L'Ile sur le Toit du Monde
1907. Sir Anthony Ross (Donald Sinden) part à recherche de son fils, Donald (David Gwillim), qui a disparu au coeur de l'Arctique. Aidé du Professeur Ivarsson (David Hartman), du Capitaine Brieux (Jacques Marin), qui met à sa disposition son dirigeable, et de l'esquimau Oomiak (Mako), il se lance dans une aventure extraordinaire qui le conduira sur une île volcanique mystérieuse, peuplée de Vikings...
Réalisé par Robert Stevenson, le metteur en scène de nombreux succès comme Mary Poppins, L'Apprentie Sorcière, Un Amour de Coccinelle ou encore Darby O'Gill et les Farfadets, L'Île sur le Toit du Monde (The Island at the Top of the World), s'inscrit dans la grande tradition des films d'aventures des studios Disney comme L'Île au Trésor, 20 000 Lieues sous les Mers et Les Enfants du Capitaine Grant. Il est sorti dans les salles américaines le 20 décembre 1974, après la diffusion en 1ère partie du court-métrage Winnie l'Ourson et le Tigre Fou.
L'Île sur le Toit du Monde est sorti en France le 29 octobre 1975...
... Puis le 2 février 1983 (quelques années après sa présentation au Grand Festival d'été de 1978).
- Belgique :
- Espagne : La Isla Del Fin del Mundo
- Grande-Bretagne :
- Italie : L'Isola Sul Tetto Del Mondo
- Photos d'exploitation, Etats-Unis :
- Dossier de presse, Etats-Unis :
- Photos d'exploitation, France :
- Cliché pour la presse :
- Synopsis, France :
- Photos d'exploitation, Italie :
- Photos d'exploitation, Royaume-Uni :
- Photos d'exploitation, Allemagne :
Dingo Toreador
En voyage au Mexique, Dingo se retrouve aux prises avec un taureau qui lui bloque la route. Alors qu'il tente de se débarrasser de l'animal en agitant un mouchoir rouge, les habitants du village voisin le confondent avec le plus grand toréador de tous les temps, le superbe "El Goof". Ensensé par la foule, il se retrouve bientôt au coeur de l'arène, face au redoutable bovin...
Réalisé par Jack Kinney, Dingo Toréador (For Whom the Bulls Toil) est sorti dans les salles américaines le 9 mai 1953. On y retrouve le thème principal, ainsi que certaines pièces d'animation d'un autre court-métrage de Disney, Ferdinand le Taureau.
Une affiche somme toutes très simple et efficace. On y retrouve notre Dingo, sourire niais, droit dans ses souliers, inconscient du danger qui fonce vers lui. Rien de bien notable, donc. Si ce n'est le titre même du cartoon. En effet, le nom original du dessin animé, For Whom the Bulls Toil, est une déformation du titre anglais du célèbre roman d'Ernest Hemingway For Whom the Bell Tolls, Pour qui sonne le Glas en Français. Véritable oeuvre en faveur des Espagnols, les artistes de Disney ont donc choisi un titre semblable pour leur production mettant en avant le Mexique. A noter, du coup, la pauvreté du titre traduit en Français...
Dingo Cow Boy
Pistol Pete est le plus grand hors-la-loi de tout l'ouest américain. Pilleur de diligence et braqueur de banque, il sème la terreur dans de nombreuses bourgades. Nul ne semble capable de l'arrêter, jusqu'à ce qu'il tombe sur Dingo, cow-boy solitaire qui, hypnotisé par les charmes d'une charmante demoiselle, parvient malgré lui à le mettre à terre. Bien décidé à se venger, Pat arrive en ville, à la recherche de son assaillant... Mais comment faire face à la maladresse déconcertante de Dingo, qui se retourne sans cesse contre lui !...
Réalisé par Jack Kinney, Dingo Cow-Boy (Two Gun Goofy) est sorti dans les salles américaines le 16 mai 1952.
Les 101 Dalmatiens - Le Film
Pongo est un charmant dalmatien. Alors qu'il traverse, comme chaque jour, Londres avec son maître Roger (Jeff Daniels), un concepteur de jeux vidéos à la recherche du succès, il tombe amoureux de Perdita, la chienne d'Anita (Joely Richardson). Les deux chiens parviennent alors à provoquer la rencontre entre leur deux maîtres, qui tombent à leur tour sous le charme l'un de l'autre. C'est ainsi qu'une nouvelle petite famille se crée au coeur de la capitale anglaise, famille bientôt agrandie avec la naissance de 15 bébés dalmatiens... Mais ce bonheur est rapidement terni par la diabolique Cruella d'Enfer (Glenn Close). En effet, Celle-ci charge ses deux sbires, Jasper et Horace (Hugh Laurie et Mark Williams), de s'emparer de la portée, qu'elle envisage déjà de transformer en un superbe manteau de fourrure...
Réalisé par Stephen Herek, Les 101 Dalmatiens - Le Film (101 Dalmatians) est évidemment le remake en prises de vue réelles du célèbre grand classique de Walt Disney, sorti dans les salles en 1961, et qui s'inspirait de l'oeuvre de Dodie Smith. Il est sorti dans les salles américaines le 27 novembre 1996, quelques jours après les premières new-yorkaise (18 novembre) et hollywoodienne (24 novembre).
Une belle série d'affiches, publiées entre le premier semestre 1996 et la Toussaint de la même année. Reprenant l'image de la multitude de Dalmatiens, elle se concentre également sur le personnage de Cruella d'Enfer, brillamment interprété par Glenn Close. Il faut dire que la méchante est sûrement le personnage le plus mémorable du dessin animé de 1961, ce qui en fait un argument de vente remarquable. A noter que les renvois au grand classique sont nombreux, de la berline de Cruella au Castle d'Enfer. A noter également, sur l'affiche présentant les chiens au cinéma, que l'un des chiens porte le célèbre chapeau du Mickey Mouse Club, petit hommage aux studios Disney et aux années 1950-60, décennies pendant lesquelles fut réalisé et diffusé le premier film.
Les 101 Dalmatiens - Le Film est sorti dans les salles françaises le 26 mars 1997.
On retrouve le même type d'affiche que celles sorties aux Etats-Unis.
- Espagne :
- Grande-Bretagne :
- Italie :
- Photos d'exploitation :
- Clichés pour la presse :
- Dossier de presse, Promoguide :
- Dossier de presse, France :
- PLV :
- Publicité sortie vidéo, France :