Lapin Looping
Après l'immense succès de Qui veut la Peau de Roger Rabbit, le lapin barjot revient pour la troisième fois sur les écrans de cinéma avec Lapin Looping (Rollercoaster Rabbit), un an après Bobo Bidon, son premier court-métrage, et trois ans avant Panique au Pique-Nique, sa dernière production.
Réalisé par Rob Minkoff, et produit par Steven Spielberg, le film met une nouvelle fois en scène Roger Rabbit et Baby Herman, en visite dans une fête foraine. Pendant que "Maman" consulte une voyante, Roger a la lourde mission de surveiller le gamin qui, évidemment, lui échappe ! Attiré par un ballon rouge, Herman fait faux-bond à Roger, qui doit alors "affronter" les différents manèges pour le retrouver...
Lapin Looping est sorti dans les salles américaines le 15 juin 1990, en première partie de Dick Tracy de Warren Beatty.
Comme toutes les affiches de la série de courts-métrages de Roger Rabbit, une unique image est mise en avant sur un fond blanc. Conçue comme une affiche de film, les deux têtes d'affiches voient leur nom inscrit au dessus du visuel. Et comme d'habitude, le dessin animé est vendu comme une production de R.K. Marroon, le grand production de Roger dans le film Qui veut la Peau de Roger Rabbit. A noter la présence, comme d'habitude, de la pulpeuse Jessica Rabbit, qui tient dans ses bras Baby Herman.
- Italie (en avant-programme de Toy Story)
- Dossier de presse, Etats-Unis :
- Clichés pour la presse, Etats-Unis :
Dingo Détective
Depuis la création de sa propre série en 1939, avec Dingo et Wilbur, le personnage de Dingo a constamment évolué, passant du simple nigaud au père de famille surmené, en passant par tout un tas d'autres rôles plus ou plus loufoques. Dans Dingo Détective (How to be a Detective), réalisé par Jack Kinney, il campe le rôle d'un détective engagé par une inconnue afin de retrouver un certain "Al." porté disparu. Mais son enquête est semée d'embuches, et il doit notamment faire face au shérif de la ville, joué par Pat Hibulaire, qui lui demande de laisser la police faire son travail...
Dingo Détective fait partie de la série des "How to...", composée de nombreux courts-métrages dans lequels Dingo, sorte de cobaye, agit en parallèle d'une voix-off expliquant les caractéristiques de tel ou tel sport ou de tel ou tel métier. Bien entendu, avec l'habileté légendaire de Dingo, la "leçon" se tranforme bien vite en une bouffonnerie pleine de gags farfelus !
Dinge Détective est sorti dans les salles américaines le 12 décembre 1952 et fait partie des derniers films distribués par la RKO Pictures.
Depuis plusieurs années maintenant, les affiches des courts-métrages de Disney ne se cantonnent plus à un simple dessin mis en valeur par des couleurs vives. En effet, comme l'affiche de Dingo Détective, les visuels sont beaucoup plus recherchés, et surtout mis en couleurs comme de vrais tableaux. Sur cette affiche, on découvre donc Dingo et son air "éveillé". Vêtu de l'imperméable typique des détectives, il est mis en valeur dans une loupe qui rappelle, comme d'autres nombreux objets, l'ambiance "policière" du film. En bas du document, on retrouve un autre personnage du film, une fouine que Dingo croise tout au long du film et qui cherche à le descendre. A noter que cette fouine semble tout droit sortie du Crapaud et du Maître d'école, où on retrouve le même type de personnages fourbes et sans scrupules, avec le même genre de casquette et de veste, typique des gangsters des années 30. Qui veut la Peau de Roger Rabbit reprendra également le même personnage pour le même genre de rôle. Petite blague sans conséquence, sorte de "Hidden Mickey" : Dingo est en train de lire un journal dont la dernière page semble contenir une histoire de Mickey Mouse !
- Clichés pour la presse, Etats-Unis :
Kalahari
L'Afrique semble à la mode chez Disney au milieu des années 1990. Alors même que Le Roi Lion arrive à la fin de sa production, un film centre également son scénario sur le continent noir, Kalahari (A Far Off Place), réalisé par Mickaël Salomon, avec en vedette la jeune actrice Reese Witherspoon.
Le film raconte l'histoire de deux adoslescents, Nonni (Reese Witherspoon) et Harry (Ethan Embry), qui assistent impuissants au massacre de leurs parents par des braconniers chasseurs d'ivoire. Aidé de Xhabbo (Sarel Bok), un bushman africain, ils n'ont d'autres solution que de traverser les 1 500 kilomètres du désert du Kalahari, afin de trouver de l'aide auprès du Colonel Mopani Theron (Maximilian Schell), chasseur légendaire qui traque les braconniers. Commence alors pour les trois amis une grande aventure où ils doivent survivre face à la nature sauvage et la folie des hommes...
Coproduit par les studios Disney et la société de Steven Spielberg Amblin Entertainment, Kalahari sort dans les salles américaines le 12 mars 1993, en même temps que le court-métrage Panique au Pique-Nique, avec Roger Rabbit, qui est présenté en avant-programme.
L'affiche du film prend soin de placer immédiatement le cadre chronologique. Sur un fond d'une rouge profond, qui n'est d'ailleurs pas sans rappeler l'ouverture du Roi Lion, on découvre en effet les trois jeunes héros et leur chien, qui rencontrent une maman éléphant et son petit. Rien ne semble trahir l'histoire. Seul le slogan indique qu'il s'agit d'une grande épopée à travers l'Afrique. D'une grande poésie, cette affiche laisse donc le spectateur libre d'imaginer ce qu'il veut, et crée une certaine curiosité destinée à attirer le public qui souhaite en savoir davantage dans les salles.
En France, Kalahari sort dans les salles le 28 juillet 1993.
Moins de poésie, certains diront moins de charme, dans cette affiche française. L'atmosphère du film est moins mystérieuse. Le désert est clairement l'élément central du visuel. Le titre même choisi pour la sortie française indique immédiatement où l'intrigue se joue, là où l'affiche américaine laissait planer le doute. Dans ce désert immense et infini, on retrouve nos héros et leurs chien, en pleine traversée. Le sous-titre "A la poursuite des Chasseurs d'Ivoire" laisse également entrevoir une histoire de braconnage. Quand à cette impression de coin de page relevé, en bas à droite... Mystère. Peut-être pour suggérer qu'une page se tourne dans la vie des personnages principaux... Choix étrange cependant d'occuper une place si importante du document par un effet qui ne semble pas apporter réellement d'information...
- Allemagne (26 août 1993) : Die Spur des Windes
- Espagne (13 août 1993) : Un lugar muy lejano
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- Dossier de presse, France :
- Affiches sorties vidéo, Etats-Unis - Argentine :
Les Petits Lapins Joyeux
43ème court-métrage de la série des Silly Symphonies, Les Petits Lapins Joyeux (Funny Little Bunnies) est réalisé par Wilfred Jackson. Il raconte l'histoire de petits lapins blancs, qui préparent la fête de Pâques, fabricant des oeufs et autres confiseries au chocolat.
Les Petits Lapins Joyeux est sorti dans les salles américaines le 24 mars 1934, juste à temps pour la célébration de la fête pascale.
L'affiche du film présentée ici est celle conçue pour une ressortie du film organisée par la RKO dans les années 1950. On y retrouve l'un des gags du film, qui montre un lapin "artiste peintre", en train de décorer l'un des oeufs de Pâques. A noter que l'usage du Technicolor est clairement mentionné. En effet, même si cette technique était déjà utilisée par les studios Disney depuis 1932, Les Petits Lapins Joyeux a permis aux artistes de Disney d'en exploiter toutes les possibilités, à une époque où les Silly Symphonies servaient de banc d'essai et de test pour le grand projet que les studios préparaient, Blanche Neige et les Sept Nains.
- Clichés pour la presse, Etats-Unis, 1934 :
Dingo et Wilbur
Après une première apparition rapide mais remarquée dans Mickey's Revue en 1932, Dingo atteint, à l'instar de Donald Duck, une grande popularité auprès du public, éclypsant même Mickey Mouse dans le coeur de nombreux fans. Et logique à tout cela, celui qui fut pendant des années un second rôle de choix, devient la vedette de sa propre série de courts-métrages avec Dingo et Wilbur (Goofy and Wilbur).
Réalisé par Dick Huemer, Dingo et Wilbur met en scène le célèbre chien au cours d'une partie de pêche qu'il organise avec son fidèle ami, une sauterelle apprivoisée nommée Wilbur. Tout est prévu pour réussir, car Wilbur n'a pas son pareil pour attirer les poissons droit sur l'hameçon de son maître. Mais rapidement, la situation se complique lorsque Wilbur se fait gober par une grenouille...
Dingo et Wilbur est sorti dans les salles américaines le 17 mars 1939. L'affiche du film est dans la même veine que ce qui se faisait à l'époque. Comme dessinée, et teintée de couleurs vives, elle reprend le héros du film, Dingo, avec tout son attirail de pêche, et son compagnon Wilbur sur son doigt. On peut remarquer le nom de Walt Disney, en bonne place sur le visuel, et également la mention "A Mickey Mouse", qui donne l'impression que le dessin animé est vendu comme une aventure de Mickey, ou du moins une aventure se situant dans la même trempe.
Ci-dessus une affiche destinée au marché asiatique, comme semble l'indiquer la mention "Distributed by RKO Radio Pictures (Asia)", en bas du document. Le visuel est identique, mais cette fois, on remarque que le film est vendu comme une Silly Symphony.
- Clichés pour la presse, Etats-Unis :
- Carte de la Saint-Valentin, Etats-Unis :
Panique au Pique-Nique
Réalisé par Barry Cook, le co-réalisateur de Mulan en 1998, et produit par Steven Spielberg, Panique au Pique-Nique (Trail Mix-Up) est le troisième court-métrage des studios Disney mettant en vedette le lapin frapadingue tout droit sorti de Qui veut la Peau de Roger Rabbit, après Bobo Bidon en 1989 et Lapin Looping en 1990.
Cette fois, le lapin à la culotte rouge se retrouve au coeur du parc national de YellowStone où, comme d'habitude, il reçoit la lourde tâche de surveiller Baby Herman. Et comme d'habitude, ce-dernier échappe à sa vigilance. Roger doit alors braver les dangers de la forêts pour sauver son petit protégé...
Panique au Pique-Nique est sorti dans les salles américaines en avant-programme du film Kalahari de Mikaël Salomon, le 12 mars 1993.
L'affiche du film est construite sur le même modèle que l'ensemble des courts-métrages de la série. Sur fond blanc, on retrouve le titre avec ses deux têtes d'affiches, Roger Rabbit et Baby Herman. A noter que le dessin animé, comme ses prédécesseurs, est vendu comme un Maroon Cartoon, reprenant l'idée qu'il est produit par R.K. Maroon, comme le film Qui veut la Peau de Roger Rabbit semble le suggérer ! Et puis évidemment, une image reprenant l'idée du film, sur laquelle Roger se retrouve dans une situation périlleuse par la faute de Baby Herman, sous le regard de la sublime Jessica Rabbit, dans le rôle d'un ranger.
- Dossiers de presse, Etats-Unis :
- Clichés pour la presse, Etats-Unis :
- Carton d'invitation à l'avant-première réservée à l'équipe du film :
- Dossier de presse, France :
Presto
Depuis quelques années maintenant, les studios d'animation Pixar ont pris l'habitude de sortir leurs longs-métrages d'animation avec un court-métrage en première partie. Presto, réalisé par Doug Sweetland, est sorti dans les salles américaines juste avant WALL.E, le 27 juin 2008, quelques jours après sa première diffusion au Festival International du Film d'Animation d'Annecy.
En France, le public découvre le même programme à partir du 30 juillet 2008.
Ce 15ème court-métrage des studios Pixar raconte l'histoire de Presto, un grand illusionniste de la fin du XIXème siècle, qui s'attire les foudres de son célèbre Lapin Blanc, Alec Hazam, en le privant de carotte. Pour ce venger, le petit rongeur fait alors tourner son maître en bourrique, réduisant à néant son grand numéro et le faisant passer pour un amateur devant une salle bondée...
L'affiche, l'image du film, fait partie des plus belles réussites des studios Pixar. Ce côté ancien, crayonné, donne au visuel un air de nostalgie. Calquée sur le modèle d'une vraie affiche de spectacle, avec les horaires mentionnés en bas, elle replonge le spectateur dans l'ambiance des vieux spectacles de la fin du XIXe, à l'image de ceux de Phineas Barnum ou du Moulin Rouge.
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- Clichés pour la presse, Etats-Unis :
Bambi
Tout de suite après le succès de Blanche Neige et les Sept Nains, Walt Disney lance la production de ce qui doit être son deuxième long-métrage d'animation, Bambi, d'après le roman de Felix Salten.
Réalisé par Dave Hand et Perce Pearce, le film raconte l'histoire du jeune faon Bambi, dont la naissance apporte joie et bonheur à l'ensemble de la forêt. Au fil des saisons, le jeune prince découvre le monde qui est le sien, aux côtés de ses nouveaux amis, le lapin Pan-Pan et le putois Fleur. Mais la vie dans la forêt n'est pas simple, et il découvre bien vite que les risques sont nombreux. En effet, à la rigueur de l'hiver, vient s'ajouter un danger bien plus grand : l'Homme...
Film préféré de Walt Disney, de beaucoup d'animateurs, et surtout d'un large public, Bambi est devenu, avec le temps, un monument du cinéma d'animation.
Il est sorti dans les salles américaines pour la première fois le 21 août 1942, quelques jours après l'avant-première new yorkaise et quelques semaines après la première londonienne.
La première campagne d'affichage, organisée par la RKO, mit surtout l'accent sur le fait que le film était l'adaptation du livre de Felix Salten, qui apparaît clairement sur plusieurs visuels. Le film est vendu comme une grande histoire d'amour, et ne laisse rien entrevoir de l'intrigue, si ce n'est ses principaux personnages et l'ambiance de la forêt.
Echec au box-office, notamment du fait de la Seconde Guerre mondiale, Bambi ressort dans les salles le 25 décembre 1947.
L'affiche est cette fois davantage explicite, montrant tous les éléments du film : l'immersion au coeur de la nature avec des animaux splendide, l'humour avec le lapin Pan-Pan, mais également le danger, avec les flammes qui dévorent le côté droit de l'affiche et la vignette montrant le combat entre Bambi et Ronno.
Cette fois, Bambi est un succès, et le film connaîtra plusieurs ressorties jusqu'aux années 1990. La troisième sortie fut organisée le 3 juillet 1957.
L'affiche est construite sur le même modèle que celle de 1947, avec le même genre de visuels montrant la diversité des émotions procurées par le film. Cependant, là où elle s'en éloigne, c'est sur son organisation. Exit le décor de forêt profonde, ravagé par les flammes. Cette fois, seuls les personnages principaux sont mis en valeur devant un fond bleu. Le film est vendu comme un enchantement divertissant, et la promotion met aussi l'accent sur les chansons. A noter que cette fois, Bambi n'est pas distribué par la RKO, mais par les studios Disney eux-mêmes, par l'intermédiaire de leur société, Buena Vista.
Bambi ressort encore le 25 mars 1966.
Pour cette nouvelle sortie, les mêmes visuels que pour la distribution de 1957 furent repris. Un autre visuel fut cependant créé. D'une grande simplicité, il reprend les principaux personnages, et semble mettre l'accent sur les scènes d'amour entre Bambi, Pan-Pan, Fleur et leur fiancée respective. A noter que le film est vendu comme un film de Walt Disney, synomyme de divertissement familial tout ce qu'il y a de plus raffiné.
Le 4 juin 1982 voit une énième sortie dans les salles américaines de Bambi.
L'affiche est à nouveau très dépouillée. On retrouve uniquement Bambi, Pan-Pan et Fleur. Aucune scène du film n'apparaît réellement, et aucun slogan ne semble vendre le film. Il faut dire que dorénavant, le nom même de Bambi est connu de tous, et le film n'a plus besoin d'artéfices publicitaires pour se vendre.
Le 15 juillet 1988, Bambi sort pour la dernière fois dans les salles de cinéma.
Les affiches reprennent les mêmes personnages, dans un décor haut en couleur, qui trahit cependant l'esprit du film, en particulier le visuel de droite, avec sa forêt très colorée.
La France découvre Bambi après la Seconde Guerre mondiale, le 15 juillet 1947.
La première affiche est l'oeuvre de Bernard Lancy. Véritable oeuvre de d'art, avec son aspect dessiné et peint qui fait tout son charme, elle reprend la scène au cours de laquelle Bambi est ridiculisé par Féline, qui le fait tomber dans la marre et "l'embrasse". A noter que cependant, ici, Bambi semble apprécier le geste, ce qui n'est pas le cas dans le film !
La seconde affiche de l'époque est l'oeuvre de Michel Gérard. Elle montre Bambi entouré de ses amis Pan-Pan, ainsi que ses congénères lapins, et Fleur. Elle-aussi dépouillée de toute ambiance inutile, a un effet crayonné charmant.
Bambi ressort dans les salles françaises à Noël 1969, puis le 4 avril 1979...
... Ainsi que le 22 octobre 1986.
Bambi revient pour la dernière fois sur les écrans français à l'été 1993.
L'affiche reprend le visuel du document américain. A noter l'ajout du logo du parc EuroDisney, qui vient alors d'ouvrir, en avril 1992.
- Allemagne :
- Argentine (9 décembre 1942) :
- Australie (ressortie du 23 juin 1988) :
- Belgique :
- Espagne (11 septembre 1950) :
- Grande-Bretagne (ressortie du 21 mars 1986) :
- Japon (ressortie du 12 mars 1983) :
- Mexique (4 février 1943) :
- Yougoslavie :
- Photos d'exploitation, Etats-Unis, 1942 :
- Clichés pour la presse, Etats-Unis, 1942-1947 :
- Publicité, Etats-Unis, 1942 :
- Photos d'exploitation, Mexique, 1943 :
- Clichés pour la presse, Etats-Unis, 1957 :
- Dossier de presse, Etats-Unis, 1957 :
- Photos d'exploitation, Etats-Unis, 1966 :
- Dossier de presse, Etats-Unis, 1966 :
- Publicité, Etats-Unis, 1966 :
- Dossier de presse, Allemagne :
- Clichés pour la presse, Etats-Unis, 1975 :
- Photos d'exploitation, France, 1970's :
- Synopsis, France, 1970's :
- Photos d'exploitation, Etats-Unis, 1982 :
- Dossier de presse, Etats-Unis, 1982 :
- Photos d'exploitation, Etats-Unis, 1988 :
- Clichés pour la presse, Etats-Unis, 1988 :
- Dossier de presse, Etats-Unis, 1988 :
- Dossier de presse, Islande :
- Photos d'exploitation, Royaume-Uni, 1950's / 1970's :
- Publicités, France, 1980's - 2000's :
- Affiches sorties vidéo, Etats-Unis, France / Israël :
Journal de Mickey N°292 du 29 décembre 1957
Journal de Mickey N°913 du 14 décembre 1969 (couverture de René Guillaume)
Disneyland Magazine, 17 octobre 1972
Magazine Club Disney Vidéo N°3, mai-juin 1998
Catalogue Disney Store, hiver 2002
- Présentation du film restauré, avant la sortie en Blu-Ray Disc, à Chicago, le 21 février 2011, en présence d'Andreas Deja et Donnie Dunaghan :
Le Brave Petit Tailleur
Le Brave Petit Tailleur (Brave Little Tailor) est certainement l'un des courts-métrages de Mickey Mouse les plus célèbres et les plus appréciés du public.
Il met en scène la célèbre souris dans le rôle d'un tailleur qui, dans un énorme quiproquo, est pris par la population et le Roi pour un chasseur de géants. Le voilà alors embarqué dans une chasse extraordinaire au cours de laquelle Mickey doit débarrasser le royaume d'un géant redoutable...
Réalisé par Bill Roberts, Le Brave Petit Tailleur est sorti dans les salles américaines le 23 septembre 1938. Il est distribué par la RKO Pictures.
L'affiche du film, reprend les deux personnages principaux : Mickey, évidemment, "en proie" au géant, qui semble s'amuser de lui en le faisant tourner sur son index. D'une grande simplicité, très dépouillée, l'affiche place cependant très bien le spectateur dans l'ambiance du film. Une affiche efficace et simple, pour un court-métrage remarquable et un Mickey brillamment mis en scène, grâce, notamment, à l'animation exceptionnelle de Frank Thomas !
Une affiche du Brave Petit Tailleur qui n'en est pas vraiment une. Au Japon, le court-métrage est sorti dans les salles en 1988, dans un programme spécial qui réunissait également les films Peter Pan et La Belle au Bois dormant.
- Clichés pour la presse, Etats-Unis :
Le Dilemme de Donald
Le Dilemme de Donald (Donald's Dilemma) est l'un des rares films du célèbre canard colérique à donner la part belle à sa fiancée, Daisy Duck.
Réalisé par Jack King, sur un scénario de Roy Williams, il met en scène Daisy, en visite chez son psychiatre. Car la belle a un problème. Alors qu'elle et son fiancé Donald se promenaient dans la rue, ce-dernier a reçu un pot de fleur sur la tête. Ayant perdu l'esprit pendant un temps, il se réveille avec des talents de crooner exceptionnels. Et bientôt, la célébrité est au rendez-vous. Malheureusement pour elle, Donald a perdu la mémoire et il ne reconnait plus sa fiancée. Celle-ci doit alors choisir : laisser Donald profiter de son succès, ou lui rendre la mémoire, anéantissant ainsi sa carrière de chanteur...
Le Dilemme de Donald est distribué dans les salles américaines par la RKO Pictures à partir du 11 juillet 1947.
L'affiche, dans la veine des superbes publicités de l'époque, ne plonge par directement le spectateur dans l'ambiance du film. En effet, on y découvre Donald, assommé par le pot de fleur, et Daisy, qui semble le regarder avec tristesse. Cependant, la présence même de la belle, tellement rare au cinéma, suffit à rendre le film attrayant.
- Clichés pour la presse, Etats-Unis :