Super Noël
Scott Calvin (Tim Allen) est un vendeur de jouets divorcé qui a le plus grand mal à jouer son rôle de père auprès de son fils Charlie (Eric Lloyd). La nuit de Noël va bouleverser sa vie. Apercevant une ombre sur son toit, il interpèle ce qu'il prend pour un intrus. Déstabilisé par les cris de Scott, le mystérieux visiteur tombe dans la neige, et disparaît, ne laissant que son traineau, son costume rouge, son bonnet, et une carte qui invite son lecteur à enfiler la veste et à se laisser guider par les rennes. Scott s'exécute, et prend en main le véhicule, à la tête duquel il parcourt toute la ville, allant de cheminées en cheminées pour distribuer ses cadeaux. Le voyage se termine au Pôle Nord, où il apprend de la bouche des elfes qu'il est désormais le nouveau Père Noël... Au départ sceptique et persuadé que tout ceci n'est qu'un rêve, Scott doit bien vite se rendre à l'évidence. Son poids ne cessant d'augmenter et sa barbe blanche de pousser, il est bien le nouveau Père Noël !
Réalisé par John Pasquin, Super Noël (The Santa Clause) est sorti dans les salles américaines le 11 novembre 1994.
Trois affiches pour illustrer la sortie du film. Les deux premières, sorte de pré-affiches, présentent l'acteur principal, Tim Allen, véritale vedette aux USA (ce qu'il n'est pas encore, à cette époque, en France), accomplissant sa mutation en Père Noël, notamment marquée par son embonpoint. La troisième affiche, quant à elle, est plus suggestive, plaçant le personnage de Scott comme enfermé dans une boule de Noël, pour montrer qu'il est désormais enfermé dans son nouveau rôle, sous le regard médusé de son fils, Charlie.
Super Noël est sorti en France le 6 décembre 1995, plus d'un an après la sortie américaine.
Nouveau visuel pour la France. On retrouve le Père Noël, écroulé dans la neige. En bas, tels les coupables présumés du "meurtre", d'autres pères Noëls alignés, et Scott Calvin, sont l'embonpoint commence déjà à se faire sentir. A noter que le film est vendu avec l'argument que Tim Allen est doublé en Français par Nagui... Est-ce vraiment un bon argument de vente ? La question est posée !
- Espagne : Vaya Santa Clause !
- Clichés pour la presse, Etats-Unis :
- Dossier de presse, Etats-Unis :
- Affiches sorties vidéos, Etats-Unis / Argentine :
La Princesse et la Grenouille
La Nouvelle-Orléans, dans les années 1920. Toute la ville est en émoi à l'annonce de l'arrivée de Naveen, prince vaniteux et gâté de Maldonia, venu ici pour faire la fête au rythme d'un jazz endiablé... Mais ces plans se retrouvent compromis lorsqu'il croise la route du Dr. Facilier, un magicien vaudou qui le transforme en grenouille... C'est sous cette apparence de batracien qu'il fait la rencontre de Tiana, une jeune afro-américaine qui participe au bal costumé de la fortune locale, Big Daddy LeBoeuf et de sa fille Charlotte. Persuadé que, comme dans les contes de fées, le seul moyen de redevenir humain réside dans le baiser d'une princesse, il parvient à convaincre la belle de l'embrasser. Mais la robe de princesse de Tiana n'est qu'un déguisement. La jeune fille n'est en réalité qu'une serveuse dont le rêve est d'avoir un jour son propre cabaret. Et au lieu de briser le charme, le doux baiser aggrave encore plus le maléfice en transformant à son tour Tiana en grenouille...
Enfin ! Cinq ans après l'échec de La Ferme se Rebelle, qui annonçait la mort de la 2-D, les studios Disney renouent avec l'animation traditionnelle, avec La Princesse et la Grenouille (The Princess and the Frog). Réalisé par John Musker et Ron Clements, le duo à l'origine d'Aladdin, Hercule et La Planète au Trésor, le film renoue également avec les contes de fée, genre qui, à deux reprises déjà, avait sauvé l'animation Disney d'une disparition certaine, en 1950 avec Cendrillon, et en 1989 avec La Petite Sirène. Pari réussi pour certains, début d'une nouvelle ère "animée" qui doit encore faire ses preuves pour d'autres, La Princesse et la Grenouille possède au moins le mérite de faire revenir les studios Disney à leurs fondamentaux, à une époque où la 3-D règne en maître absolu sur le cinéma d'animation.
La Princesse et la Grenouille est sortie dans les salles américaines le 11 décembre 2009, quelques jours après les premières projections organisées à Los Angeles et New York dès le 25 novembre.
A l'instar du film lui-même, l'affiche renoue avec les années 1990, rappelant notamment les superbes publicités réalisées par John Alvin pour des films comme La Belle et la Bête, Aladdin, ou encore Pocahontas, qui utilisaient la lumière pour mettre en avant les personnages principaux. Dominée par le bleu, l'affiche présente la "Princesse" Tiana, sur le point d'embrasser le Prince Naveen changé en grenouille. Tout autour, les personnages secondaires, du méchant Dr. Facilier, à la luciole Ray, en passant par l'aligator trompétiste Louis et la sorcière vaudou Mama Odie. L'ambiance de la Louisiane est quant à elle rendue par la végétation luxuriante des bayous et le bâteau à aubes qui remonte le Mississippi.
D'autres affiches furent créées, reprenant cette fois de manière plus évidente la longue galerie de personnages du film.
A noter que le film est également proposé aux Disney Studios, avec en complément une visite au coeur des coulisses du film, avec dessins, maquettes, ...
La Princesse et la Grenouille sort en France le 27 janvier 2010.
Le film s'affiche plusieurs semaines avant la sortie sur les "murs" de Disneyland Paris.
Alors que le film est encore sur les écrans français, il concourt déjà aux Oscars.
- Allemagne :
- Australie / Nouvelle-Zélande :
- Belgique :
- Brésil :
- Espagne :
- Italie :
- Québec :
- Russie :
- Clichés pour la presse :
- Dossier de presse, France :
- Publicités, France :
- Avant-première du film, aux Walt Disney Studios, le 15 novembre 2009 :
- Exposition du film à Walt Disney World :
source : http://noticiasdisney.blogspot.com/
- Stand du film au Siggraph, 2008 :
- Présentation du film lors de l'expo D23 :
Un grand merci à mes amis Franck et Laurent, alias Zuzu et Timon, pour m'avoir offert de voir le film en avant-première ! http://www.zuzudisney.com/
La Petite Sirène
28ème Grand Classique de Disney, La Petite Sirène (The Little Mermaid) est sans aucun doute aujourd'hui le dessin animé qui a sorti les studios de Mickey du marasme dans lequel ils s'étaient enfermés après la mort de Walt ! Cette renaissance avait déjà commencé, il faut dire, dès le milieu des années 1980, avec des films comme Basil, Détective privé et Oliver et Compagnie, assurant à La Petite Sirène de marquer le début du nouvel âge d'or des studios de Burbank.
Librement adapté du conte de Hans Christian Andersen, le film raconte l'histoire d'Ariel, la plus jeune fille du Roi Triton, le Maître de tous les océans, dont la vie se résume en escapades clandestines aux quatre de la mer, à la recherche d'objets appartenant aux humains... Lorsqu'un jour, elle fait une rencontre qui bouleverse sa vie. Remontée contre l'avis de son père à la surface, elle sauve un humain de la noyade... Et pas n'importe quel humain : le beau Prince Eric, dont elle tombe désespérément amoureuse. S'en est assez pour que l'infâme sorcière des mers, Ursula, chassée du royaume il y a des lustres, puisse enfin assouvir sa vengeance contre Triton. Elle offre à Ariel des jambes en échange de sa voix, et trois jours à la surface de la Terre pour faire succomber son doux Prince. Si à la fin du délais Ariel n'est pas parvenue à embrasser Eric, elle deviendra à jamais la prisonnière d'Ursula... provoquant avec elle la chûte inexorable du Roi...
Réalisé par John Musker et Ron Clements, le duo à l'origine de Basil, Détective Privé, et des futurs Aladdin, Hercule, La Planète au Trésor et La Princesse et la Grenouille, La Petite Sirène marque le retour des contes de fées Disney, 30 ans après La Belle au Bois Dormant. Il est sorti dans les salles américaines le 17 novembre 1989, deux jours après la première, organisée le 15.
Une superbe affiche "chorale", à l'instar de ce qui se fait depuis le milieu des années 1980 comme Taram et le Chaudron Magique, Basil, Détective Privé et Oliver et Compagnie, et de ce qui se fera jusqu'au milieu des années 1990, avec les sorties du Trésor de la Lampe Perdue, de Bernard et Bianca au Pays des Kangourous, La Belle et la Bête, Aladdin, Le Roi Lion, Le Bossu de Notre Dame ou encore Hercule. On y retrouve les principaux personnages du film, de la princesse Ariel et son prince Eric, au Roi Triton, en passant par la sorcière des mers Ursula, ainsi que les amis de la sirène, le crabe Sébastien, le poisson lune Polochon et le goéland Euréka, sans oublier les deux sbires d'Ursula, les anguilles Flotsam et Jetman. A noter le pari assez maladroit de vouloir placer le magnifique palais de Triton en arrière plan, cassant ainsi l'idée des deux mondes (marin et terrien) qui semblaient coexister avec logique sur l'affiche. Pari maladroit, car on pourrait croire que le palais est en dehors de l'eau, ce qu'il n'est évidemment pas. Et surtout, pari maladroit, car aujourd'hui encore, la rumeur qu'une des tours du château ait une forme douteuse prime souvent, confondant la beauté de la publicité avec une pseudo pornographie pourtant inexistante !...
Une seconde affiche, cette fois beaucoup plus intimiste, fut également diffusée. Oeuvre de l'artiste John Alvin, qui créa le même type de publicité pour tous les grands chefs-d'oeuvres de Disney, de Blanche Neige et les Sept Nains à Pocahontas, en passant par La Belle et la Bête, Pinocchio, ou encore Bernard et Bianca au Pays des Kangourous. On y retrouve "seulement" Ariel, rêveuse, assise sur son rocher, à la surface de la mer, uniquement éclairée par la pleine lune.
Chose rare pour un film de cette période, La Petite Sirène ressort dans les salles américaines le 14 novembre 1997.
Nouvelle sortie, nouvelle affiche, moins subtile que la première. On y retrouve le personnage d'Ursula, qui semble lorgner, par l'intermédiaire de sa "boule magique", sur Ariel, toujours rêveuse, qui enlève les pétales d'une fleur sous-marine, sous le regard complice de Polochon et le regard tendre du Roi Triton. En fond, toujours le palais d'Atlantica, moins mis en avant (surprenant !) que sur l'affiche de 1989. A noter la place particulière de Sébastien, comme déconnecté de la scène.
Comme en 1989, une autre affiche, plus subtile et plus poétique fut créée. On y retrouve Ariel, nageant, éclairée par la lumière du soleil qui transperce la surface de l'eau.
Trois autres affiches pour cette ressortie américaine.
Continuant à occuper les écrans pour le plus grand bonheur des fans de Los Angeles, le El Capitan Theatre reprogramme La Petite Sirène pour une durée limitée, le 21 janvier et le 10 février 2011.
En France, La Petite Sirène est sorti sur les écrans le 28 novembre 1990.
Comme aux Etats-Unis, une seconde sortie eut lieu le 1er juillet 1998.
- Allemagne : Arielle, die Meerjungerau
- Australie :
- Belgique :
- Espagne : La Sirenita
- Grande-Bretagne :
- Italie : La Sirenetta
- Japon :
- Yougoslavie : Mala Sirena
- Photos d'exploitation, Etats-Unis :
- Clichés pour la presse :
- Photos d'exploitation, ?
- Dossiers de presse, Etats-Unis :
- Photo d'exploitation, France :
- Dossier de presse, France, 1990 :
- Dossier de presse, France, 1998 :
- Photos d'exploitation, Allemagne :
- Photo d'exploitation, Espagne :
- Affiches sorties vidéos, Etats-Unis, Argentine :
- Dossier de presse sortie vidéo, France :
- Affiche Disneyland Paris, 2012 :
The Little Mermaid Magazine
Disney Adventures, décembre 1991 / décembre 1997
Catalogue Sotheby's
Le Drôle de Noël de Scrooge
Après Le Noël de Mickey et Noël chez les Muppets, les studios Disney adaptent pour la 3ème fois sur grand écran le célèbre Conte de Noël de Charles Dickens.
L'histoire bien connue prend place dans le Londres victorien, où Ebenezer Scrooge (Jim Carrey) assiste à la mise en bière de feu son fidèle associé Jacob Marley (Gary Oldman). Le vieil homme est désormais seul, et plus avare et antipathique que jamais, pour le plus grand dam de ses voisins, de sa famille et son employé Bob Cratchit (Gary Oldman). Mais la nuit de Noël, la visite du fantôme de Marley va changer sa vie. Il lui annonce en effet la venue de trois esprits, bien décidés à mettre Scrooge face aux déceptions de son passé, à la misère de son présent, et au destin tragique de son futur...
Réalisé par Robert Zemeckis, qui recollabore avec Disney presque 20 ans après Qui veut la Peau de Roger Rabbit, Le Drôle de Noël de Scrooge (A Christmas Carol) renoue avec la tradition du Disney de Noël, avec l'histoire la plus connue de la période, traitée cependant avec la nouvelle technologie du Motion Capture, qui consiste à recréer le jeu des acteurs, les décors et autres accessoires sur ordinateur, en animation 3-D. Le film est sorti dans les salles américaines le 6 novembre 2009.
La campagne publicitaire du film commença dès le Printemps 2009 aux Etats-Unis, avec la diffusion de deux premières "affiches". Rien de bien transcendant sur chacune d'elles. Seul le cadre est posé, et le personnage identifié. On y découvre en effet le côté sombre des ruelles de Londres, et le visage du héros, interprêté par un Jim Carrey méconnaissable. De quoi faire patienter les fans les plus dubitatifs par cette énième adaptation de l'histoire de Scrooge.
L'affiche principale arriva au milieu de l'été. Moins noire, moins glauque que les deux autres, elle présente le personnage principal, toujours dans cette même position courbée, une chandelle à la main... Ou plutôt l'esprit des Noëls passés à la main, puisque si on regarde bien la flamme, c'est bien de lui qu'il s'agit ! En bas de l'affiche, le Londres victorien, avec ses clichés, de la neige recouvrant les trottoirs encombrés, aux vitrines illuminées et décorées de couronnes de houx, en passant par les chanteurs qui quémandent pour les pauvres.
Trois autres affiches furent placardées quelques semaines avant la sortie du film. Les deux premières centrent davantage l'esprit comédie du film, montrant le vieux Scrooge terrifié, alors même qu'il est embarqué dans le ciel de Londres par le fantôme des Noëls passés. La troisième, quant à elle, reprend le cliché du vieil homme ténébreux, dont le visage tortueux est éclairé par cette flamme représentant le même fantôme du passé.
En attendant la sortie du film en DVD, Blu-Ray et Blu-Ray 3-D, le cinéma El Capitan Theatre propose aux spectateurs de redécouvrir ce classique de Noël pendant une durée limitée, du 5 au 21 novembre 2010.
Le Drôle de Noël de Scrooge est sorti en France le 25 novembre 2009.
L'affiche reprend le visuel américain. Le gros changement, et pas des moindres, c'est le titre. On passe du mystérieux conte de Noël au "Drôle" de Noël de Scrooge. Ridicule et mensonger, ce titre peut / veut faire passer le film pour une gentille comédie, ce qu'il n'est pas. Et veut faire passer l'histoire pour un beau conte, ce qu'il n'est, pour la majeure partie, pas du tout. Le titre québéquois, Un Conte de Noël, aurait sans nul doute été de meilleur goût !...
- Allemagne :
- Argentine :
- Brésil :
- Finlande :
- Japon :
- Pologne :
- Portugal :
- Québec :
- Roumanie :
- Russie :
- Suède :
- Turquie :
- Clichés pour la presse :
- Publicité :
- Plan média, France :
- Publicité sortie Blu-Ray 3-D, France, 2011 :
- Photos de tournage :
- Conférence de presse, Comicon :
- Présentation du film lors du Festival de Cannes, le 20 mai 2009 :
- Le "Christmas Carol - Train Tour", exposition présentant décors, accessoires et costumes ayant été utilisés dans le film. Elle a été inaugurée en présence de Jim Carrey, Robert Zemeckis et Dick Cook le 21 mai 2009, à Los Angeles (photos de Jason Merritt / Getty Images).
- Avant-première londonienne du film, le 3 novembre 2009 :
- Façade du El Capitan Theatre :
Merlin l'Enchanteur
Depuis des années, l'Angleterre se cherche un Roi. La légende raconte que le trône reviendra à celui qui parviendra à retirer l'épée scellée dans une enclume. Mais après de multiples tentatives, l'espoir de trouver le nouveau monarque a disparu, et le royaume a sombré peu à peu dans l'obscurantisme et la violence. C'est dans ce Moyen Âge rétrograde que le jeune Arthur, surnommé "Le Moustique", fait son apprentissage auprès de Sir Hector... Enfin apprentissage... Il sert surtout de faire-valoir et de larbin à son fils Kay. C'est au cours d'une partie de chasse, alors qu'il doit récupérer l'une des flèches de son maître perdue au coeur de la forêt, que Moustique fait la connaissance de Merlin. Enchanteur farfelu, adepte de la magie, le vieil homme décide de prendre le jeune orphelin sous sa protection, lui promettant un jour d'accomplir un destin exceptionnel...
18ème Grand Classique des studios Disney après La Belle au Bois Dormant et Les 101 Dalmatiens, Merlin l'Enchanteur (The Sword in the Stone) fait partie de ces films aujourd'hui accclamés par le public, mais qui connurent une génèse plus qu'hasardeuse. Mis en chantier à la fin des années 1950, sous la houlette du scénariste Bill Peet, d'après l'oeuvre de T.H. White, le film a souffert dès ses débuts d'un désintérêt de Walt Disney pour l'histoire, d'un budget gangréné par la recherche incessante d'économies de bouts de chandelle et de séquences oscillant entre moments d'anthologie et moments faiblards, sans parler d'un fin certe acquise dès les premières minutes. Cependant, il garde aujourd'hui l'estime du public, et les marques de son époque, qui en font une pièce d'animation mémorable.
Réalisé par Wolfgang Reitherman, Merlin l'Enchanteur est sorti dans les salles américaines le 25 décembre 1953, devenant l'événement de Noël de l'année.
Une affiche dans la vogue de ce qui se fait à l'époque chez Disney : une absence totale de décors, des personnages dont le style ne reflète pas réellement celui du film, et les rôles secondaires représentés ça et là, parfois par leur seule tête. On retrouve les héros Moustique et Merlin, lequel semble faire sortir l'ensemble de la galerie de sa baguette magique. Au milieu des objets enchantés, dont le petit sucrier colérique, on retrouve ainsi les autres personnages marquants, de Madame Mim au loup affamé, en passant par Hector et Kay. A noter que chose rare, le nom du scénariste Bill Peet apparaît sur la publicité. A noter également les quelques lignes du texte, qui informe le spectateur sur la fin du film avant même qu'il n'ai pu le voir...
Le film ressort dans les salles 10 ans plus tard, en janvier 1973...
... Avec la même campagne d'affichage.
10 ans passent, et à nouveau, en 1983, Merlin l'Enchanteur revient sur les écrans américains, avec en première partie le moyen-métrage Winnie l'Ourson et une sacrée journée pour Bourriquet.
Comme toutes les affiches des années 1980, le style est épuré, avec des couleurs pastelles. Au centre, l'image la plus emblématique du film, le jeune Arthur qui ôte l'épée de l'enclume devant l'oeil attentif et le regard amusé de Mim (qui n'a rien à faire là, mais qui s'en inquiète !).
Merlin l'Enchanteur est sorti en France en décembre 1964.
On y retrouve les héros dans un tourbillon de magie. A noter qu'à l'instar du titre traduit en Français, Merlin devient le personnage central du film, ce qui n'était pas nécessairement le cas aux Etats-Unis.
Le film ressort pour la première fois le 17 mars 1976...
... puis le 21 mars 1984.
En mars 1990, Merlin l'Enchanteur revient sur les écrans français, distribué par Warner Bros. Transatlantic.
- Allemagne : Merlin und Mim / Die Hexe und der Zauberer
- Argentine : La Espada en la Piedra
- Australie :
- Belgique :
- Espagne : La Espada en la Piedra
- Grande-Bretagne :
- Italie : La Spada nella Roccia
- Pologne :
- Portugal, Brésil : A Espada era a Lei
- Yougoslavie : Mac U Kamenu
- Photos d'exploitation, Etats-Unis, 1963, 1973 :
- Photos d'exploitation, Etats-Unis, 1983 :
- Dossier de presse, Etats-Unis, 1963 :
- Clichés pour la presse, Etats-Unis, 1963-1973 :
- Clichés pour la presse, Etats-Unis, 1983 :
- Photos d'exploitation, France, 1976 :
- Photos d'exploitation, France, 1984 :
- Photo d'exploitation, France, 1990 :
- Dossier de presse, France, 1983 :
- Photos d'exploitation, Mexique :
- Photos d'exploitation, Royaume-Uni :
- Publicités sortie vidéo, Etats-Unis, France :
- Dossier de presse, sortie vidéo, France :
- Publicités diverses :
This Week Magazine, 15 décembre1963
Journaux de Mickey N°652 et 654, des 22 novembre et 6 décembre 1964
Magazine Disneyland, octobre 1973 / 1973
La Petite Maison
Construite dans une campagne tranquille, une petite maison se retrouve bien vite prise d'assaut par l'urbanisation débordante. Bientôt encerclée d'immeubles qui la méprisent ouvertement, et victime des aléas de la ville, la demeure semble vivre ses derniers instants... Elle est rachetée, entièrement détruite... Mais finalement transférée dans la campagne paisible, loin du vacarme de la métropole, où elle est entièrement reconstruite !
Réalisé par Wilfred Jackson, La Petite Maison (The Little House) fait partie de ces courts-métrages des studios Disney qui mettent en scène des objets humanisés, à l'instar de Petit Toot, Susie le Petit Coupé Bleu, l'avion Pedro ou encore Johnny Panama et Alice Bonnet Bleu. Inspiré d'une histoire de Virginia Lee Burton, il est sorti dans les salles américaines le 8 août 1952.