Angels - Une Equipe aux Anges
Roger (Joseph Gordon-Levitt), tout comme son ami P.J. (Milton Davis), a perdu sa mère. Et son père lui a promi de fonder une vraie famille si les Angels d'Anaheim, l'équipe de baseball locale, gagne enfin le championnat. Et il faut dire que la promesse semble bien insurmontable tant les joueurs sont mauvais... Jusqu'à ce qu'un jour, des anges, menés par Al (Christopher Lloyd), investissent le terrain, aidant ainsi l'équipe dirigée par George Knox (Danny Glover) à gagner ses matchs.
Réalisé par William Dear, Angels - Une Equipe aux Anges (Angels in the Outfield) est le remake d'un film de Clarence Brown, produit pour le compte de la MGM en 1951. Il est sorti dans les salles américaines le 15 juillet 1994.
- Clichés pour la presse :
- Dossier de presse, Etats-Unis :
Birds in the Spring
C'est le Printemps, et les oiseaux chantonnent au milieu des arbres en fleur. Mais un couple désespère de voir ses oeufs éclore, jusqu'à ce qu'enfin, les petits se décident à sortir de leur coquille. Et bien vite, les petits grandissent et doivent apprendre à voler. Tombé du nid, l'un d'eux découvrent alors les dangers de la nature...
Réalisé par Dave Hand, le réalisateur de Blanche Neige et les Sept Nains et Bambi, Birds in the Springs est le 34ème court-métrage de la série des Silly Symphonies. Il est sorti dans les salles américaines le 11 mars 1933. Il est alors distribué par le partenaire des studios Disney de l'époque, la société United Artists Pictures.
Une belle affiche, haute en couleur, qui reprend presque de manière identique une image du film (à environ 2 minutes du début du cartoonà, lorsque le papa oiseau appelle ses congénères à découvrir ses petits. On remarque que le film est présenté par Mickey Mouse, dont le nom est à l'époque peut-être bien plus connu encore que celui de son créateur.
Johnny Pépin de Pomme
Les Etats-Unis comptent bon nombre de personnages légendaires, parmi lesquels John Henry, Pecos Bill, Paul Bunyan, ou encore John Chapman, mieux connu sous le nom de Johnny Pépin de Pomme. Héros américain né à la fin du XVIIIe siècle, John était un descendant de colons tout ce qu'il y a de plus commun, récoltant les fruits de ses vergers. Jusqu'à ce que, poussé par son ange gardien, il se lance à la conquête de l'ouest. Sur son chemin, la légende raconte qu'il planta sans relâche des centaines de pommiers, et ce jusqu'à sa mort, ce qui lui valu son surnom de Johnny Pépin de Pomme.
Réalisé par Wilfred Jackson, Johnny Pépin de Pomme (Johnny Appleseed) est un court-métrage spécial en cela qu'il est extrait du film d'anthologie Mélodie Cocktail, sorti dans les salles américaines le 27 mai 1948. Et à l'instar des autres séquences du film, il a connu une carrière en solo, en sortant sur les écrans américains le 25 décembre 1955.
A l'image des affiches de l'époque, la publicité reprend non pas l'aspect physique du film, mais plutôt celui de Mary Blair, qui était chargée de la charte graphique du film durant sa production sans les années 1940. On retrouve ainsi notamment ces arbres aux couleurs pastelles, ...
L'animateur Ollie Johnston, superviseur de l'animation du personnage de Johnny.
Cendrillon
Inspiré de l'oeuvre de Charles Perrault, Cendrillon est l'histoire d'une orpheline qui a tout perdu à la mort de son père. Recueillie par sa belle-mère, Madame de Tremaine, la jeune fille devient rapidement la bonne à tout faire de la maison, au service de la marâtre, de ses filles Anastasie et Javotte et même du chat Lucifer. Logée dans la plus haute tour de la maison, dans une chambre délabrée, elle ne trouve de réconfort qu'auprès des animaux, de son chien Pataud aux oiseaux, en passant par les souris Jaq et Gus. Rêvant d'une vie meilleure, son voeu semble pouvoir devenir réalité lorsque le Roi organise un grand bal auquel toutes les jeunes femmes du royaume son convoquées, afin d'être présentées au Prince, encore célibataire. Subissant la colère et la jalousie de ses "soeurs", tout espoir semble perdu pour Cendrillon. Mais c'est sans compter sur les pouvoirs magiques de sa Marraine la fée, qui lui offre une splendide robe de bal, un carrosse ainsi qu'un équipage, et qui lui permet ainsi de rejoindre le bal. Là, elle fait la connaissance du Prince, qui tombe immédiatement sous son charme. Mais au douzième coup de minuit, le charme est rompu, et Cendrillon retrouve sa vie de servitude, sans savoir que le Prince la fait rechercher dans tous le royaume...
12ème grand classique des studios Disney, réalisé par Wilfred Jackson, Clyde Geronimi et Hamilton Luske, Cendrillon (Cinderella) renoue avec le genre du conte de fée, 13 ans après Blanche Neige et les Sept Nains. Présenté au lendemain de la période de marasme marquée par la guerre, il sort dans les salles américaines à partir du 15 février 1950.
Dans la lignée des premiers grands classiques précédents, les affiches de Cendrillon reprennent cet aspect crayonné propre aux vieilles affiches. On y retrouve avec pur plaisir le style de l'illustratrice Mary Blair. Engagée par Walt Disney dans les années 1940 pour définir la charte graphique de films comme Danny le Petit Mouton Noir, et plus tard d'Alice au Pays des Merveilles ou Peter Pan, Blair avait en effet développé un style pastel, avec des décors surdimensionnés et des personnages comme tout droit sorti de livres pour enfants. Jamais utilisés tels quels dans les films d'animation, ses dessins sont ici fidèlement reproduit. A noter que le film est vendu comme le meilleur des studios depuis Blanche Neige et les Sept Nains.
Triomphe absolu du box-office américain, Cendrillon ressort le 14 février 1957.
Même campagne d'affichage qu'en 1950. Seule petite différence, le film n'est plus distribué par la RKO Pictures, mais directement par les studios Disney, via leur société de distribution Buena Vista.
Cendrillon revient sur les écrans américains le 9 juin 1965.
A nouveau, les affiches reprennent un peu le style de Mary Blair, quoique quelque peu mélangé au style du film. A noter la présence du titre de chacune des chansons, devenues aussi célèbres que celles des classiques précédents.
Retour de Cendrillon le 23 mars 1973...
... avec la même campagne publicitaire.
Cendrillon est inclus dans les sorties estivales de l'année 1977...
... aux côtés des Aventures de Bernard et Bianca, de Robin des Bois, des Enfants du Capitaine Grant, des Aristochats ou encore de Darby O'Gill et les Farfadets.
Le 18 décembre 1981, Cendrillon revient une nouvelle fois sur les écrans.
Exit le style de Mary Blair. Les affiches utilisent ce qui sera le visuel des futures sorties, à savoir la rencontre entre l'héroïne et le prince.
Le 20 novembre 1987, Cendrillon est diffusé pour la deuxième fois de la décennie.
Le film est vendu non pas avec une, mais deux affiches, qui reprennent les images les plus ancrées dans l'inconscient collectif : celle de la rencontre entre la princesse et son amant, et celle de la mythique pantoufle de verre.
Du 15 au 25 septembre 2005, Cendrillon fête ses 55 ans sur les écrans du El Capitan Theatre, quelques jours avant sa sortie en DVD.
A l'occasion de sa sortie en Blu-Ray Disc, Cendrillon revient sur les écrans du El Capitan pour une durée limitée du 15 au 30 août 2012.
Cendrillon est sorti dans les salles françaises le 22 décembre 1950.
Ces deux premières affiches sont signées Boris Grinsson, illustrateur à l'origine des affiches des films Disney de l'époque. On y découvre Cendrillon en haillons, avec ses amis, ainsi que le Grand Duc enfilant la pantoufle de verre au pied de la princesse. Tout l'esprit du film en deux sublimes illustrations.
Une autre affiche de 1950.
Cendrillon revient dans les salles françaises en 1958, à Noël 1967, le 6 décembre 1978, ...
le 2 juillet 1986...
...ainsi que le 17 avril 1991.
Cendrillon s'affiche enfin le 20 juillet 2005.
- Allemagne : Aschenputtel
- Argentine : La Cenicienta
- Australie (1981) :
- Belgique :
- Danemark : Askepot
- Espagne : La Cinecienta
- Finlande : Tuhkimo
- Grande-Bretagne (1950, 1970's) :
- Italie (1975) : Cenerentola
- Japon (1974) :
- Suède : Askungen
- Ex-Yougoslavie : Pepeljuga
- Photos d'exploitation, Etats-Unis, 1950 :
- Clichés pour la presse, Etats-Unis, 1950 :
- Dossier de presse et Campaign Book, Etats-Unis, 1950 :
- Publicités, Etats-Unis, 1950 :
- Photos d'exploitation, Mexique, 1951... :
- Photos d'exploitation, Etats-Unis, 1957 :
- Clichés pour la presse, Etats-Unis, 1957 :
- Photos d'exploitation, Etats-Unis, 1965 :
- Clichés pour la presse, Etats-Unis, 1965 :
- Dossier de presse, Etats-Unis, 1973 :
- Affiches pour les bus, Grande-Bretagne, 1970's :
- Programme, Japon, 1974 :
- Photo d'exploitation, Espagne, 1976 :
- Photos d'exploitation, Etats-Unis, 1981 :
- Clichés pour la presse, Etats-Unis, 1987 :
- Dossier de presse, Etats-Unis, 1987 :
- Photos d'exploitation, France, 1970-80's :
- Dossier de presse et Synopsis, France :
- Photo d'exploitation, Royaume-Uni :
- Photos d'exploitation, Allemagne, 1987 :
- Photos d'exploitation, France, 1990's :
- Clichés pour la presse, Etats-Unis, 2005 :
- Dossier de presse, France, 2005 :
- Affiches, sorties vidéos, Etats-Unis, Québec :
- PLV, Etats-Unis :
- Publicité, Disney Channel, France :
Comics, 1955
Magazine Disneyland, 29 août 1972 et 1973
Journal de Mickey N°808 du 19 novembre 1967 (couverture de René Guillaume)
The Disney Channel Magazine, 1989
Magazine Club Disney Vidéo, janvier 1998
Pirates des Caraïbes - La Malédiction du Black Pearl
XVIIe siècle, au coeur des Caraïbes. Les mers et océans sont écumés par les pirates, qui pillent sans foi ni loi navires et villes portuaires. Parmi eux, le Capitaine Jack Sparrow (Johnny Depp), terrible pirate désormais sur la touche, depuis que son navire, le terrifiant Black Pearl, lui a été volé par son second, le sournois Capitaine Barbossa (Geoffrey Rush). Hasard du destin, c'est emprisonné dans les geôles de Port Royal que Sparrow entend à nouveau parler de son navire. En effet, Barbossa est venu chercher la dernière pièce d'un trésor aztèque maudit, dont la dernière propriétaire n'est autre que la fille du gouverneur (Jonathan Pryce), Elizabeth Swann (Keira Knightley).
Libéré par Will Turner (Orlando Bloom), l'apprenti forgeron de la ville, épris secrètement de la belle, Sparrow part alors en chasse pour récupérer son bâteau et sauver la demoiselle captive... Mais la tâche va s'avèrer plus compliquée que prévue. Il devra en effet affronter l'armada de Port Royal, dirigée par le Commodore Norrington, ainsi que l'équipage de Barbossa, que la malédiction aztèque a transformé en morts-vivants...
Après Les Country Bears en 2002, et avant Le Manoir Hanté et les 999 Fantômes, Pirates des Caraïbes : La Malédiction du Black Pearl (Pirates of the Caribbean : Curse of the Black Pearl) s'inspire d'une des plus célèbres attractions de Disneyland, ouverte en 1967. Réalisé par Gore Verbinski, le film est sorti dans les salles américaines le 9 juillet 2003, quelques jours après une grande Première organisée à Disneyland le 28 juin.
Le moins que l'on puisse dire, c'est que la campagne publicitaire de Pirates des Caraïbes est plus que complète. L'une des premières affiches présentées replace le film dans son contexte original. En effet, aucune information sur le film, hormis le casting. Par contre, une image reprenant l'une des scènes les plus mémorables de l'attraction de Disneyland, avec ce squelette accroché à sa barre, en pleine tempête.
Au début de l'année 2003, le film continue de s'afficher avec autant de mystère. Une nouvelle "icone" de l'attraction devient la vedette de la nouvelle série de publicité, à savoir la tête de mort qui invite les passagers à débarquer à la fin du ride.
Quelques semaines plus tard, Pirates des Caraïbes continue de s'afficher. Cette fois, exit l'attraction. Le film est présenté par l'intermédiaire de ses héros, du capitaine Jack Sparrow au Capitaine Barbossa, en passant par Elizabeth Swann et Will Turner.
Une autre série d'affiches du même style fut également lancée, avec une date de sortie plus précise, et l'absence de crédit.
L'affiche ci-dessus peut être considérée comme l'affiche principale du film. Reprenant les visages des principaux personnages, ainsi que le logo du film, elle présente également les ombres des revenants du Black Pearl lancés à l'assaut des navires.
D'autres affiches, reprenant les visuels de certaines photos d'exploitation, furent également publiées :
Pirates des Caraïbes : La Malédiction du Black Pearl est sorti en France le 13 août 2003.
- Allemagne : Fluch der Karibik
- Espagne : Piratas del Caribe
- Grande-Bretagne :
- Italie : La Maledizione della Prima Luna
- Mexique : Piratas Del Caribe
- Pologne : Piraci z Karaibow - Klatwa Czarnej Perly
- Russie :
- Photos d'exploitation, Etats-Unis :
- Photos pour la presse :
- PLV, Etats-Unis :
- Dossier de presse, France :
- Publicité sortie vidéo :
- Avant-Première à Disneyland
Johnny Depp, Orlando Bloom, Keira Knightley, Jack Davenport, Lee Arenberg, Jerry Bruckheimer, Bob Iger, Christopher McDonald, Alexa Vega, Amanda Bynes, Amy Davidson, Constance Marie, Corbin Bernsen et Amanda Pays, Cuba Gooding Jr., Danny Bonaduce, Darryl Hannah, Daveigh Chase, David Hasselhoff, David Moscow, Drew Carey, Eric Balfour, Eric Idle, Gary Busey, Giovanni Ribisi, Jane Seymour, John Cryer, Jon Voight, Rebecca Rmomijn et John Stamos, Jonathan Lipnicki, Kelly Lynch, Kenny G, Lea Thompson, Lynda Carter, Mark-Paul Gosselaar, Michael Rosenbaum, Michelle Kwan, Oded Fehr, Ozzie Smith, Rachel Hunter, Raoul Bova, Raven-Symone, Rick Baker, Shannon Elizabeth, Teri Hatcher, Tom Smothers, Tony Kanal, Travis Barker, Virginia Madsen, William Fichtner
Donald a sa Crise
Qui ne connaît pas le caractère impulsif de Donald ? En tout cas, Daisy, sa fiancée, le connaît que trop bien. Et lorsque le canard débarque chez elle et pique sa colère parce qu'il n'arrive pas à ouvrir une fenêtre, au point de mettre à sac la maison, elle le met au pied du mur. Elle refusera de le revoir tant qu'il ne parviendra pas à contrôler son caractère.
Réalisé par Jack King, Donald a sa Crise (Cured Duck) met l'accent avec humour sur l'un des traits si caractéristiques du célèbre canard : son tempérament colérique. Il est sorti dans les salles américaines le 26 octobre 1945.
Le Retour du Gang des Chaussons aux Pommes
Amos (Tim Conway) et Theodore (Don Knotts), les deux membres du "Gang des Chaussons aux Pommes" sont de retour, et sont bien décidés à devenir honnêtes. Mais leur plan ne se déroule pas tout à fait comme prévu. Toujours aussi sôts et maladroits, ils sont en effet bientôt accusés du vol de la Banque de Junction City. Afin d'échapper au juge de la ville, Wooly Bill Hitchcock (Kenneth Mars), qui a promis de les capturer et de les condamner, ils s'enrôlent dans l'armée... Mais là-encore, les choses dérapent malgré eux... Finalement débarrassés de leurs galons, ils se retrouvent alors plongés dans une affaire de grand banditisme...
Le Retour du Gang des Chaussons aux Pommes (The Apple Dumpling Gang Rides Again) est, comme son nom l'indique, la suite du Gang des Chaussons aux Pommes, sorti dans les salles en 1975. Réalisé par Vincent McEveety, le metteur en scène du Trésor de Matacumba, de La Coccinelle à Monte-Carlo, ou encore de La Coccinelle à Mexico, il est sorti dans les salles américaines le 27 juin 1979.
- Clichés pour la presse, Etats-Unis :
- Dossier de presse, Etats-Unis :
- Photos d'exploitation diffusion TV, Etats-Unis :
Le Gang des Chaussons aux Pommes
1879, au coeur de l'Ouest sauvage. Russel Donavan (Bill Bixby), jeune homme tout juste installé dans la petite bourgade de Quake City, se voit charger de recueillir trois orphelins dont personne ne veut s'occuper. Mais lorsqu'après un tremblement de terre, les enfants mettent à jour une énorme pépite d'or, la ville entre en émoi, et chacun se presse pour obtenir leur charge. Refusant d'abandonner leur nouveau père, les gosses montent alors un plan simple : ils demandent aux deux voleurs Theodore (Don Knotts) et Amos (Tim Conway), membres du "Gang des Chaussons aux Pommes", de s'emparer de la pépite, placée sous haute surveillance dans les coffres de la banque... Tout semble donc facile, mais c'est sans compter sur la maladresse des deux truands...
Dans la grande tradition des comédies burlesques des studios Disney des années 1960-1970, Le Gang des Chaussons aux Pommes (The Apple Dumpling Gang) est réalisé par Norman Tokar, le metteur en scène du Plus Heureux des Milliardaires, de 3 étoiles, 36 chandelles, La Course au Trésor, ou encore du Chat qui vient de l'Espace. Il est sorti dans les salles américaines le 1er juillet 1975.
- Clichés pour la presse, Etats-Unis :
- Photos d'exploitation, Etats-Unis :
La Machine Volante
Ben Buzzard est l'heureux propriétaire d'un magnifique parc d'avions... détruits... Alors, quel gogo va se laisser prendre à embarquer à bord d'un de ses appareils ?! Donald, désireux de voler, signe immédiatement... Ce qu'il ignore, c'est qu'il a porté son nom au bas d'une assurance vie favorable à Buzzard. Le vol se trouve alors mouvementé par l'infâme vautour, désireux de se débarrasser du canard et de toucher le magot !
Réalisé par Dick Lundy, La Machine Volante (Flying Jalopy) est sorti dans les salles américaines le 12 mars 1943, en pleine Seconde Guerre Mondiale. Le court-métrage prend alors un autre sens, et se prend à dénoncer, sans le dire clairement, les profiteurs de guerre.
- Clichés pour la presse, Etats-Unis :
Dingo Architecte
Bricoleur "hors-paire", Dingo entreprend de construire sa maison. Mais le moins que l'on puisse dire, c'est que le talent lui manque. Entre poutres mal coupées et baies vitrées explosées, tout semble mal tourner. Et la demeure enfin bâtie, les problèmes semblent persister !
Réaliser par Jack Kinney, Dingo Architecte (Home Made Home) met en scène Dingo dans l'apprentissage d'une nouvelle activité, cette fois la construction. Le court-métrage est sorti dans les salles américaines le 23 mars 1951.