Le Plus Heureux des Milliardaires
Philadelphie, 1916. John Lawless (Tommy Steele) est le nouveau majordome des Drexel Biddle, une famille bourgeoise de Walmut Street des plus excentriques. Entre le père Anthony, amateur de boxe et éleveur d'alligators, les fils qui ne demandent qu'à partir, et la fille, Cordélia (Lesley Ann Warren), véritable garçon manqué, la vie n'est pas de tout repos. Lorsque Cordélia tombe amoureuse d'Angie Duke (John Davidson), les choses se compliquent encore davantage. En effet, entre Anthony, au départ réticent à l'idée du mariage, et la mère d'Angie (Geraldine Page) qui est trop possessive, les deux belles familles ont le don de rendre la situation plus que pénible, allant jusqu'à menacer le mariage...
Le Plus Heureux des Milliardaires (The Happiest Millionaire) est un film à part dans la longue filmographie des studios de Mickey. Il est, en effet, le dernier film lancé par Walt Disney, mort pendant la production, en décembre 1966. Réalisé par Norman Tokar, le metteur en scène de La Course au Trésor, 4 Bassets pour 1 Danois ou encore 3 Etoiles, 36 Chandelles, il s'inscrit dans la lignée des comédies musicales produites par Disney dans les années 60-70. Rythmée par les chansons des Frères Robert et Richard Sherman, il est présenté au public américain le 23 juin 1967, lors de sa Première à Hollywood. Il est ensuite diffusé à l'échelle nationale au début de l'année 1968.
- Belgique :
- Espagne :
- Italie :
- Dossier de presse ; programme, Etats-Unis :
- Photos d'exploitation, Etats-Unis :
- Cliché pour la presse, Etats-Unis :
- Photos d'exploitation, Royaume-Uni :
La Belle et le Clochard
Nouvelle Angleterre, fin du XIXe siècle. Lady est une jeune femelle cocker comblée par ses maîtres Jim et Darling, bientôt heureux parents d'un nouveau-né, et par ses amis Jack, un scottish terrier, et César, un vieux Saint-Hubert. Sa vie va cependant être totalement bouleversée lorsque ses propriétaires la confie, ainsi que le bébé, à leur tante Sarah, vieille femme antipathique, qui déteste par-dessus tout les chiens. Cherchant à défendre son territoire face aux chats siamois de Sarah, qui sèment la pagaille dans la maison, Lady s'attire bien vite les foudres de la grand-mère, qui décide de la museler. S'en est trop pour la chienne qui s'enfuit ! Seule et abandonnée face aux dangers de la rue, elle est sauvée par un chien errant répondant au nom de Clochard. Ensemble, ils vont vivre des aventures trépidantes, et donner naissance à l'une des plus belles histoires d'amour.
15ème grand classique des studios Disney, réalisé par Hamilton Luske, Wilfred Jackson et Clyde Geronimi, La Belle et le Clochard (Lady and the Tramp) est sans doute le projet qui ressemble le plus à Walt, tant il se rapproche de l'Amérique idéale qu'il avait connue dans sa jeunesse. Premier dessin animé tourné en Cinémascope, inspiré de l'oeuvre de Ward Greene, il est sorti dans les salles américaines le 22 juin 1955, quelques jours après la Première, organisée à Chicago le 16 juin.
Des affiches qui s'inscrivent complètement dans le ton du film. On croit revoir ses vieilles affiches pastelles du XIXe siècle, comme peintes, avec leurs lettres élaborées avec charme. On remarque que le film est vendu comme le dessin animé "le plus drôle" de Walt Disney, et que l'argument du Cinemascope est largement utilisé.
Apprécié du public, et pourtant "dégommé" par la critique, La Belle et le Clochard, dont la scène du "baiser de spaghettis" est devenue mythique, ressort dans les salles américaines le 26 septembre 1962, en même temps que le film Presque des Anges (Almost Angels) de Steve Previn.
La Belle et le Clochard revient sur les écrans américains le 17 décembre 1971, la même année que L'Apprentie Sorcière.
Toujours le même visuel. Seul changement, la police d'écriture, qui voit le remplacement des lettrines par des lettres plus "modernes".
Les cabots de Disney reviennent sur grand écran le 7 mars 1980.
Exit le "vieux visuel". Cette fois, le film est vendu avec ce qui reste l'une des scènes les plus connues du cinéma, celle où les deux chiens s'embrassent devant leur plat de spaghettis, au son de la "Bella Note" de Joe et Tony. Et le film vendu comme le plus drôle de Disney, est maintenant devenu "l'une des plus grandes histoires d'amour de tous les temps" !
Le 19 décembre 1986, La Belle et le Clochard revient dans les salles américaines pour Noël.
1996. La Belle et le Clochard ressort pour la 6ème fois dans les salles.
2012. La Belle et le Clochard sort pour la première fois en Blu-Ray Disc. A l'occasion, les écrans du El Capitan Theatre accueille le duo de chiens sur ses écrans pour une durée limitée, du 3 au 16 février.
La Belle et le Clochard débarque en France le 16 décembre 1955.
Même visuel ou presque que l'affiche américaine, et même police d'écriture ancien. A noter que le côté "Noël" est renforcé, en coïncidence avec la période de sortie du film en France.
Une autre affiche, réalisée par René Ferracci.
Le film ressort dans les salles le 8 décembre 1976...
...puis le 20 mars 1985...
... ainsi qu'à Pâques 1989.
Le 25 juin 1997. La Belle et le Clochard sort pour la dernière fois dans l'Hexagone. Le film est alors distribué par Gaumont Buena Vista International.
- Allemagne :
- Australie :
- Belgique :
- Espagne / pays hispanophones :
- Grande-Bretagne (1955 ; 1970's ; 1990's) :
- Grèce :
- Italie (1985) :
- Japon (1980's) :
- Pays-Bas :
- Suède (1975 ; 1985 ; 1989 ; 1995) :
- Tchécoslovaquie (1974) :
- Ex-Yougoslavie :
- Image promotionnelle, 1955 :
- Clichés pour la presse, Etats-Unis :
- Photos d'exploitation, Etats-Unis, 1955 :
- Dossier de presse / Campaign Manual, Etats-Unis, 1955 :
- Publicité, Etats-Unis :
- Carte de voeux, 1959 :
- Dossier de presse, Allemagne :
- Photos d'exploitation, GB, 1955 :
- Photos d'exploitation, Mexique, 1956, ? :
- Photos d'exploitation, Etats-Unis, 1962 :
- Dossier de presse, Etats-Unis, 1962 :
- Programme, Japon, 1965 :
- Photos d'exploitation, Etats-Unis, 1971 :
- Dossier de presse, Etats-Unis, 1971 :
- Clichés pour la presse, Etats-Unis, 1971 :
- Photos d'exploitation, Etats-Unis, 1980 :
- Dossier de presse, Etats-Unis, 1980 :
- Dossier de presse, Etats-Unis, 1986 :
- Clichés pour la presse, Etats-Unis, 1980-90's :
- Photos d'exploitation, France 1976 + 1989 :
- Programme, ex-Yougoslavie :
- Photo d'exploitation, Italie, 1950's ; 1982 :
- Photos d'exploitation, Allemagne, 1989 :
- Dossier de presse, France, 1985 :
- Photos d'exploitation, France, 1997 :
- Dossier de presse, France, 1997 :
- Cliché presse, France
- Dossier de presse vidéo, France :
- Affiches + pub , sorties vidéos, Etats-Unis, Québec :
- Affiche Disney Channel, France + Disneytek :
- PLV, Etats-Unis, 1990's + France, février 2012 :
Walt Disney's Comic, mai 1955
Disney's Lady and the Tramp Super Mag, 1964
Walt Disney Comics Digest, février 1972
Walt Disney "Fun to know", 1973
Journal de Mickey, 18 décembre 1955
Journal de Mickey, 31 mars 1957
Journal de Mickey, 13 novembre 1966 (couverture de René Guillaume)
Journal de Mickey, mars 1985
Journal de Mickey, 25 mars 1989
Journal de Mickey, 25 juin 1997
Merci à Benoît Trotot et Michel Batini pour certaines des infos et certains des visuels présentés.
Mickey Cuts Up
Mickey s'affaire à l'entretien de son jardin. En imitant les oiseaux, il parvient à attirer l'attention de Minnie, qui jardine de son côté. Très vite, les deux souris se lancent dans une danse rythmée par le son de l'harmonica de la belle. Mais la danse tourne court lorsque Pluto, attelé à la tondeuse de Mickey, se lance à la poursuite d'un chat sauvage, ravageant malgré lui tout le jardin...
Réalisé par Burt Gillett, Mickey Cuts Up est le 35ème court-métrage de la série des Mickey Mouse. Il est sorti dans les salles américaines le 2 décembre 1931.
A l'instar de l'ensemble des premiers films de Mickey, comme (The) Haunted House, (The) Chain Gang ou encore Mickey's Orphans, Mickey Cuts Up fut vendu grâce à une "affiche type", réutilisable à volonté pour les autres productions mettant en scène la célèbre souris de Disney. Quelques changements, cependant, par rapport à la première publicité. Tout d'abord, le film n'est plus vendu avec l'unique argument que le personnage parle et chante. L'utilisation du son synchronisé n'est en effet, en 1929, plus une grande nouveauté. Et utilisée par tous les concurrents, elle n'est désormais plus une exclusivité des studios Disney. Deuxième changement notable : seul le nom de Walt Disney apparaît sur le document. Alors que le nom d'Ub Iwerks apparaissait sur les affiches, avant que l'artiste ne quitte les studios au début de l'année 1930, ici, aucun nom d'animateur n'est mentionné. A noter enfin que le film, comme les précédents, est encore distribué par la Columbia.
A noter que le film était également vendu avec des affiches types, sans aucune mention du titre, ce qui permet leur réutilisation régulière.
Morning Light
Morning Light est un film à part dans la longue liste des productions Disney. Initié par Roy E. Disney, qui était un grand passionné de voile, il suit l'équipage novice du "Morning Light" au cours de la célèbre transpacifique (TRANSPAC), entre Los Angeles et Hawaï.
Réalisé par Paul Crowder et Mark Monroe, Morning Light est sorti dans un nombre très limité de salles américaines le 17 octobre 2008 et ce pour une durée limitée, quelques jours après son avant-première, organisée au El Capitan Theatre, propriété de Disney, à Los Angeles.
Une affiche somme toute classique, mettant clairement en avant l'ambition du film. A noter que celui-ci est vendu comme un "True-Life Documentary", un documentaire sur la "vraie vie", reprenant ainsi l'expression de "True Life Adventure" créée par Disney pour la série de documentaire inituée dès les années 1950.
Aucune sortie en France. Le film fut cependant présenté lors du Festival Jules Verne, le dimanche 26 avril 2009.
Avant-Première du film, au El Capitan Theatre de Los Angeles, le 7 octobre 2008
Roy E. Disney ( producteur), Kit Will (marin), Piet Van Os (marin), Jesse Fielding (marin), Chris Branning (marin), Steve Manson (marin), Genny Tulloch (marin), Jeremy Wilmot (marin), Chris Schubert (marin), Kate Thiesen (marin), Mark Towill, Paul Crowder (réalisateur), Brant Zawadzki (marin), Mark Monroe (réalisateur), Morgan Sackett, John J. York, McKay Stewart, Rick Baker, Erin et "Big Mike" Howard, Bart Johnson.
Mickey's Orphans
C'est Noël... Mickey et Minnie, ainsi que Pluto, préparent la fête en musique, lorsqu'un panier est déposé devant leur porte. A l'intérieur, une multitude de petits chatons qui envahissent chacun des recoins de la maison. Pour les distraire, Mickey se déguise en Père-Noël, apportant à chacun des jouets. Mais rapidement, les bébés deviennent incontrôlables, transformant le paisible Noël en véritable cauchemar !...
36ème cartoon de Mickey Mouse, réalisé par Burt Gillett, Mickey's Orphans est sorti dans les salles américaines le 9 décembre 1931. Il fut nommé à l'Oscar du meilleur court-métrage en 1932.
A l'instar de l'ensemble des premiers films de Mickey, comme (The) Haunted House, (The) Chain Gang, ou encore Mickey Cuts Up, Mickey's Orphans fut vendu grâce à une "affiche type", réutilisable à volonté pour les autres productions mettant en scène la célèbre souris de Disney. Quelques changements, cependant, par rapport à la première publicité. Tout d'abord, le film n'est plus vendu avec l'unique argument que le personnage parle et chante. L'utilisation du son synchronisé n'est en effet, en 1929, plus une grande nouveauté. Et utilisée par tous les concurrents, elle n'est désormais plus une exclusivité des studios Disney. Deuxième changement notable : seul le nom de Walt Disney apparaît sur le document. Alors que le nom d'Ub Iwerks apparaissait sur les affiches, avant que l'artiste ne quitte les studios au début de l'année 1930, ici, aucun nom d'animateur n'est mentionné. A noter enfin que le film, comme les précédents, est encore distribué par la Columbia.
A noter que le film était également vendu avec des affiches types, sans aucune mention du titre, ce qui permet leur réutilisation régulière.
Océans
A l'heure où la protection de l'environnement devient le plus grand défi de notre époque, les studios Disney renouent avec le genre du documentaire animalier que Walt Disney lui-même avait popularisé dès les années 1950, avec des films comme La Vallée des Castors, L'Île aux Phoques, Le Seigneur de la Forêt ou encore Le Désert Vivant. C'est ainsi qu'en avril 2008, est créé le label Disney Nature, à l'initiative du Français Jean-François Camilleri.
Réalisé par Jacques Perrin et Jacques Cluzaud, Océans est le 3ème film produit sous l'étiquette Disney Nature, après Les Ailes Pourpres en 2008, et Un Jour sur Terre en 2007-2009. Après l'univers des flamants roses, et celui des espèces terrestres menacées, le film offre aux spectateurs de s'immiscer au coeur du monde marin, à la découverte des espèces qui le peuple, des grands mammifères aux oiseaux, en passant par les poissons et autres reptiles...
Océans sort dans les salles françaises le 27 février 2010.
Aux Etats-Unis, la date de sortie est fixée au 22 avril 2010, date qui correspond à la "Journée de la Terre" (Earth Day), créée en 1970.
- Allemagne : Ozeane
- Japon :
- Dossier de presse, France :
- Clichés pour la presse :
Article Téléstar, janvier 2010
Chain Gang
Prisonnier au sein d'un pénitencier placé sous la surveillance de Pat Hibulaire, Mickey passe ses journées à casser des cailloux avec ses co-détenus. S'improvisant musicien, il déclenche une joyeuse fête parmi les prisonniers, fête qui se transforme bientôt en vraie pagaille. Pris sous le feu des gardes de la prison, Mickey en profite pour s'évader. Pris en chasse par l'un des gardes et ses deux chiens (ancêtres de la future vedette Pluto), il termine finalement sa course... éjecté dans une nouvelle prison !...
21ème court-métrage de Mickey Mouse, réalisé par Burt Gillett, (The) Chain Gang est sorti dans les salles américaines le 5 septembre 1930.
A l'instar de l'ensemble des premiers films de Mickey, comme Mickey Cuts Up, Mickey's Orphans ou encore (The) Haunted House, (The) Chain Gang fut vendu grâce à une "affiche type", réutilisable à volonté pour les autres productions mettant en scène la célèbre souris de Disney. Quelques changements, cependant, par rapport à la première publicité. Tout d'abord, le film n'est plus vendu avec l'unique argument que le personnage parle et chante. L'utilisation du son synchronisé n'est en effet, en 1929, plus une grande nouveauté. Et utilisée par tous les concurrents, elle n'est désormais plus une exclusivité des studios Disney. Deuxième changement notable : seul le nom de Walt Disney apparaît sur le document. Alors que le nom d'Ub Iwerks apparaissait sur les affiches, avant que l'artiste ne quitte les studios au début de l'année 1930, ici, aucun nom d'animateur n'est mentionné. A noter enfin que le film, comme les précédents, est encore distribué par la Columbia.
A noter que le film était également vendu avec des affiches types, sans aucune mention du titre, ce qui permet leur réutilisation régulière.
Darby O'Gil et les Farfadets
Ancien garde-chasse mis de force à la retraite, Darby O'Gill (Albert Charpe) a du mal à subvenir aux besoins de sa famille. Pour offrir le confort que sa fille Katie (Janet Munroe) mérite, et éviter d'avoir à lui avouer qu'il a été mis en touche pour être remplacé par Michael McBride (Sean Connery), il n'a plus qu'un moyen : s'emparer du trésor des farfadets. Mais la tâche n'est pas si simple. Il doit en effet faire face à la malice du Roi Brian (Jimmy O'Dea), le souverain des Farfadets, ainsi qu'au scepticisme des autres habitants de l'Île d'Emeraude, qui ne voit en lui qu'un ivrogne affabulateur...
Dans la veine des grands contes de fées de Disney, Darby O'Gill et les Farfadets (Darby O'Gill and the Little People) est l'une des premières collaborations des studios de Mickey avec Robert Stevenson, le réalisateur de Johnny Tremain, Fidèle Vagabond, Mont' Là-d'ssus, Les Enfants du Capitaine Grant, Mary Poppins, L'Espion aux Pattes de Velour, La Gnome-Mobile, Un Amour de Coccinelle ou encore de L'Apprentie Sorcière. Il est sorti dans les salles américaines le 26 juin 1959.
Une affiche dans la veine de tout ce qui se fait à l'époque chez Disney, avec un visuel dessiné, dépourvu de décor, avec seulement des images ponctuelles, reprenant les moments forts du film. A noter le slogan du film, jouant sur l'accent irlandais, en supprimant les "f" des mots "of". Cet oubli renvoi aux noms irlandais souvent composés du nom, précédé d'un "O'", à l'instar de Darby O'Gill.
Fort de son succès, Darby O'Gill et les Farfadets ressort dans les salles au cours de l'été 1977 (du 20 au 26 juillet), aux côtés d'autres productions parmi lesquelles Les Aventures de Bernard et Bianca, Les Enfants du Capitaine Grant, Les Aventures de Winnie l'Ourson, Robin des Bois, Cendrillon, ...
Nouvelle sortie, nouvelle affiche, complètement différente. Exit le gros visage souriant d'Albert Sharpe... La vedette n'est plus le vieil acteur "irlandais", mais plutôt le jeune couple formé de Janet Munroe et de Sean Connery. Il faut que dire que dans les années 1970, qui connaît encore Albert Sharpe, mort depuis près de 7 ans. Alors que Sean Connery est devenu depuis 1959 une immense vedette internationale grâce à son rôle de James Bond dans Dr. No, Bons Baisers de Russie, Goldfinger, Opération Tonnerre, On ne vie que Deux Fois et Les Diamants sont Eternels. L'aubaine est trop belle pour les studios Disney de vendre leur film comme un des premiers de Connery !... La conséquence est immédiate. Exit Sharpe...
- Brésil : A Landa Dos Anoes Magicos
- Grande-Bretagne, 1959 :
- Photos d'exploitation, Etats-Unis, 1959 :
- Photos d'exploitation, Etats-Unis, 1960's - 1970's :
- Clichés pour la presse, Etats-Unis :
- Publicité, Etats-Unis :
- Programme, Ex-Yougoslavie :
Pluto Somnambule
Croyant pouvoir profiter de son sommeil, Dinah le tecquel décide de voler l'os de Pluto. Mal lui en prend ! Elle s'attire immédiatement la colère de ce-dernier qui la chasse sans ménagement. De retour dans sa niche, Pluto est alors pris de somnambulisme... Et inconsciemment, il dépose son os dans la gamelle de Dinah. Mais à son réveil, fou de rage, il décide de reprendre son bien... que, pris d'une nouvelle crise de somnambulisme, il ramène aussitôt à la petite tecquel, qui n'y comprend plus rien !...
Réalisé par Clyde Geronimi, Pluto Somnambule (The Sleep Walker) est le 10ème court-métrage de la série des Pluto. Il est sorti dans les salles américaines le 3 juillet 1942.
Haunted House
14ème court-métrage de Mickey, et 10ème dessin animé de la série pour la seule année 1929, (The) Haunted House met en scène la désormais incontournable souris de Disney, qui cherche à se protéger de la tempête qui fait rage. Trouvant refuge dans une vieille maison abandonnée peuplées de rongeurs et d'insectes tous plus terrifiants les uns que les autres, il se retrouve bientôt confrontée à une bande de squelettes (réutilisés dans le cartoon La Danse Macabre) qui lui demandent de jouer de la musique pour eux... Mickey s'improvise alors musicien dans ce qui se transforme très vite en une joyeuse fête de revenants.
Réalisé par Walt Disney, sur une animation d'Ub Iwerks, (The) Haunted House est sorti dans les salles américaines le 1er août 1929.
A l'instar de l'ensemble des premiers films de Mickey, comme Danse Fermière, ou Mickey Cuts Up, (The) Haunted House fut vendu grâce à une "affiche type", réutilisable à volonté pour les autres productions mettant en scène la célèbre souris de Disney. Quelques changements, cependant, par rapport à la première publicité. Tout d'abord, le film n'est plus vendu avec l'unique argument que le personnage parle et chante. L'utilisation du son synchronisé n'est en effet, en 1929, plus une grande nouveauté. Et utilisée par tous les concurrents, elle n'est désormais plus une exclusivité des studios Disney. Deuxième changement notable : seul le nom de Walt Disney apparaît sur le document. Alors que le nom d'Ub Iwerks apparaissait sur les affiches, avant que l'artiste ne quitte les studios au début de l'année 1930, ici, aucun nom d'animateur n'est mentionné. A noter enfin que le film, comme les précédents, est encore distribué par la Columbia.
A noter que le film était également vendu avec des affiches types, sans aucune mention du titre, ce qui permet leur réutilisation régulière.