Patrouille Canine
Patrouilleur canin, en charge de surveiller une plage où la baignade est interdite, Pluto se retrouve confronté à une "menace" très particulière : une petite tortue tout juste sortie de l'oeuf, bien décidée à aller faire trempette dans l'océan. Et il faut dire que le petit animal est têtu, et bien décidé à passer outre la règlementation de l'US Coast Guard !...
Réalisé par Charles S. Nichols, et distribué par la RKO, Patrouille Canine (Canine Patrol) est sorti dans les salles américaines le 7 décembre 1945. Alors même que la Seconde Guerre Mondiale est terminée depuis quelques semaines, il semble s'inscrire dans le genre de film produit par les studios Disney pendant le conflit, et dans lequel sont mis en avant les différents corps de l'armée américaine à travers les aventures de Mickey et ses amis.
Mulan
Dans la Chine médiévale, Mulan est une jeune fille qui n'arrive pas à occuper la place qui est la sienne. Dépassée par des traditions ancestrales, elle préfère couler une vie tranquille et quelque peu insouciante auprès de sa famille. Mais son existence, ainsi que celle de la Chine, se trouve complètement bouleversée lorsque Shan-Yu et son armée de Huns franchissent la Grande Muraille. La levée en masse est immédiatement proclamée, et chaque famille doit fournir un homme pour servir dans l'armée impériale. Fa-Zhou, le père de Mulan, un vétéran blessé, est également inscrit pour la mobilisation générale. Afin de le protéger d'une mort certaine, Mulan décide alors de se travestir en homme, et de prendre sa place au sein de l'armée. Embarquée dans la guerre, elle aura besoin de tout le soutien de ses ancêtres, qui la place sous la protection du Grand Dragon de Pierre, gardien de la famille depuis des générations. Mais c'est sans compter sur un petit dragon déshonoré, Mushu qui, après avoir brisé la statue du Grand Dragon, décide de le prendre sa place pour aider Mulan à survivre aux terribles dangers de la guerre...
36ème Grand Classique des studios Disney, Mulan est sorti dans les salles américaines le 19 juin 1998, quelques jours après la Première, organisée le 5. Réalisé par Barry Cook et Tony Bancroft, son action est située au coeur de la Chine impériale, ce qui fait de lui le second film des studios de Mickey à se situer en Asie, près de 30 ans après Le Livre de la Jungle.
Des affiches d'une grande beauté pour dépeindre cette histoire mythique chinoise. Axée sur les deux seules couleurs rouge et noire, elle reprend d'une certaine manière des canons de l'art chinois, avec leur style épuré, leurs personnages de profil, leur encre de Chine d'un noir profond, ... On y retrouve Mulan en armure, sur son cheval Khan, en pleine action.
D'autres affiches sont créées, moins axées sur l'art chinois que sur une présentation plus "normale" des personnages. A noter que beaucoup datent d'après la sortie du film, et reprennent les critiques positives publiées dans la presse.
Une dernière affiche, qui reprend le côté mystérieux des premières, mais avec le jeu sur la lumière qui donne cet aspect mystérieux. Elle est l'oeuvre de l'illustrateur John Alvin, à qui l'on doit, entre autres, certaines affiches de Star Wars, Hook, Blade Runner, et pour Disney, La Belle et la Bête, Aladdin, Pocahontas, Le Bossu de Notre Dame, Pinocchio, Blanche Neige et les Sept Nains ou encore La Petite Sirène.
A l'occasion de sa sortie en Blu-Ray Disc, Mulan ressort sur les écrans du El Capitan Theatre pour une durée limitée du 8 février au 6 mars 2012.
Mulan est sorti en France le 25 novembre 1998.
Même affiche principale que l'Américaine. D'autres affiches et publicités ont également été ajoutées.
- Allemagne :
- Chine :
- Grande-Bretagne :
- Hong Kong :
- Japon :
- Thaïlande :
- Clichés pour la presse :
- Photos d'exploitation, Etats-Unis :
- Photos d'exploitation, France :
- PLV :
- Programme, Japon :
- Affiches sortie vidéo :
- PLV :
Les réalisateurs Barry Cook et Tony Bancroft
L'animateur de Shan Yu, Pres Antonio Romanillos
Harvey Fierstein (Yao en VO) et Jackie Chan (Shang en version chinoise)
La Parisien 23 mars 2011
Blue Rhythm
Mickey s'évertue à jouer le morceau "St. Louis Blues" sur son piano, mais entre la lumière qui grille, le chewing-gum collé sous son piano et autres insectes qui bourdonnent, ce n'est pas toujours facile. Il est bientôt rejoint par l'ensemble de sa troupe, de la charmante Minnie, à l'orchestre, composé notamment d'Horace, de Clarabelle, et même de Pluto !
Réalisé par Burt Gillett, Blue Rhythm fait partie de ces courts-métrages dans lequels Mickey joue le rôle du maître de cérémonie, à la tête d'un grand spectacle où apparaissent les premières grandes vedettes de la galerie Disney, de Minnie à Clarabelle, en passant par Horace et Pluto, à l'instar d'Orphans Benefit, de La Fanfare ou encore de L'Heure Symphonique. Il est sorti dans les salles américaines le 18 août 1931.
A l'instar de l'ensemble des premiers films de Mickey, comme (The) Haunted House, (The) Chain Gang, Mickey Cuts Up, ou encore Pioneer Days, Blue Rhythm fut vendu grâce à une "affiche type", réutilisable à volonté pour les autres productions mettant en scène la célèbre souris de Disney. Quelques changements, cependant, par rapport à la première publicité. Tout d'abord, le film n'est plus vendu avec l'unique argument que le personnage parle et chante. L'utilisation du son synchronisé n'est en effet, en 1929, plus une grande nouveauté. Et utilisée par tous les concurrents, elle n'est désormais plus une exclusivité des studios Disney. Deuxième changement notable : seul le nom de Walt Disney apparaît sur le document. Alors que le nom d'Ub Iwerks apparaissait sur les affiches, avant que l'artiste ne quitte les studios au début de l'année 1930, ici, aucun nom d'animateur n'est mentionné. A noter enfin que le film, comme les précédents, est encore distribué par la Columbia.
A noter que le film était également vendu avec des affiches types, sans aucune mention du titre, ce qui permet leur réutilisation régulière.
Le Trésor de Matacumba
Dans le contexte de l'après Guerre de Sécession, deux jeunes garçons, Davie (Johnny Doran) et Tchad (Billy 'Pop' Atmore), partent à la recherche du mystérieux trésor de Matacumba, dans les bayous de Floride. Sur leur chemin, ils font la connaissance du Docteur Ewing Snodgrass (Peter Ustinov), de la belle Lauriette Paxton (Joan Hackett) et de l'aventurier Jim (Robert Foxworth) qui se joignent à eux à la recherche du magot. Mais c'est sans compter sur Spangler (Vic Morrow) et sa bande de voleurs, bien décidés à mettre eux-aussi la main sur le trésor...
Réalisé par Vincent McEveety, le metteur en scène de Gus, La Coccinelle à Monte Carlo, ou encore de La Coccinelle à Mexico, Le Trésor de Matacumba (Treasure of Matecumbe) est l'adaptation de l'oeuvre de Robert Lewis. Il est sorti dans les salles américaines le 1er juillet 1976.
Une affiche somme toute assez spéciale pour un film de Disney. En effet, là où les films d'aventure des studios de Mickey mettent d'ordinaire l'accent sur les personnages, sur l'action ou sur les décors exotique, l'affiche marque ici surtout le côté morbide de ce trésor, avec ce crâne associé au magot, caché dans les bayous tempétueux de Floride.
A noter que le film fut également vendu en parallèle d'autres sorties de 1976, notamment la comédie Gus, ainsi qu'une ressortie du Grand Classique Peter Pan.
En France, Le Trésor de Matacumba est sorti dans les salles le 23 mai 1979.
Exit cet énorme crâne, l'affiche française est assez habituelle pour un film d'aventure Disney, et reprend les canons déjà utilisés sur les affiches de 20 000 Lieues sous les Mers ou Les Enfants du Capitaine Grant, avec ce coté dessiné, et ses scènes juxtaposées les unes à côtés des autres.
A noter qu'en Français, le trésor n'est plus de Matecumbe, mais de Matacumba.
- Belgique :
- Espagne : El Tesoro de Matecumbe
- Grande-Bretagne :
- Italie : Il Tesoro di Matecumbe
- Clichés pour la presse, Etats-Unis :
- Photos d'exploitation, Etats-Unis :
Waking Sleeping Beauty
Dans la veine de Frank and Ollie, Ub Iwerks - The Man Behind the Mouse, Walt & El Grupo ou encore The Boys - The Sherman Brothers' Story, Waking Sleeping Beauty est un documentaire qui revient sur l'un des temps forts des studios Disney.
Réalisé par Don Hahn et produit par Peter Schneider, ancien Président de Disney Feature Animation, le film propose de revenir sur les grands moments, heureux ou tragiques, qui rythmèrent les studios de Mickey entre 1984 et 1994, de l'échec cuisant de Taram et le Chaudron Magique, à la renaissance du département animation avec des succès tels que Qui veut la Peau de Roger Rabbit, Oliver et Compagnie, La Petite Sirène, La Belle et la Bête, Aladdin et Le Roi Lion, en passant par l'arrivée de Michael Eisner et Jeffrey Katzenberg à la tête des studios, le retour de Roy E. Disney en 1984 et le départ d'animateurs aussi frustrés que talentueux, tel Don Bluth, Tim Burton ou John Lasseter. Appuyé sur de nombreuses images d'archives, présentant notamment le travail des animateurs, des réunions de travail et la création des films d'animation, le documentaire est également constitué d'interviews inédites des animateurs, réalisateurs, producteurs et excutifs qui oeuvrèrent à la renaissance de l'animation Disney, pour ne pas dire de l'animation en général.
Comme toujours avec ce genre de documentaire, la sortie est précédée d'une tournée des festivals. Waking Sleeping Beauty fut tout d'abord présenté au 36ème Festival du Film de Telluride le 5 septembre 2009, suivi du Festival International du Film de Toronto le 15 septembre 2009. Il fut également projeté au Festival International du Film d'Hamptons et au Festival du Film de Heartland, en octobre 2009, ainsi qu'au Festival International du Film de Palm Springs en janvier 2010.
Une projection suivi d'un entretien avec les créateurs du film fut également organisée au Art Center Film Department de Pasadena, en Californie, le 1er décembre 2009.
Après la tournée des festivals, le film est projeté à partir du 26 mars 2010 à New York, au Landmark Sunshine, à Los Angeles, au AMC Century City et au AMC Burbank, à San Francisco, au Landmark Embarcdero, ainsi qu'à Chicago, au AMC River East.
Waking Sleeping Beauty est sorti en France à partir du 6 octobre 2010 au MK2 Hautefeuille, dans le 6ème arrondissement de Paris.
Il fut par ailleurs présenté le 11 septembre, en présence de Don Hahn, lors du 36ème Festival du Cinéma Américain de Deauville, organisé du 3 au 12 septembre 2010.
Le 12 octobre 2010, Waking Sleeping Beauty est présenté au public français, toujours au MK2 Hautefeuille, avec un entretien avec Jean-François Camilleri, Président de la Walt Disney Company France.
- Clichés pour la presse :
La nouvelle génération d'animateurs entrée aux studios Disney à la fin des années 1970 et au début des années 1980 : John Lasseter (en haut, avec un crayon dans la bouche), Mark Henn, Nancy Beiman, John Musker, Randy Cartwright, ...
Peter Schneider, Roy E. Disney, et Jeffrey Katzenberg, les exécutifs du département animation.
Le réalisateur Don Hahn et le producteur Peter Schneider.
Caricature de Gary Trousdale, représentant Jeffrey Katzenberg, prêt à "réveiller" les studios d'animation endormis.
Caricature représentant Howard Ashman se disputant avec Kirk Wise et Gary Trousdale, pendant la production de La Belle et la Bête.
L'équipe du film à Londres, au moment du montage : Lori Korngiebel, Patrick Pacheco (scénariste), Ellen Keneshea, Don Hahn (réalisateur), Peter Schneider (producteur), Corrie Thompson (producteur associé)
Don Hahn et Peter Schneider, lors de la présentation du film au Festival International du Film de Toronto, le 15 septembre 2009.
Don Hahn reçoit le Truly Movie Picture Award au festival d'Heartland.
Source : Les photos proviennent pour la plupart de la page Facebook de "Waking Sleeping Beauty". Pour plus d'infos, devenez FAN !
Rasta Rockett
Derice Bannock (Leon Robinson) est un Jamaïcain qui poursuit un grand rêve : devenir, comme son père avant lui, champion du 100m aux prochains Jeux Olympiques. Mais son avenir part en fumée lorsqu'il est entraîné, ainsi qu'un autre champion, Yul Brenner (Malik Yoba), dans une chute provoquée par l'amateur Junior Bevil (Rawle D. Lewis). Comment, dès lors, accomplir son rêve ? Il décide de contacter Irvin Blitzer (John Candy), ancien champion olympique, afin que celui-ci l'aide à former une équipe... de Bobsleigh !
Réalisé par Jon Turteltaub, Rasta Rockett (Cool Runnings) s'inspire de faits réels, et de la vraie équipe de bobsleigh jamaïcaine qui participa aux Jeux Olympiques de Calgary en 1988. Il est sorti dans les salles américaines le 1er octobre 1993.
Rasta Rockett est sorti dans les salles françaises le 13 avril 1994.
Une affiche française complètement différente de l'américaine. En effet, là où les Etats-Unis avaient droit à une publicité simple et neutre, la France met l'accent sur la comédie, et sur cet antagonisme entre les quatre jamaïcains habitués à la chaleur des Caraïbes et la "fraîcheur" de l'hiver canadien.
- Grande-Bretagne :
- Italie : Cool Runnings - Quattro Sottozero
- Clichés pour la presse :
- Dossier de presse, Etats-Unis :
- Affiche sortie vidéo, Etats-Unis :
- Publicité Disney Channel :
Flubber
Le Professeur Philip Brainard (Robin Williams) est un scientifique pour le moins étourdi. En effet, il a râté pour la énième fois son mariage avec la charmante Sara Reynolds (Marcia Gay Harden), la doyenne du Medfield College. Il faut dire qu'il a l'esprit ailleurs, après avoir inventé une nouvelle substance, élastique et rebondissante. Baptisée Flubber, celle-ci semble être l'outil idéal pour renflouer les caisses de l'université, au bord de la ruine. Mais c'est sans compter sur Wilson Croft (Christopher MacDonald), riche homme d'affaires, qui compte bien s'emparer de cette invention révolutionnaire.
Réalisé par Les Mayfield, Flubber est le remake d'une comédie produite par Walt Disney au début des années 1960, Mont' Là-D'ssus. Il est sorti dans les salles américaines le 26 novembre 1997, 10 jours après la Première, organisée à New York.
Les deux affiches ci-dessus furent les premières montrées au public. Laissant plâner le doute sur le contenu réel de l'histoire, elle présente uniquement la matière visqueuse verte. Aucune date mentionnée, uniquement l'information selon laquelle le film sera présenté pour Thanksgiving.
Les affiches suivantes mettent l'accent sur l'acteur vedette du film, Robin Williams.
Flubber est sorti dans les salles françaises le 1er avril 1998.
- Allemagne :
- Australie :
- Canada :
- Espagne :
- Italie :
- Clichés pour la presse :
- Dossier de presse, Etats-Unis :
- Dossier de presse, France :
- Affiches sorties vidéos, Etats-Unis ; France :
Disney Adventures, Décembre 1997
Dumbo
L'hiver est fini, et les cigognes survolent la Floride pour apporter aux animaux du cirque leurs nouveaux nés. Toutes les mamans se voient honorées du magnifique présent, sauf Madame Jumbo. "Sa" cigogne s'est en effet égarée, livrant son paquet avec retard. Et quel bonheur pour l'heureuse maman de découvrir son éléphanteau, nommé Dumbo. Etrangement, le petit a des oreilles démesurées, qui lui valent bien vite les moqueries de ses congénères. Le sort s'acharne sur le bébé lorsque sa mère, qui tentait de le protéger des attaques d'un enfant, se retrouve mise en quarantaine, laissant malgré elle son Dumbo tout seul... Il lui faudra l'aide de la petite souris Timothée pour reprendre confiance en lui, affronter ses détracteurs, mettre en avant son handicap, et devenir la plus grande légende du cirque !
4ème Grand Classique des studios Disney après Blanche Neige et les Sept Nains, Pinocchio et Fantasia, Dumbo est sans doute le projet le plus intimiste de Walt Disney. Produit à moindre frais, au moment où les finances des studios fondent à vue d'oeil, il profite d'une histoire claire, d'un style simple, à des lieux des productions précédentes. Réalisé par Ben Sharpsteen, il est sorti dans les salles américaines le 23 octobre 1941, à quelques semaines de l'entrée des Etats-Unis dans la Seconde Guerre Mondiale.
Beaucoup d'affiches pour la première sortie de Dumbo. Telles de véritables affiches de cirque, avec cette police d'écriture si particulière, elles reprennent les principaux personnages et scènes du film, du petit Dumbo à la pyramide des éléphantes, en passant par le splendide petit train Casey Junior et la dégaine des Corbeaux ! A noter qu'à l'instar des affiches de Blanche Neige ou Pinocchio, le design des personnages peut en surprendre plus d'un tant il s'éloigne de celui du film.
Dumbo revient dans les salles américaines en des temps plus pacifiques, en même temps qu'une ressortie de Saludos Amigos, le 22 juin 1949.
Apprécié du public et de la critique, Dumbo revient sur les écrans américains le 24 décembre 1959, le 7 novembre 1962 (accompagné du film La Légende de Lobo), le 11 octobre 1972 et pour la dernière fois le 26 mars 1976.
Affiches identiques pour l'ensemble de ces ressorties. On y retrouve les mêmes personnages attachant, de Dumbo à Casey Junior, en passant par les corbeaux, les clowns et les insupportables éléphantes.
La France a attendu le 25 octobre 1947 pour voir le film, distribué par RKO France, et déjà proposé au Festival de Cannes en septembre de la même année.
Il est ensuite ressorti en 1956, le 9 décembre 1970, et le 26 mars 1980.
A noter que sur ces deux affiches, le titre du film n'est plus Dumbo, l'Elephant volant, mais seulement Dumbo.
- Afrique du Sud :
- Argentine :
- Belgique :
- Espagne (1941) :
- Grande-Bretagne :
- Italie :
- Japon (1974) :
- Pologne (1947) :
- Russie :
- Suède :
- Photos d'exploitation, Etats-Unis, 1941 :
- Photo d'exploitation, Etats-Unis, 1949 :
- Dossier de presse, Etats-Unis, 1949 :
- Photos d'exploitation, Etats-Unis, 1962-1972 :
- Dossier de presse, Etats-Unis, 1962 :
- Clichés pour la presse, Etats-Unis, différentes sorties (1949, 1961) :
- Publicité RKO, France, 16 février 1940 :
- Synopsis, France :
- Photos d'exploitation, France, 1960 :
- Cliché pour la presse, France :
- Dossier de presse, France, 1980 :
- Photos d'exploitation, Grande-Bretagne (1941) :
- Photo d'exploitation, Mexique :
- Photo d'exploitation, Espagne (1970's) :
- Photos d'exploitation, Suède :
- Affiches sorties vidéos + publicité :
- PLV :
Magazines Disneyland, août 1972, 1972, 1973, 1973
Journal de Mickey, 13 décembre 1970 (couverture de René Guillaume)
L'Honorable Griffin
1847. Jack et Arabella Russel (Bryan Russell et Suzanne Pleshette) sont désormais orphelins. Sans un sou, Jack décide de quitter la bonne ville de Boston et de se lancer dans la ruée vers l'or. Le voilà alors embarqué dans un voyage en direction de la Californie, en compagnie de son major d'homme, Bullwhip Griffin (Roddy McDowall). Mais entre dangers de l'Ouest sauvage et arnaqueurs en tous genre, l'expédition ne sera pas de tout repos !
Réalisé par James Neilson, le metteur en scène de Bon Voyage !, L'Eté magique et d'Un Pilote dans la Lune, L'Honorable Griffin (The Adventures of Bullwhip Griffin) est l'un des derniers films dont la production fut supervisée par Walt Disney. Rythmé par les chansons des Frères Sherman, il est sorti dans les salles américaines le 8 mars 1967.
Une belle série d'affiches, qui resitue le film dans son époque. En effet, elles plongent le spectateur directement dans l'Amérique de la fin du XIXe siècle, de la Ruée vers l'or, avec leurs images dessinées et leur police d'écriture qui rappellent les affiches du cirque Barnum ou des spectacles de Buffalo Bill. On y retrouve les principaux gags et les meilleures scènes du film.
- Belgique :
- Italie : Un Maggiodomo nel Far West
- Photos d'exploitation, Etats-Unis :
- Clichés pour la presse, Etats-Unis :
Pioneer Days
Mickey et Minnie s'embarquent dans la conquête de l'Ouest. Mais les Indiens surveillent ce convoi qui traversent leurs terres. Et lorsque Minnie est enlevée, Mickey prend son courage à deux mains pour la délivrer...
Réalisé par Burt Gillett, Pioneer Days est sorti dans les salles américaines le 5 décembre 1930.
A l'instar de l'ensemble des premiers films de Mickey, comme (The) Haunted House, (The) Chain Gang ou encore Mickey Cuts Up, Pioneer Days fut vendu grâce à une "affiche type", réutilisable à volonté pour les autres productions mettant en scène la célèbre souris de Disney. Quelques changements, cependant, par rapport à la première publicité. Tout d'abord, le film n'est plus vendu avec l'unique argument que le personnage parle et chante. L'utilisation du son synchronisé n'est en effet, en 1929, plus une grande nouveauté. Et utilisée par tous les concurrents, elle n'est désormais plus une exclusivité des studios Disney. Deuxième changement notable : seul le nom de Walt Disney apparaît sur le document. Alors que le nom d'Ub Iwerks apparaissait sur les affiches, avant que l'artiste ne quitte les studios au début de l'année 1930, ici, aucun nom d'animateur n'est mentionné. A noter enfin que le film, comme les précédents, est encore distribué par la Columbia.
A noter que le film était également vendu avec des affiches types, sans aucune mention du titre, ce qui permet leur réutilisation régulière.