans un établissement dit sensible, elle se retrouve confrontée à des élèves difficiles, issus des ghettos...
Produit par la filiale Hollywood Pictures, Esprits Rebelles (Dangerous Minds)est un film de John N. Smith. Produit par Jerry Bruckheimer et Don Simpson, il est sorti le 11 août 1995.
Esprits Rebellesest sorti en France le 7 février 1996.
Paris est en émoi et chacun prépare le Jour d'Amour sur le parvis de Notre-Dame. Au sommet de l'une des tours, Quasimodo bichonne la Fidèle, énorme cloche sertie de pierres précieuses, qui sonne alors que les Parisiens déclament leur amour. Parmi les nombreuses festivités prévues pour l'occasion, un cirque ambulant, avec à sa tête le magicien Sarousch. Armé de mauvaises intentions, le prestidigitateur entend bien utiliser ses pouvoirs pour mettre la main sur la Fidèle et son merveilleux butin. Son plan est simple : son assistante Madeleine devra charmer le bossu, l'éloigner de la cathédrale, permettant ainsi à son patron de s'emparer du magot...
Réalisé par Bradley Raymond, Le Bossu de Notre-Dame 2 : Le Secret de Quasimodo(The Hunchback of Notre-Dame II) est la suite du Bossu de Notre-Dame, sorti en 1996. Produit de la politique mercantile de Disney, qui cherche à remplir ses caisses en "offrant" des suites à ses plus grands chefs-d'oeuvres, Le Bossu... est une énième tâche dans le catalogue des studios de Mickey. Animation ratée, histoire creuse, véritable affront à l'oeuvre de Victor Hugo et à son adaptation, le film sort directement en vidéo le 13 mars 2002.
Le Bossu de Notre-Dame 2 : Le Secret de Quasimodo est sorti en France un mois avant les Etats-Unis, le 17 février 2002.
Le Jeune Jim Morris (Trevor Morgan) a un rêve : intégrer une équipe de base-ball et devenir joueur professionnel, au grand dam de son père (Brian Cox). Mais de mutations en mutations, impossible d'exaucer ce voeux, rendus impossible par une blessure à l'épaule. Des années plus tard, Jim (Dennis Quaid) est désormais marié et père de trois enfants. Professeur de physique-chimie, il entraîne également l'équipe de base-ball du lycée, dont les joueurs ne brillent pas par ses victoires. Afin de leur redonner du courage, il leur fait la promesse de retenter sa chance dans une équipe de première division s'ils parviennent à remporter le championnat. Après la victoire inespérée de l'équipe, Jim honore sa promesse. Soutenu par sa femme Lorri (Rachel Griffiths), il reprend l'entraînement et est sélectionné grâce à son lancer de 157 km/h. Mais quand on a déjà 35 ans, il n'est pas facile de commencer une carrière pro...
Réalisé par John Lee Hancock, Rêve de Champion (The Rookie) s'inspire de l'histoire vraie de Jim Morris, champion de base-ball en 1999. Inspiré des exploits d'un grand sportif, à l'image du Plus Beau des Combats, Un Parcours de Légende, Secretariat ou Miracle, Le film est sorti dans les salles américaines le 29 mars 2002.
Rêve de Champion est sorti en France le 31 juillet 2002.
Il est sept heures. Le chien d'Alice réveille sa maîtresse, et l'emmène à bord de sa voiture au bord de la mer. Là, la jeune fille fait la rencontre d'un marin qui lui raconte ses aventures en haute mer. Inspirée, Alice s'endort, et rêve qu'elle se retrouve au coeur de l'océan, rempli de poissons cartoonesques bien étranges.
Réalisée par Walt Disney, Alice's Day at Sea est la deuxième aventure d'Alice, interprétée par l'actrice Virginia Davis, après Alice's Wonderland. Elle est sortie sur les écrans américains le 1er mars 1924.
Une affiche en couleur pour un film, évidemment, en noir et blanc.
L'affiche présente, en plus de WaltDisney, réalisateur du film, le nom de Margaret J. Winkler, la distributrice du court-métrage. Après la faillite des Laugh-O-Grams Films Inc., Walt Disney se lançait en effet dans l'aventure des Alice Comedies, dont le premier cartoon trouva preneur auprès de MargaretWinkler, distributrice installée à NewYork, propriétaire du studio Winkler Pictures, qui diffusait déjà à travers tous le pays des courts-métrages animés, notamment ceux des studios Fleischer, ou encore de Pat Sullivan et Otto Messmer, les créateurs de Félix le Chat.
Woody a été kidnappé ! Alors qu'il devait passer ses vacances loin d'Andy à cause d'un bras déchiré, le shérif se retrouve par inadvertance sur un vide-grenier. C'est là qu'il tombe entre les mains d'Al, vendeur de jouet grassouillet et antipathique, qui trouve là la dernière pièce de sa collection dédiée à feu la célèbre série télévisée "Woody's Roundup". Retenu contre son gré, Woody découvre alors ses acolytes, la cow-girl Jessie, le cheval Pil Poil et le chercheur d'or Papite Pépite. Se pose alors pour lui un énorme dilemme... Rester avec ses nouveaux comparses et rejoindre pour toujours les vitrines d'un musée japonais, ou retourner avec Buzz et ses anciens amis, venus à son secours...
1999 marque un tournant chez Pixar. Le "jeune" studio d'animation entre dans la cours des grands en offrant aux spectateurs une suite à son premier long-métrage, Toy Story. Servi par une histoire originale et surtout dépassant de loin les péripéties du premier épisode, Toy Story 2 est réalisé, comme son original, par John Lasseter. Il est sorti dans les salles américaines le 24 novembre 1999.
2009 voit le retour des jouets d'Andy dans les salles du monde entier. Quelques mois avant la sortie de Toy Story 3, les 2 premiers volets de la trilogie sont en effet à nouveau présentés au public, mais cette fois dans une version 3-D.
Toy Story 2 est sorti sur les écrans français le 2 février 2000.
Et comme aux Etats-Unis, une sortie des deux films est organisée sur quelques écrans de l'Hexagone, en 3-D, dès le 5 mai 2009.
Prospera, Duchesse de Milan (Helen Mirren), est éliminée par son frère, Antonio (Chris Cooper), avec sa fille de 4 ans, Miranda (Felicity Jones). Abandonnées sur un frêle esquif, elles se retrouvent sur l'île de Caliban (Djimon Hounsou), incarnation de la terre et de la mort, dont elle prend possession. Après 12 ans, elle obtient sa vengeance en demandant à Ariel (Ben Whishaw), esprit de l'air et du souffle de vie, de provoquer une tempête qui fait échouer sur son île le navire à bord duquel se trouvent Antonio, l'usurpateur du Duché de Milan, Alonso, le Roi de Naples (David Strathairn), et son fils Ferdinand (Reeve Carney)...
4ème film de Julie Taymor, metteuse en scène de Broadway, notamment de la comédie musicale inspirée du Roi Lion, La Tempête (The Tempest) est l'adaptation de la pièce de William Shakespeare écrite en 1611. Donnant le rôle principal à Helen Mirren alors que dans l'oeuvre originale met en scène un homme, le film est une production de la filiale de Disney Touchstone Pictures. Il est sorti aux Etats-Unis le 10 décembre 2010, après des projections aux festivals de Venise, Hawaï, New York, Mill Valley et Chicago.
Singapour. Will (Orlando Bloom), Elizabeth (Keira Knightley) et Barbossa (Geoffrey Rush), revenu d'entre les morts, sont venus rendre visite à Sao Feng(Chow Yun Fat), redoutable pirate de la Mer de Chine, afin de lui dérober une carte, indispensable pour libérer le galant Capitaine Jack (Johnny Depp), qui erre désormais dans l'antre de Davy Jones (Bill Nighy)... Mais leurs plans semblent bien compromis. Le terrible Jones est en effet désormais sous les ordres de Lord Cutler Beckett (Tom Hollander), et associé malgré lui à la Compagnie des Indes Orientales. A bord de son Hollandais volant, il écume les mers avec une mission simple : détruire toutes formes de piraterie...
Suite de Pirates des Caraïbes : La Malédiction du Black Pearl, Pirates des Caraïbes : Jusqu'au Bout du Monde (Pirates of the Caribbean : At World's End) est le prolongement direct du second opus, Le Secret du Coffre Maudit, tourné simultanément. Réalisé par Gore Verbinski, le film est sorti sur les écrans américains le 25 mai 2007.
Comme pour l'ensemble des opus, passés et futurs, la campagne publicitaire de Pirates des Caraïbes commence par le mythique crane, reprise directe de l'icone de l'attraction originale, qui invite les guests à débarquer. Différente selon les épisodes, il est cette fois entouré d'une ambiance asiatique, directement inspirée de l'escale à Singapour présente au début du long-métrage.
La campagne d'affichage continue ensuite, comme d'habitude, avec une présentation des personnages. Les spectateurs découvrent alors les héros, ainsi que le nouveau "grand" pirate, Sao Feng.
Et enfin, des affiches plus "officielles", avec les crédits, et le retour de Davy Jones.
Curieusement, deux autres séries d'affiches ont également fait leur apparition. Délaissant le rouge pourpre des affiches précédentes, la première série enveloppe les personnages d'une atmosphère brumeuse grise-marron.
La seconde reprend toujours les mêmes visuels, avec cette brume grisée.
Pirates des Caraïbes : Jusqu'au bout du monde est nominé dans plusieurs catégories lors de nombreuses remises de pris. Lors de la 80ème cérémonie des Oscars, organisée le 24 février 2008, il remporte notamment les statuettes des Meilleurs Maquillages et Meilleurs Effets Visuels.
Pirates des Caraïbes - Jusqu'au bout du Monde sort en France le 23 mai 2007.
- Allemagne : Fluch der Karibik - Am Ende der Welt
- Australie :
- Brésil : Piratas do Caribe: No Fim do Mundo
- Espagne : Piratas del Caribe. En el fin del mundo
- Hongrie : A Karib-tenger kalózai: A világ végén
- Japon :
- Mexique : Piratas del Caribe - En el fin del mundo
- Nouvelle-Zélande :
- Pays-Bas :
- Pologne : Piraci z Karaibów: Na krancu swiata
- Portugal : Piratas das Caraíbas - Nos Confins do Mundo
- Russie : Piraty Karibskogo morya 3 - Na krayu sveta