Underdog
Suite aux manipulations génétiques du Professeur Simon Barsinister (Peter Dinklage), un chien beagle (doublé par Jason Lee) se retrouve un jour doué de parole et de supers pouvoirs. Avec son maître, Jack (Alex Neuberger), ils décident de se mettre au service de la population et de lutter contre les malfrats, Barsinister et son homme de main Cad (Patrick Warburton) en tête. Capitol City a désormais son héros : Underdog !
Diffusé le 3 août 2007, et réalisé par Frédérik du Chau, Underdog, Chien volant non identifié fait partie de ces films produits par Disney, sortis aux Etats-Unis, et qui n'ont (injustement ici) pas connu de sortie en France, faute de succès outre-Atlantique. Parodie de Superman, et adaptée de la série animée du même titre, créée dans les années 1960-1970, cette production a pourtant bénéficié d'une campagne publicitaire très riche, et surtout très réussie !
Le visuel principal reprend les canons des films de supers héros, avec le justicier (ici canin), debout, cape flottante dans le vent, sur un rebord d'immeuble, avec en arrière plan la ville, éclairée par un coucher de soleil perçant l'horizon.
D'autres visuels furent également créés, certains laissant présager des sorties qui n'eurent finalement pas lieu, notamment en France :
Le film eut cependant une belle petite carrière internationale :
- Allemagne (31 janvier 2008) :
- Australie (20 septembre 2007) :
- Brésil (7 septembre 2007) : Vira-Lata
- Mexique (21 septembre 2007) : Supercan
- Affiches sortie vidéo :
- Photos de l'avant-première new yorkaise :
- Façade du El Capitan Theatre :
WALL.E
9ème production des studios d'animation Pixar, WALL.E est une sorte de mise en garde écologique réalisée par Andrew Stanton, à qui l'on doit 1001 Pattes et Le Monde de Némo. L'histoire se situe au début du XXIIème siècle. La Terre, complètement polluée, est devenue invivable, et les humains ont trouvé refuge dans l'espace... Là, ils espèrent que les milliers de WALL.E (Waste Allocation Load Earth-Class) pourront nettoyer la planète et la rendre à nouveau habitable. Après 700 ans d'exode, seul un WALL.E est encore actif, et poursuit inlassablement son travail. Mais ce petit robot a quelque chose de différent : il rêve en secret de quitter ce monde, et de découvrir l'espace et les étoiles qu'ils scrutent chaque soir. Sa vie change lorsqu'une sonde robotisée, EVE (Extraterrestrial Vegetation Evaluator), arrive sur Terre afin de trouver une preuve de vie. Désespérément amoureux d'elle, WALL.E décide alors de suivre sa belle dans les profondeurs de l'espace. Il se retrouve alors à bord de l'Axiom, sorte d'arche de Noé galactique dans laquelle les humains ont vécu jusque-là...Tout se complique lorsqu'il découvre que ces-derniers, malgré eux, sont en fait prisonniers d'AUTO, le pilote automatique du vaisseau, qui a reçu l'ordre de ne jamais les ramener sur Terre...
WALL.E est sorti dans les salles américaines le 27 juin 2008, quelques jours après une grande avant-première organisée à Los Angeles le 23.
Plusieurs affiches furent créées pour sa promotion.
Drôles, mignonnes, touchantes... Ces affiches font partie des plus belles et des mieux conçues de l'année, voire même de la décennie. En effet, il est rare que des documents publicitaires, destinés à vendre un film, s'attachent avec un tel soin à dépeindre les sentiments d'un personnages. Ici, chacune d'elles parvient à reproduire l'une des caractéristiques de WALL.E. La tendresse, tout d'abord, notamment sur l'affiche où il salue le public, avec en arrière plan, le vaisseau déposant EVE, ou encore sur l'affiche où on le voit assis sur son cube de déchet, avec son petit compagnon, un insecte, sur l'épaule. Le côté mignon, ensuite, bien mis en valeur sur les affiches où on le voit, regardant le spectateur, avec ses yeux se "cocker" tellement attendrissant ! L'amour, également, en particulier sur les affiches où il est avec EVE. La curiosité, enfin, comme sur l'affiche où il touche la voie lactée, alors même qu'il s'accroche au vaisseau qui l'emporte au coeur de l'espace... Sans parler, évidemment de l'humour, en particulier sur la photo où on le voit, assis au cinéma avec EVE, qui semble s'amuser de le voir monter sur un réhausseur ! Cette campagne a tout compris du film, et annonce clairement aux spectateurs qu'il trouvera dans ce film de l'humour, de l'amour, de l'aventure, et surtout, de superbes images...
D'autres affiches furent également conçues, mais dans un style totalement différent :
A l'instar de Ratatouille, qui eut le droit au même type de documents, elles présentent d'une manière simplifiée et haute en couleur, les personnages principaux et certaines ambiances du film.
A noter que le film fut présenté sur les écrans du El Capitan Theatre, le cinéma des studios Disney siur Hollywood Boulevard, pour une durée limitée.
Début 2009, le film se lance dans la course aux Oscars.
Le dessin animé est sorti en France le 30 juillet 2008. La campagne, plus pauvre, reprend les visuels des principales affiches américaines.
A noter que la campagne française fut essentiellement axée sur l'amour des deux robots, renforcé encore par l'ajout d'un coeur dans les étoiles que WALL.E scrute.
Dans les autres pays, les mêmes visuels furent utilisés, parfois complétés par des nouveaux :
- Allemagne (25 septembre 2008) :
- Argentine (9 juillet 2008) :
- Australie (18 septembre 2008) :
- Brésil (27 juin 2008) :
- Canada (27 juin 2008) :
- Chine :
- Corée :
- Grande-Bretagne (18 juillet 2008) :
- Italie (17 octobre 2008) :
- Russie (25 juin 2008) :
- Taiwan :
- Turquie (26 septembre 2008) :
- ?...
- Clichés pour la presse, Etats-Unis :
- Photos d'exploitation, Allemagne :
- Publicités, sortie DVD :
- Photos de Production :
- Photos de l'avant-première de Los Angeles :
High School Musical 3
Devant le succès des deux premiers opus, diffusés sur Disney Channel en 2006 et 2007, la bande du lycée de East High débarque au cinéma dans High School Musical 3, Nos Années Lycée (High School Musical 3, Senior Year). Toujours réalisé par Kenny Ortega, à qui l'on doit également les films Newsies ou encore Hocus Pocus, ce nouvel épisode raconte la dernière année de lycée des Wildcats, avant de partir pour l'université. Afin de marquer d'une pierre blanche leurs derniers instants, Troy (Zack Efron) et Gabriela (Vanessa Hudgens), aidés de leurs camarades, décident de monter un spectacle de fin d'année, dans lequel ils expriment leurs espoirs et leurs craintes vis-à-vis de l'avenir...
Après une première en Suède, le film est sorti dans les salles du monde entier à partir du mois d'octobre.
Partout, la promotion fut organisée autour du même visuel, montrant, comme pour les deux premiers opus, les acteurs principaux sautant dans tous les sens. La seule différence reste le costume associé à la remise des diplômes des dernières années les lycées américains.
D'autres affiches furent également publiées, chacune centrée sur les différents personnages du film.
En France, le film est sorti le 22 octobre 2008.
- Danemark (22 octobre 2008) :
- Portugal (30 octobre 2008) :
- Québec :
Zack Efron, Corbin Bleu et le réalisateur Kenny Ortega sur le tournage.
Conférence de presse :
Première de Los Angeles :
Première parisienne :
- Première japonaise, 28 janvier 2009 :
Empire, Janvier 2009.
Picsou Magazine, Octobre 2008
Le Monde de Narnia - Le Prince Caspian
1300 ans se sont passés à Narnia, depuis la première visite des quatre enfants Pevensie, et le monde enchanté qu'ils ont abandonné après avoir éliminé la Sorcière Blanche n'existe plus... La magie a cessé, leur château de Ker Paravel est désormais une ruine, et les êtres fantastiques ont presque tous disparu... Seuls quelques habitants surnaturels vivent encore cachés, loin des humains qui ont civilisé la contrée. A la tête de ce peuple, Les Telmarins, règne Miraz, chef tyrannique, qui projette de confisquer le trône destiné à son neveu, le Prince Caspian. C'est ce-dernier qui, involontairement, va rappeler Peter, Edmund, Susan et Lucy à Narnia, et qui va, à leurs côtés, tenter de sauver le royaume et lui rendre sa gloire passée...
Réalisé par Andrew Adamson, Le Prince Caspian (Prince Caspian) est le deuxième chapitre des Chroniques de Narnia a être adapté au cinéma, après Le Lion, la Sorcière Blanche et l'Armoire magique, en 2005. Il rassemble la même équipe, autour du même casting, augmenté de nouveaux rôles, notamment le galant Prince Caspian (joué par Ben Barnes), le Roi Miraz (Sergio Castellitto) ou encore le docteur Cornélius (interprété par le Français Vincent Grass).
Le Prince Caspian est sorti aux Etats-Unis le 16 mai 2008. Cette sortie, très attendue des fans du premier opus, fut tout d'abord annoncée par deux pré-affiches.
Sur celles-ci, le mystère est total sur les personnages et l'histoire de ce nouvel épisode. Seuls quelques éléments sont donnés aux spectateurs : un visuel du château dans lequel vit Caspian, tout d'abord, et également une vue de l'épée donnée par le Père Noël à Peter, qui semble annoncer une nouvelle guerre dans les contrées verdoyantes de Narnia...
S'en suivirent plusieurs affiches, présentant les personnages principaux :
Les deux premières (ci-dessus), mettent clairement en évidence le personnage que le public a tardé à découvrir, le Prince Caspian, interprété par l'acteur britannique Ben Barnes, tout en gardant une certaine dose de mystère autour de lui, renforcée par la lumière reflétée par son épée. Sur la première publicité, on découvre également d'autres éléments essentiels de l'histoire : la corne de Susan, que Caspian tient en main et avec laquelle il appelle involontairement les enfants Pevensie, le château des Telmarins, les quatre enfants Pevensie (William Moseley, Skendar Keynes, Anna Popplewell, et Georgie Henley), quelque peu en retrait, et Aslan. Sur la deuxième affiche, les Pevensie sont davantage mis en valeurs. D'autres éléments viennent se rajouter, notamment la petite souris Ripitchip armée de son épée, ainsi que le Dieu de la rivière, qui détermine, à la fin du film, l'issue de la bataille. Le suspense est induit par le slogan, qui indique que tout ce que le spectateur a connu, en regardant le premier chapitre, est sur le point de changer.
D'autres affiches furent également éditées, toutes construites sur le même modèle que les précédents, avec au centre Caspian, et sur les côtés, les enfants Pevensie, Aslan, ...
Le Prince Caspian est sorti en France le 25 juin 2008.
Les affiches sont identiques aux Américaines.
- Allemagne (31 juillet 2008) : Die Chroniken von Narnia - Prinz Kaspian von Narnia
- Argentine (12 juin 2008) : Las Crónicas de Narnia - El príncipe Caspian
- Australie (5 juin 2008) :
- Brésil (30 mai 2008) : As Crônicas de Nárnia - Príncipe Caspian
- Danemark (2 juillet 2008) : Narnia : Prins Caspian
- Finlande (2 juillet 2008) : Narnian tarinat: Prinssi Kaspian
- Grande-Bretagne (26 juin 2008) :
- Portugal (17 juillet 2008) : O Crónicas de Nárnia, As: Principe Caspian
- Québec (16 mai 2008) :
- Suède (2 juillet 2008) : Berättelsen Om Narnia: Prins Caspian
- Turquie (11 juillet 2008) : Narnia günlükleri - Prens kaspiyan
- Vietnam :
- Clichés pour la presse, Etats-Unis :
- Dossier de presse, France :
- Photo d'exploitation, France :
- Article publié dans le magazine Make-Up N°72, mai-juin 2008 :
Avant-Première londonienne :
Avant-Première new yorkaise :
Avant-Première de Tokyo :
Avant-Première française, à Disneyland Paris :
Spectacle Disneyland U.S.A. :
PS : Merci à Hercule pour l'affiche québecoise !
Les Ailes Pourpres
Les Ailes Pourpres, Le Mystère des Flamants (The Crimson Wing : Mystery of the Flamingos) marque le grand retour des studios Disney dans le domaine du documentaire animalier, si cher à Walt Disney. Ce film, réalisé par Matthew Aeberhard et Leander Ward est en effet le premier long-métrage animalier produit directement par Disney, au travers de son tout nouveau label, Disney Nature. Il propose aux spectateurs de découvrir le fabuleux Lac Natron, au Nord de la Tanzanie, espace de vie d'un million de flamants roses, et de vivre l'incroyable vie d'un bébé flamant, de sa naissance à l'âge adulte.
Les Ailes Pourpres est sorti pour la première fois dans les salles françaises le 17 décembre 2008.
L'affiche, d'une grande beauté, fut conçue sur le même modèle que l'ensemble des publicités présentant des documentaires animaliers. En effet, au même titre que La Marche de l'Empereur, à laquelle elle ressemble beaucoup, l'affiche du film profite d'une grande sobriété, axant essentiellement le regard du spectateur sur deux spécimens de flamants, la mère et son petit, les autres flamants se situant très loin en arrière plan. La poésie de cette affiche est par ailleurs renforcée par les couleurs utilisées : le rose des flamants, qui tranche parfaitement avec le bleu du lac, qui se confond avec le bleu du ciel. A noter que le cadre géographique, à savoir la Tanzanie, est précisé par la présence, encore en arrière plan, du Kilimandjaro, le point culminant du continent africain.
D'autres visuels, affiches et photos d'exploitation, furent utilisés pour la promotion française du film.
Les Ailes Pourpres est programmé pour sortir dans le reste du monde au cours de l'année 2009. Voilà quelques affiches étrangères, construites sur le même modèle que la française.
- Affiche allemande (sortie prévue de 17 septembre 2009) :
- Affiche anglaise / Américaine (sortie prévue au Royaume-Uni le 12 juin 2009)
- Affiches suisses :
Le Petit Âne de Bethléem
Au départ confié à Eric Larson, vétéran des studios Disney, puis passé entre les mains de Don Bluth, Le Petit Âne de Bethléem (The Small One) fait partie de la courte liste de moyens-métrages produits par les studios Disney entre 1960 et 1990, à l'instar des films de la série des Winnie l'Ourson, du Noël de Mickey ou encore du Prince et le Pauvre.
Il raconte l'histoire d'un jeune garçon vivant avec son père dans les contrées chaudes et arides du Proche-Orient, et qui se retrouve un jour obligé de vendre son âne, devenu trop vieux pour travailler et trop coûteux à entretenir. Il se rend alors en ville, afin de trouver un nouvel acquéreur à l'animal, qui pourrait ainsi passer des jours paisibles, loin de la fatigue quotidienne de la ferme. Mais dans cette grande ville, grouillante de toutes parts, personne ne porte attention à l'animal, hormis un tanneur, et un marchand pompeux, qui humilie publiquement la pauvre bête, avant de la chasser de son échoppe... Découragé, ce n'est que tard dans la soirée que finalement, un homme accepte de débourser quelques sous pour acheter l'animal, qu'il prévoit d'utiliser pour porter sa femme, enceinte, jusqu'à Bethléem...
Le Petit Âne de Bethléem est un des films les plus méconnus des studios Disney. Il est sorti dans les salles américaines en complément d'une ressortie de Pinocchio, le 16 décembre 1978, la date de sortie coincidant, évidemment, avec Noël, et surtout la Nativité, à laquelle le petit âne, d'après le film, a assisté, étant donné que son acheteur n'est autre au Joseph de Nazareth et la femme enceinte à transporter à Bethléem, Marie.
L'affiche créée pour la promotion du film souffre d'une sobriété très marquée. Aucun décor, en effet, sur le document, hormis la présence de la grande ville, seulement suggérée par une silhouette assez rudimentaire. Au centre du document, on découvre le jeune garçon, enlassant son vieil âne allongé. A gauche du titre, une autre image vient compléter maladroitement le document, celle du marchand moqueur et méchant, assis sur l'âne à bout de souffle, et que le gamin tente de faire descendre, renvoyant à l'une des séquences du film... Hormis ces quelques détails, rien, sur ce document, ne laisse transparaître le sens de l'histoire, et surtout, ses allusions religieuses. A noter que dès sa sortie, le film était vendu comme un nouveau classique de Noël. Force est de constater que malgré son petit succès, ce film est loin d'être devenu le classique qu'il prétendait être à l'époque, tant sa notoriété est faible.
En France, le film, intitulé Mon Petit Âne, est passé complètement inaperçu.
Il est sorti à la fin des années 1970, en complément d'une ressortie du Livre de la Jungle. Le visuel de l'affiche est assez semblable à la publicité américaine, avec comme points de différence la présence d'un décor, et des trois personnages que rencontre le garçon dans la ville, et qui courrent après les pièces de monnaie. Le film connaîtra également une sortie vidéo très tardive, sous le titre Le Petit Âne de Bethléem.
- Italie :
- Photos d'exploitation, France :
A noter que le film fut, comme presque toutes les créations de l'époque, produit par Ron Miller, le mari de Diane Disney, la fille de Walt, dont voici une photo, sur laquelle il pose devant les storyboards du film.
P.S. : Merci à Chrisis2001 pour le visuel de l'affiche française !
Qui veut la Peau de Roger Rabbit
Produit par les studios Touchtone, filliale de Disney, et Steven Spielberg, et adapté de l'oeuvre de Gary K. Wolf, Qui veut la Peau de Roger Rabbit (Who Framed Roger Rabbit) marque le grand retour des films mêlant animation et prises de vue réelles, depuis la sortie de Peter et Elliott le Dragon, plus de dix ans auparavant.
Réalisé par Robert Zemeckis, le créateur de Retour vers le Futur, le film prend place dans le Hollywood de la fin des années 1940. Au coeur du monde impitoyable du cinéma, Roger Rabbit (doublé par Charles Fleischer), la grande vedette des studios R.K. Maroon, connaît un passage à vide... Il est en effet tellement obnubilé par sa femme, la somptueuse Jessica (Amy Irving), qu'il ne parvient plus à rester concentré pendant les tournages. Afin de l'éloigner de sa femme, Maroon (Alan Tilvern) embauche Eddie Valiant (Bob Hoskins), un détective alcoolique et qui déteste par-dessus tout les Toons. En infiltrant le bar dans lequel elle se produit, Valiant parvient à prendre des photos compromettantes de Jessica Rabbit en compagnie de Marvin Acme (Stubby Kaye), le propriétaire de Toonville. Lorsque le corps d'Acme est retrouvé sans vie, le terrible juge Demort (Christopher Lloyd) en déduit que le lapin, fou de jalousie, est l'assassin. Pourchassé par les hommes de main du juge, Roger trouve alors refuge chez Valiant...
Qui veut la peau de Roger Rabbit est sorti dans les salles américaines le 22 juin 1988.
D'une grande sobriété, l'affiche du film associe parfaitement le long-métrage à l'univers du cinéma où il prend place, en délimitant le profil du lapin par une bobine de film, dont les morceaux les plus proches laissent apparaître des images. Le slogan est assez simple : "C'est l'histoire d'un homme, d'une femme et d'un lapin dans un triangle d'embrouilles".
D'autres visuels furent également créés :
Le film est sorti en France le 12 octobre 1988. Le visuel de l'affiche américaine fut repris, avec pour seule différence, le fond blanc troqué contre un fond bleu.
- Italie (2 décembre 1988) : Chi ha incastrato Roger Rabbit
- Suède (2 décembre 1988) : Vem satte dit Roger Rabbit ?
- Photos d'exploitation, Etats-Unis :
- Dossier de presse, Etats-Unis :
- Clichés pour la presse, Etats-Unis :
- Photos d'exploitation, Espagne :
- Catalogue de vente Sotheby's :
- Affiches sorties Vidéo et DVD, Etats-Unis / France :
- Publicité Disney Channel :
Magazine Première, Août 1988
Aventures de Winnie l'Ourson
Sorti le 11 mars 1977 aux Etats-Unis, Les Aventures de Winnie l'Ourson (The Many Adventures of Winnie the Pooh) est en fait une compilation de trois moyens-métrages mettant en vedette des personnages de A.A. Milne, et qui sont sortis indépendamment au cours des dix années précédentes (voir ci-dessous). Réalisé par John Lounsbery et Wolfgang Reitherman, le film est considéré aujourd'hui comme le 22ème classique des studios Disney.
L'affiche créée pour la sortie de ce film d'anthologie, reprend de manière identique le visuel utilisé pour la promotion du deuxième moyen-métrage de la série, Winnie l'Ourson dans le Vent. Ce choix s'explique simplement par le fait que, contrairement aux autres publicités, celle-ci met en scène tous les personnages de la série. Etant le personnage principal, et surtout l'un des plus populaires des studios Disney, Winnie est évidemment clairement mis en avant, tout comme Tigrou d'ailleurs, qui, bien que n'apparaissant qu'à partir de la deuxième aventure de l'ourson, est lui-aussi devenu très apprécié du public. D'ailleurs, la petite pancarte qu'il tient dans ses mains précise qu'il s'agit aussi de ses aventures, et pas seulement de celles de l'ourson ! Accroché au fou de la ficelle que tient Winnie, le petit cochon Porcinet, soulevé comme une brindille par la tempête qui fait rage. Les autres personnages majeurs sont, quant à eux, absents de la scène. Un cadre à part permet de les représenter : de gauche à droite, on reconnait ainsi Maman Gourou et son Petit Gourou, Jean-Christophe, Coco Lapin, la Taupe, Maître Hibou et Bourriquet. Aucun ne manque à l'appel.
L'affiche ci-dessus présente l'ensemble des sorties de films des studios Disney entre le 6 juillet et le 6 septembre. On observe donc que Les Aventures de Winnie l'Ourson est ressorti pendant une semaine du 20 au 26 juillet 1977, aux côtés de Darby O'Gill et les Farfadets.
- Dossier de presse, Etats-Unis :
- Affiche sortie vidéo / télévision, Etats-Unis :
- Catalogue Disney Store, 1995 :
- Catalogue Sotheby's, 1998 :
Winnie l'ourson et l'Arbre à Miel (Winnie the Pooh and the Honey Tree) marque la première apparition de l'ourson de A.A. Milne au cinéma. Réalisé par Wolfgang Reitherman, le moyen-métrage est sorti le 4 février 1966 aux Etats-Unis, en complément du film Quatre Bassets pour un Danois. Il met en scène les nombreux personnages de la Forêt des Rêves Bleus (hormis Tigrou et Porcinet, qui n'apparaissent qu'à partir du deuxième film), et en particulier Winnie qui, toujours à la recherche de bon miel, e met souvent dans des situations compliquées. C'est ainsi qu'il se retrouve tantôt poursuivit par une nuée d'abeille, tantôt coincée dans l'entrée du terrier de Coco Lapin...
L'affiche créée pour le film, et en partie reprise en France, est d'une grande beauté. Elle met en avant le petit ourson "de peu de cervelle", accroché au bout de son ballon, qui lui permet de s'envoler dans les airs et ainsi de mieux se rapprocher de l'arbre dans lequel les abeilles ont fabriqué leur miel. Un détail, ou plutôt deux, intéressant sur la publicité est la présence de Tigrou et de Porcinet, qui n'apparaissent pas dans le film. D'ailleurs, on peut remarquer que leur apparence visuelle, comme celle des abeilles, d'ailleurs, est bien différente de celle qu'ils auront dans les moyens-métrages suivants. A noter également le soin apporté pour que le spectateur retienne, avant même d'avoir vu le film, le nom de chacun des personnages, inscrit dans un cadre où chacun est représenté.
Ci-dessous, les clichés destinés à la presse :
- Affiche Disney on Parade aux Coliseum et Cow Palace d'Oakland, en 1972 :
- Photo d'exploitation, Royaume-Uni :
- Photos d'exploitation, Mexique :
Presque trois ans après Winnie l'Ourson et l'Arbre à Miel, les héros de la Forêt des Rêves bleus reviennent sur les écrans, avec un tout nouveau moyen-métrage : Winnie l'Ourson dans le Vent (Winnie the Pooh and the Blustery Day). Toujours dirigé par Wolfgang Reitherman, qui a brillamment succédé à Walt Disney, décédé à la fin de l'année 1966, le film est sorti aux Etats-Unis le 20 décembre 1968, en complément du film Le Cheval aux Sabots d'Or. Winnie et ses amis sont cette-fois aux prises avec une terrible tempête, qui balaye la Forêt des Rêves Bleus...
Toujours aussi réussie, avec son aspect crayonné, l'affiche reprend les principaux acteurs du dessin animé. Winnie, évidemment, est mis en avant, tout comme Tigrou, qui fait une entrée fracassante dans la ménagerie Disney. Au bout de la ficelle tenue par l'ourson, le petit cochon Porcinet, soulevé par les vents violents. Et sur le même modèle que l'affiche de Winnie l'Ourson et l'Arbre à Miel, les autres personnages sont présentés dans un cadre spécial. A noter que cependant, leur nom n'apparaît plus. Il faut dire que désormais, le public les connaît !
Une autre affiche fut créée. Elle-aussi sublime, elle reprend une image du film, au cours de laquelle les héros font la fête, autour d'une table remplie de gateaux. Tout autour, chacun des personnages est associé à l'acteur qui lui prête sa voix. Parmi eux, Sterling Holloway, prête sa voix à Winnie. Holloway est un artiste très connu des fans de Disney, puisqu'il a doublé d'autres personnages majeurs, comme le Chat du Cheshire dans Alice au Pays des Merveilles, Kaa dans Le Livre de la Jungle, ou encore Roquefort dans Les Aristochats... Paul Winchell double Tigrou, John Fiedler joue Porcinet, Junius Matthews, superbe Archimède dans Merlin l'Enchanteur, interprète Coco Lapin, Barbara Luddy, charmante Lady dans La Belle et le Clochard et Pimprenelle dans La Belle au Bois dormant, prête sa voix à Maman Gourou. Dans le casting, on trouve aussi John Walmsley dans le rôle de Jean-Christohe, Clint Howard dans le rôle de Petit Gourou, Hal Smith dans le rôle de Maître Hibou, le scénariste Ralph Wright dans le rôle de Bourriquet. L'ensemble du dessin animé est narré par Sebastian Cabot, qui joua Bagheera dans Le Livre de la Jungle.
En France, le court-métrage est également sorti en même temps que Le Cheval aux sabots d'or, le 20 mars 1970.
- Publicités, Etats-Unis :
- Dossiers de presse, Etats-Unis :
- Photos d'exploitation, Etats-Unis :
- Clichés pour la presse, Etats-Unis :
- Programme, France :
- Affiche japonaise (7 mars 1970) :
- Suède :
Le 20 décembre 1974, en complément du film L'Île sur le Toit du Monde, les héros de la Forêts des Rêves bleus reviennent pour la troisième fois sur les écrans américains, avec Winnie l'Ourson et le Tigre Fou (Winnie the Pooh and Tigger Too), réalisé par John Lounsbery. Tigrou, qui a fait une entrée fracassante dans l'épisode précédent, devient le héros de ce nouvel opus. Bondissant sans cesse, il s'attire la colère de Coco Lapin, qui décide de le semer dans la forêt. Ensuite, toujours à cause de ses bonds, le Tigre fou se retrouve coincé au sommet d'un arbre gigantesque du haut duquel il ne parvient plus à descendre...
L'affiche répond une nouvelle fois aux codes mis en place lors des sorties des opus précédents. Elle conserve cet aspect crayonné, colorié comme avec des crayons de couleur. Mais cette fois, seuls les deux personnages principaux, qui donnent son titre au film, son mis en avant : Winnie et Tigrou. Il faut dire qu'inscrire les visages et les noms des autres personnages est devenu inutile, tant leur popularité est énorme. D'une grande sobriété, la publicité vend ce nouvel épisode comme le plus "bondissant", référence aux mimiques de Tigrou.
En France, Winnie l'Ourson et le Tigre Fou est sorti dans les salles en même temps qu'une ressortie des Trois Caballeros.
- Photos d'exploitation, Etats-Unis :
- Cliché pour la presse, Etats-Unis :
Six ans après la sortie du film Les Aventures de Winnie l'Ourson, les habitants de la Forêt des Rêves bleus reviennent au cinéma pour la 4ème fois, avec Winnie l'Ourson et une Sacrée Journée pour Bourriquet (Winnie the Pooh and a Day for Eeayore), sorti le 11 mars 1983, en complément d'une ressortie de Merlin l'Enchanteur. Réalisé par Rick Reinert, il met en vedette l'un des personnages les plus appréciés de la série, et pourtant l'un des moins mis en avant : Bourriquet, qui fête son anniversaire...
Ce nouvel épisode ne bénéficie pas, comme ses prédecesseurs, d'une affiche propre. En effet, complément de Merlin l'Enchanteur, sa promotion n'est centrée que sur une manchette reprenant uniquement deux images extraites du film.
Ci-dessous, des clichés réservés à la presse :
- Photos d'exploitation, Etats-Unis :
? , John Lounsbery et Wolfgang Reitherman.
Le réalisateur Wolfgang Reitherman, avec l'Oscar du meilleur court-métrage décerné à Winnie l'Ourson dans le Vent.
John Lounsbery, animateur de Bourriquet, et réalisateur du troisième opus, Winnie l'Ourson et le Tigre Fou.
Xavier Atencio, animateur et scénariste.
Les compositeurs Richard et Robert Sherman et Buddy Baker.
Sterling Holloway, la voix originale de Winnie l'Ourson.
Paul Winchell, la voix originale de Tigrou.
Ralph Wright, la voix originale de Bourriquet.
John Walmsley, l'une des voix originales de Jean-Christophe.
Hal Smith, la voix originale de Maître Hibou.
John Fiedler (VO Porcinet), Hal Smith (VO Maître Hibou) et Paul Winchell (VO Tigrou)
Sebastian Cabot, le narrateur dans la version originale.
Howard Morris, la voix originale de la Taupe.
...
Magazine Disneyland (26 décembre 1972 ; 1972 N°7 ; 1973 N°56)
Journal de Mickey N°772 du 12 mars 1967 (couverture de René Guillaume)
DVD Magazine Hors Série, Automne 2003
Les Aventures de Bernard et Bianca
23ème classique des studios Disney, Les Aventures de Bernard et Bianca (The Rescuers) s'inspirent de l'oeuvre de Maguery Sharp parue dans les années 50-60. Réalisé par Wolfgang Reitherman, John Lounsbery et Art Stevens, il raconte l'histoire d'une jeune orpheline, Penny, enlevée et séquestrée par l'affreuse Madame Médusa, qui utilise la fillette pour mettre la main sur un précieux diamant, l'Oeil du Diable. Prévenue du sombre méfait, la S.O.S Société, sorte d'O.N.U. du monde des souris, décide d'envoyer son meilleur agent. Volontaire, c'est à Miss Bianca que revient la mission de délivrer la fillette, mais pas question qu'elle parte seule. Elle choisit alors comme compagnon le concierge maladroit et supersticieux de la société, Bernard. Commence alors pour eux une extraordinaire aventure, qui les mènera de New-York au coeur de la Louisiane, et au cours de laquelle ils feront la connaissance de nombreux personnages, du chat Rufus à l'albatros Orville, en passant par la courageuse Annie Bouée, sans oublier la méchante de service, Médusa, accompagnée de son homme de main Snoops et de ses deux monstrueux crocodiles Brutus et Néron...
Les Aventures de Bernard et Bianca est sorti dans les salles américaines le 22 juin 1977.
L'affiche créée pour l'occasion met tout de suite de spectateur au coeur de l'action et de l'aventure, avec pour cadre le Bayou du Diable, où se joue la majorité de l'intrigue. On retrouve les personnages principaux du film : les deux souris Bernard et Bianca, dans leur sommaire embarcation tractée par la libellule Evinrude, les deux aligators, Brutus et Néron, avec l'ours en pelluche de Penny dans la gueule, l'albatros Orville. Mais le personnage le plus mis en avant, chose rare, est la méchante, Madame Médusa qui, aux commandes de son bolide d'enfer, semble sortir de son bateau comme une furie, tellement vite que son acolyte Snoops est éjecté dans les airs. Elle brandit le bien qu'elle convoite depuis toujours et qui est à l'origine de son méfait : l'Oeil du Diable. Il est rare qu'une affiche de Disney de l'époque donne autant la part belle au méchant de service. Il faut dire que Médusa est une méchante de taille, la plus grande depuis Cruella d'Enfer, dans les 101 Dalmatiens. Tout à fait normal alors de la mettre en avant, au risque de laisser dans l'ombre les deux héros du film. Le slogan reprend d'ailleurs cette idée selon laquelle Médusa est la femme la plus diabolique du monde ! A noter, chose surprenante, que la petite victime, Penny, n'est pas présente sur la publicité. On peut voir aussi que les noms des principaux acteurs apparaissent sur l'affiche : Bob Newhart, qui joue Bernard, Eva Gabor, qui joue Bianca, Geraldine Page qui prête sa voix à Médusa, et Joe Flynn qui interprète Snoops.
D'autres affiches furent créées pour les ressorties du film, le 16 décembre 1983, et le 17 mars 1989.
A noter que lors de la sortie de 1983, le film fut projeté à la suite du nouveau film de Mickey Mouse, Le Noël de Mickey, de Burny Mattinson.
En France, Les Aventures de Bernard et Bianca fut projeté à partir du 30 novembre 1977.Le film ressort également le 2 décembre 1987.
L'affiche reprend presque le visuel de la publicité américaine, à la différence que Bernard et Bianca sont davantage mis en avant, et que, surtout, Penny apparaît, prisonnière de la mâchoire d'une des molosses de Médusa.
- Allemagne (16 décembre 1977 ; 7 décembre 1984 ; 5 avril 1990) : Bernard und Bianca - Die Mäuse-Polizei :
- Australie (29 décembre 1977 ; 13 décembre 1990) :
- Belgique : De Reddertjes :
- Espagne (25 novembre 1977 ; 1989) : Bernardo y Bianca :
- Italie (15 décembre 1977 ; 24 décembre 1984 ; 30 mars 1990) : Le Avventure di Bianca e Bernie :
- Royaume-Uni :
- Photos d'exploitation, Etats-Unis :
- Photos d'exploitation, Etats-Unis (ressortie) :
- Clichés pour la presse, Etats-Unis :
- Clichés pour la presse, Etats-Unis, 1989 :
- Dossier de presse, Etats-Unis, 1977 :
- Publicités, Etats-Unis :
- Photos d'exploitation, Mexique :
- Photo d'exploitation, France, 1977 :
- Synopsis, France, 1977 :
- Photo d'exploitation, Allemagne :
- Photos d'exploitation, Espagne :
- Affiches vidéo, Etats-Unis, USA version espagnole, en Hébreux, Québec :
- Affiche vidéo, France :
- Dossier de presse vidéo, Etats-Unis :
- Dossier de presse vidéo, France :
Magazine Mickey Mouse N°157, octobre 1978
La Parisien 23 mars 2011
Premier concept pour l'affiche du film.
Bernard et Bianca revinrent au cinéma dans Bernard et Bianca au Pays des Kangourous en 1990.
Dingo et Max
Dingo et Max (A Goofy Movie) de Kevin Lima, le réalisateur de Tarzan, Il était une Fois et 102 Dalmatiens, voit débouler l'un des personnages les plus populaires des studios Disney dans son tout premier long-métrage d'animation (si on exclu Coquin de Printemps, dans lequel il n'apparaissait que dans la première partie, aux côtés de Mickey et Donald, Le Dragon récalcitrant et Saludos Amigos où il fait une courte apparition).
Partiellement adapté de la série télévisée La Bande à Dingo (Goof Troop), ce dessin animé raconte l'histoire de Dingo qui, sur les conseils de son ami Pat Hibulaire, décide d'organiser des vacances afin de se rapprocher de son fils Max. Mais ce-dernier a d'autres projets. En effet, il est invité à une soirée en compagnie de la belle Roxanne, qu'il aime en secret. Voilà alors les deux Dingo embarqués dans un road-movie au cours duquel ils devront s'entendre, malgré leur style de vie si différent...
Notamment conçu dans les studios Disney de Montreuil, près de Paris, Dingo et Max est sorti dans les salles américaines le 7 avril 1995.
L'affiche créée pour la promotion du film jouit d'un visuel simple, mais cependant très accrocheur. En effet, aucun décor. Simplement un fond, tantôt bleu, tantôt rose. En vedette, les deux héros, Dingo et son fils Max, en train de danser. Le slogan complète la publicité : "It's hard to be cool when your Dad is Goofy", "Difficile de rester cool quand ton père est Dingo". D'une grande sobriété, ce visuel fait partie des plus beaux créés à l'époque. Bien entendu, il n'égale pas les sublimes affiches, très chargées de Pocahontas ou du Bossu de Notre-Dame, mais sa simplicité, et le plaisir de redécouvrir Dingo au cinéma, d'où il était absent depuis la sortie du Prince et le Pauvre, quelques années auparavant, donne franchement envie de découvrir ses nouvelles aventures.
A noter que Dingo est Max fut projeté accompagné du court-métrage Mickey Perd la Tête de Chris Bailey.
En France, le film est sorti le 3 juillet 1996, soit plus d'un an après la sortie américaine.
L'affiche est identique à la publicité américaine et, chose rare, le slogan est également repris.
- Espagne (13 juin 1996) : Goofy E Hijo :
- Italie : In Viaggio Con Pippo :
- Mexique : Goofy la Pelicula :
- Suède (26 juillet 1996) : Janne Langben - The Movie :
- Photos d'exploitation, Etats-Unis :
- Clichés pour la presse, Etats-Unis :
- Dossier de presse, Etats-Unis :
- Photos d'exploitation, Allemagne :
- Clichés pour la presse, France :
- Dossier de presse, France : Le dossier de presse français a été conçu comme une carte routière, à déplier pour lire les informations concernant le film.
- Affiche vidéo, Etats-Unis, France :
- Dossier de presse vidéo, France :