La-Haut
Carl Fredricksen et son épouse Ellie sont deux êtres épris d'aventures et de danger. Leur rêve : partir en Amérique du Sud et voir de leurs propres yeux les Chutes du Paradis. Mais le temps a passé, et Carl, devenu un vieil homme de 78 ans, est désormais veuf. Lorsque les cirsconstances le forcent à quitter sa chère maison, il décide de fuir son quartier en proie à des promoteurs. Il attache alors des centaines de milliers de ballons à sa demeure, la transformant ainsi en dirigeable. Et soucieux de réaliser le rêve de sa regrettée femme, il part en direction de l'Amérique du Sud, afin de trouver les Chutes du Paradis, y installer sa maison, et vivre la fin de ses jours dans la plus sereine tranquilité. Ce qu'il ignore, c'est qu'il a malgré lui embarqué à son bord un jeune scout, Russell, et que ses rêves de repos ne seront pas si faciles à atteindre...
Encore... Les studios Pixar ont encore fait des merveilles. Réalisé par Pete Docter, le réalisateur de Monstres et Cie, et Bob Peterson, Là-Haut (Up) est la 10ème pépite de la mine Pixar. Et encore une fois, le studio à la mythique lampe de bureau est parvenu à emmener le spectateur dans un monde de rêverie et de poésie, privilégiant toute une série d'incohérences dans le but de le plonger dans une aventure hors du commun, au coeur de paysages sublimes.
Là-Haut fut présenté au public lors du 62ème Festival de Cannes, qui s'est tenu du 13 au 24 mai 2009.
Le privilège est grand. C'est en effet la première fois qu'un film d'animation est présenté en ouverture de l'un des festivals de cinéma les plus prisés du monde.
Trois jours plus tard, le 16 mai 2009, c'est à Hollywood, au cours d'une première organisée en grande pompe, que le film fut présenté au public américain, quelques jours avant la sortie nationale, le 29 mai. Il est accompagné du court-métrage Passages Nuageux en avant-programme.
La première affiche du film, distribuée plusieurs mois avant la sortie du film, parvient à transmettre toute la poésie du film. Au loin, sur un fond de ciel nuageux, le public découvre en effet la maison, suspendue dans les airs par des milliers de ballons de toutes les couleurs. Quoi dire de cette affiche, à part qu'elle est remplie de beauté, et qu'en même temps, elle parvient à susciter beaucoup de curiosité. En effet, comment cette maison s'est-elle retrouvée dans les cieux. Qui, Quand, Où, Comment ?... Les questions sont posées, et bien entendu, l'affiche n'y répond pas !
L'affiche suivante, sorte d'affiche principale, place encore une fois le spectateur au milieu des nuages. Mais cette fois, la poésie fait place à l'aventure. La désormais célèbre maison "volante" est reléguée au fond, laissant au premier plan le héros de l'histoire, le vieux Carl Fredricksen, suspendu à son tuyau d'arrosage, seul lien entre lui et sa demeure. Egalement suspendus dans le vide, le jeune scout Russell, ainsi que le chien "parlant" Doug, que les deux aventuriers découvrent pendant leur excursion au coeur de la jungle sud-américaine. Dernier personnage, perché sur le toit de la maison, Kevin, drôle d'oiseau géant, lui-aussi croisé dans la forêt tropicale. Une nouvelle fois, les questions fusent dans l'esprit des spectateurs... Et une nouvelle fois, l'affiche de donne aucune information concrète !
Trois autres visuels furent également utilisés. Encore une fois situé dans les airs, ils présentent trois des personnages principaux. Carl et Russel, suspendus au tuyau d'arrosage qui les relient à la maison, et le chien Doug. Même si ces affiches semblent très énigmatique, elles révèlent le caractère des personnages. On découvre en effet un Carl qui semble blasé, non préparé à l'aventure dans laquelle il s'est embarqué. A l'inverse, Russell est un jeune gamin débordant d'enthousiasme et arborant avec fierté son écharpe pleine de badges. Seul Doug n'est pas réellement comme dans le film, ou du moins comme dans la majorité du film. En effet, il est ici représenté l'air triste, avec le "collier de la honte" autour du cou...
A noter que le film fut présenté au El Capitan Theatre, le cinéma que possèdent les studios Disney sur Hollywood Boulevard, entre le 29 mai et le 23 juillet 2009.
A noter également que Là-Haut se lance dans la course aux Oscars dès 2009. Le dessin animé recevra deux décorations : Meilleur Film d'Animation et Meilleure musique.
En France, Là-Haut est sorti dans les salles le 29 juillet 2009.
Même genre d'affiche qu'aux Etats-Unis : l'une reprenant le visuel de la maison flottant dans les airs grâce à ses milliers de ballons remplis d'hélium, l'autre montrant Carl, Russell et Doug suspendus dans le vide. A noter l'ajout d'un slogan, "Changez d'air", qui n'apparaissait pas sur les affiches américaines.
Un troisième visuel existe également. Cette fois, nous sommes sur la terre ferme. La maison flotte toujours dans les airs. Au sol, Carl semble plus que fatigué par le jeune Russell, plein d'entrain, jumelles à la main et attirail de scout sur son dos. A noter un détail important, la présence de deux avions près de la maison, qui laisse suggérer que le voyage ne sera pas de tout repos.
- Allemagne :
- Argentine, Vénézuela, Pérou :
- Belgique :
- Brésil :
- Pologne :
- Portugal :
- Russie :
- Thaïlande :
- Clichés pour la Presse / Photos d'exploitation :
- Photos d'exploitation, Allemagne :
- Plan Média, France :
- PLV cinéma, France :
- Publicité sortie Blu-Ray, France :
- Photocall, Cannes, 13 mai 2009 :
- Ouverture du Festival de Cannes, 13 mai 2009 :
- Soirée cannoise, 13 mai 2009 (Photos de Kristian Dowling) :
- Pete Docter au Comic con
- Photos diverses :
- Première du film, Hollywood, Los Angeles :
Edward Asner, Jordan Nagai, Pete Docter, Delroy Lindo, John Ratzenberger, Barbara Eden, Brenda Song, Debby Ryan, Jadagrace, Joey Luthman, Jon Voight, Justin Chambers, Melissa Joan Hart, Michelle Monaghan, Mimi Rogers, Patton Oswald, Ryan Newman, Skyler Shaye, Tia Carrere.
- Les voix brésilienne (Chico Anysio) et russe de Carl :
- Soirée des Oscars, mars 2010 :
Ciné Live Hors Série, Eté 2009
Le Figaro, 29 juillet 2009
Journal de Mickey, 29 juillet 2009
Picsou Magazine, mai / juillet 2009
Télé 2 Semaines du 1er au 14 août 2009
Tim Burton's Alice au Pays des Merveilles
L'un des films les plus attendus de 2010 est certainement la nouvelle adaptation de l'un des contes anglais les plus connus, Alice au Pays des Merveilles (Alice in Wonderland), de Lewis Carroll. Et il ne s'agit pas de n'importe quelle adaptation, puisque cette-fois, elle est associée à l'univers si particulier de Tim Burton, le réalisateur de Batman, Edward aux mains d'argent, Ed Wood, Sleepy Hollow ou encore Big Fish, qui retravaille ici avec les studios Disney, pour qui il avait réalisé les courts-métrages Vincent et Frankenweenie, et produit L'Etrange Noël de Monsieur Jack et James et la Pêche géante.
Enfin, adaptation... Il ne s'agit en fait pas d'une nouvelle version du Alice au Pays des Merveilles semblable à celle que Walt Disney avait réalisée 50 ans plus tôt. Ecrite par la scénariste Linda Woolverton, l'histoire se passe en effet 10 ans plus tard et Alice (Mia Wasikowska) est désormais une adolescente de 19 ans confrontées aux dures réalités de son monde. Devant épouser un jeune lord antipathique, elle décide de fuir et de suivre le Lapin Blanc (Michael Sheen), retournant malgré elle au Pays des Merveilles, dont elle a tout oublié. Elle y retrouve ses habitants tous plus étranges et farfelus les uns que les autres, des jumeaux Tweedle Dee et Tweedle Dum (Matt Lucas) au Chat de Cheshire (Stephen Fry), en passant le Loir (Barbara Windsor), la chenille Absoleum (Alan Rickman), le Dodo (Michael Gough), le Lièvre de Mars (Paul Whitehouse) ainsi que le Chapelier Tocqué (Johnny Depp). Mais le Pays des Merveilles n'est plus ce qu'il était. Une guerre couve en effet entre la Reine Blanche (Anne Hathaway), déchue, et sa soeur, l'horrible Reine Rouge (Helena Bonham Carter), qui règne d'une main de fer sur le royaume et inspire la terreur à tous grâce au Valet de Coeur (Crispin Glover) et ses sbires, ainsi que ses monstres, au premier rang duquel le terrible Jabberwocky (Christopher Lee) qu'Alice, selon un oracle, devra tuer pour ramener la paix...
La date de sortie américaine d'Alice au Pays des Merveilles est programmée au 5 mars 2010. Cependant, sa promotion a commencé depuis le début de l'année 2009.
Les premières affiches, ou plutôt pré-affiches, datent du premier semestre 2009. Elles invitent, selon leur slogan, le spectateur à un rendez-vous très important, fixé au 5 mars, l'informant au passage que le film sera projeté dans les salles IMAX et parfois en Disney Digital 3-D ! A première vue simple, et surtout, gardant le mystère sur le contenu précis de l'histoire, elles sont chacunes centrées sur l'un des personnages majeurs du film : Alice, Le Chapelier Tocqué, La Reine Rouge, Tweedle Dee et Tweedle Dum, ainsi que la Reine Blanche. Chacun associé à une couleur bien précise, les personnages renseignent surtout le spectateur impatient sur l'aspect graphique du film. On découvre ainsi l'association des "créatures" de Lewis Carroll à l'univers si particulier de Tim Burton.
Exit la jeune Alice. On retrouve ainsi une adolescente, tournée vers le spectateur, et qui semble "tourmentée".
Exit également le Chapelier tocqué "sauce Disney 1951". On découvre un personnage loin de la rondeur et de la "douceur" du dessin animé. A la place, on a plutôt un Chapelier assez inquiétant, aux yeux verts perçants et aux sourcils et aux cheveux roux hirsutes, qui tranchent avec la blancheur de son visage et les tons roses de son maquillage. Son costume barriolé complète cette effusion de couleurs vives. Et que dire de ces doigts, crasseux et ensanglantés, bandés ou dissimulés sous un dé à coudre... Quelque peu flippant, non ?...
Exit la grosse Reine de Coeur hurlante du dessin animé de 1951. Et exit également le personnage sous la forme d'une pièce d'échec tel qu'il apparaît dans le livre original. Le personnage de la méchante revient sous une toute autre forme. La Reine Rouge possède en effet une tête déformée et démesurée, coiffée d'une chevelure tout aussi disproportionnée, tout droit inspirées d'un autre personnage, celui de la Duchesse, tel que John Tiennel l'a représenté dans le roman original...
L'aspect de Tweedle Dee et Tweedle Dum est lui aussi très particulier. Semblable en tous points, les jumeaux portant un costume rayé qui s'éloignent de l'oeuvre originale. En effet, Tenniel les avait représenté moins trappus, avec une casquette et un costume dont la chemise laissait apparaître leur nom. Tout ceci n'apparaît visiblement pas dans la version de Burton, et là encore, comme la Reine Rouge, les personnages ont un aspect déroutant mais très intriguant.
La Reine Blanche semble, avec Alice, être le seul personnage "réaliste" du film, avec sa tête "normale" d'une blancheur éclatante, tout comme sa longue chevelure.
La galerie d'affiches grandit encore au début de l'année 2010, avec deux nouvelles publicités, mettant en scène deux des personnages les plus connus de l'histoire de Carrol, Le Chat du Cheshire et le Lapin Blanc.
Une autre affiche reprenant la photographie du Chapelier Tocqué joué par Johnny Depp est apparue quelques semaines plus tard, avec en plus les crédits du film.
Trois nouvelles affiches apparaissent dès le 2ème semestre 2009. Présentant à nouveaux l'ensemble des personnages connus, elles permettent de découvrir quelques nouveaux rôles, notamment le Chat du Cheshire ou encore la Chenille, mais surtout, elle permettent de se faire une idée de l'ambiance du film, à travers ses décors pastels et gothique, représentant la nature luxuriante du pays des Merveilles, ainsi que le chateau de la Reine Blanche.
Mises l'une à côté de l'autre, les trois affiches n'en forment plus qu'une, d'une beauté incomparable.
D'autres affiches apparaissent également sur Internet et dans les magazines.
La sortie française d'Alice au Pays des Merveilles est programmée au 24 mars 2010.
- Québec :
- Clichés pour la presse (2009-2010) :
- Publicité sortie Blu-Ray 3-D, Etats-Unis, 2011 :
Vanity Fair N°588, août 2009
- Comic Con, 2009 :
- Alice in Wonderland's Fan Event, au 19 février 2009 :
- Première londonienne :
- Façade du El Capitan Theatre.
- Soirée des Oscars, 27 février 2011 : Roger Stromberg reçoit l'Oscar de la meilleure direction artistique.
Pedro
Réalisé par Hamilton Luske et sorti pour la première fois dans les salles de cinéma américaines le 6 février 1943 au sein de Saludos Amigos, Pedro raconte l'histoire d'un petit avion issu d'une longue famille d'engins postaux reliant Santiago du Chili à Mendoza, en Argentine, et qui doit un jour remplacer au pied levé son père, souffrant. Et il faut dire que la tâche est hardue : il faut en effet survoler la Cordillère des Andes, lutter contre les aléas climatiques de la région, et garder son sang froid face au "Colosse de l'Amérique", la terrifiante montagne Aconcagua...
Pedro est sorti de manière indépendante le 13 mai 1955. Il est distribué par la RKO Pictures.
Une très jolie affiche pour un film qui ne l'est pas moins. On y retrouve en effet le personnage principal, Pedro, trainant derrière lui le sac de courrier si précieux. Deux autres images précisent qu'il n'est encore qu'un enfant, pour ceux qui ne le savent pas. Le spectateur qui n'a jamais vu la séquence découvre aussi l'idée d'avoir anthropophisé le véhicule, à l'instar de Casey Junior, le train de Dumbo, ou de Petit Toot. Au niveau du décor, on retrouve les couleurs pastelles et les formes assez enfantines qui sont propres au travail de Mary Blair, qui avait travaillé sur le style du film, et dont le travail avait été revu afin de le rendre exploitable dans un film d'animation. Une chose, cependant, est troublante sur le visuel : l'emploi des couleurs. En effet, Pedro est ainsi représenté avec un carlingue verte, alors que dans le film, elle est rouge, sans parler du ciel saumon et des montagnes bleues. Autre chose étrange, cet aigle, qui ne ressemble pas non plus à celui présent dans le film...
Les Trois Mousquetaires
Les studios de Walt Disney se sont souvent inspirés de monuments de la littérature comme points de départ à leurs productions, de Robert Louis Stevenson (L'Île au Trésor, La Planète au Trésor) à Jules Verne (20 000 Lieues sous les Mers, Les Enfants du Capitaine Grant), en passant par Victor Hugo (Le Bossu de Notre Dame), Jack London (Croc Blanc), Mark Twain (Le Prince et le Pauvre, Les Aventures d'Huckleberry Finn), Edgar Rice Burroughs (Tarzan) ou encore C.S. Lewis (Le Monde de Narnia chapitres 1 et 2), sans parler des auteurs de contes comme Perrault, Andersen ou les frères Grimm. Les Trois Mousquetaires (The Three Musketeers), inspiré (très librement) de l'oeuvre d'Alexandre Dumas, suit la même logique.
Réalisé par Stephen Herek, Les Trois Mousquetaires "sauce" Disney fait partie de la quinzaine d'adaptations de la célèbre histoire française publiée au milieu du XIXe siècle. Et le moins que l'on puisse dire, c'est qu'il s'agit d'une de celles qui s'éloignent le plus de l'oeuvre. Bien entendu, on retrouve l'histoire de D'Artagnan (Chris O'Donnell), jeune gascon arrivant à Paris pour s'enrôler dans la compagnie des mousquetaires du Roi. Mais il arrive trop tard. Sur ordre du Cardinal de Richelieu (Tim Curry), la compagnie vient d'être supprimée et les mousquetaires dispercés dans les différents corps d'armée de sa majesté le Roi Louis XIII. Seuls trois d'entre eux, Athos (Kiefer Sutherland), Porthos (Oliver Platt) et Aramis (Charlie Sheen), ont refusé de rendre leur arme. Accompagnés de D'Artagnan, ils continuent en effet de se battre contre le Cardinal et ses sbires, Milady de Winter (Rebecca de Mornay) et le Comte de Rochefort (Michael Wincott), qui ourdissent un complot contre le trône...
Les Trois Mousquetaires est sorti dans les salles américaines le 12 novembre 1993.
Une affiche sans grande surprise, finalement, qui s'inscrit parfaitement dans les codes du film d'aventures : un fond foncé, les têtes d'affiches réunies en haut, et le titre en gros, en dessous. Evidemment, rien ne transparaît de l'histoire sur l'image, mais en même temps, qui ne connaît pas l'histoire des Trois Mousquetaires, y compris de l'autre côté de l'Atlantique. Seuls les noms des personnages sont inscrits sous le nom de leur interprète, et quelques phrases de slogan explique que le trône de France est menacé, et que le destin du roi est entre les mains de ces héros. Et puis évidemment (encore), que serait une affiche des Trois Mousquetaires dans la devise "Un pour Tous et Tous pour un" (All for One and One for All), à la différence près que la citation est inversée aux Etats-Unis.
En France, le film est sorti le 2 février 1994.
Même genre d'affiche, sauf que cette fois, en plus des héros en haut du visuel, on retrouve une scène d'action en-dessous du titre. Chose surprenante sur cette affiche : aucune trace des studios Disney, pas de "Walt Disney Pictures présente", ni au-dessus du titre, ni dans les crédits.
- Espagne : Los Tres Mosqueteros
- Italie : I Tre Moschettieri
- Clichés pour la presse :
- Dossier de presse, Etats-Unis :
- Affiche sortie vidéo, Etats-Unis :
Le Vieux Moulin
68ème court-métrage de la série des Silly Symphonies, Le Vieux Moulin (The Old Mill) est l'un des dessins animés de Walt Disney les plus connus et les plus appréciés. Réalisé par Wilfred Jackson et Graham Heid, il raconte les mésaventures de différents animaux qui habitent un vieux moulin en pleine campagne, et qui essuient une violente nuit d'orage et de vent.
Le Vieux Moulin a lui-aussi une place à part dans la filmographie de Walt Disney. De par sa notoriété et sa popularité, évidemment, mais également par l'introduction de la caméra multiplane, utilisée ici pour la première fois, et qui donne au décor une profondeur jusque-là impossible à obtenir avec un effet aussi réaliste. L'utilisation de ce nouvel "outil" fut tellement probante que le dessin animé fut couronné par un Oscar en 1938. Elle fut ensuite utilisée dans de nombreux autres films, notamment les deux premiers longs-métrages d'animation des studios Disney, Blanche Neige et les Sept Nains et Pinocchio.
Le Vieux Moulin est sorti dans les salles américaines le 5 novembre 1937. Il est l'un des premiers films de Disney distribué par la société RKO Pictures.
L'affiche ci-dessus n'est pas la première créée pour ce film (si tant est qu'il y ait eu une affiche lors de la sortie de 1937), mais celle d'une ressortie, quelques années plus tard. On y découvre le fameux vieux moulin, ses ailes déchiquetées par le vent et le temps, qui surplombe un étang bordé de roseaux. Tout autour de lui gravitent toute une série de chauves-souris. Et au premier plan, deux hiboux (choix étrange car dans le film, un seul vit sous les toits de l'édifices). Comme à l'accoutumée, Mickey Mouse présente le cartoon, dont le titre est toujours écrit en tout petit, laissant la place au nom de la série des Silly Symphonies.
En France, Le Vieux Moulin est sorti plusieurs fois dans les salles de cinéma, à l'intérieur de compilations regroupant 11, puis 9 Chefs-d'Oeuvres de Walt Disney couronnés aux Oscars, dont les courts-métrages animés Le Cousin de Campagne, Ferdinand le Taureau, Des Arbres et des Fleurs, Les Trois Petits Cochons ou encore Le Lièvre et la Tortue, ainsi que deux documentaires de la série True-Life Adventures, L'Île aux Phoques et Oiseaux Aquatiques.
La première compilation est sortie dans les salles françaises le 27 juin 1967 (affiche rose), la seconde, amputée des deux documentaires L'Île aux Phoques et Oiseaux Aquatiques, a été distribuée le 18 août 1976 (affiche noire), puis le 21 août 1985 (affiche bleue).
Le même genre de compilation est également sorti en Argentine (1941) ou encore en Belgique...
... Ainsi qu'au Mexique.
- Affiche australienne :
- Clichés pour la presse, Etats-Unis :
Les photographies ci-dessus présentent la Caméra multiplane, utilisée pour la première fois pendant la réalisation du Vieux Moulin. Il s'agit en fait d'une caméra positionnée en haut d'une armature, sur laquelle des plaques de verres sur lesquelles les décors sont peints sont placées à différents niveaux. En zoomant, la caméra se rapproche des parties les plus éloignées du décor, laissant passer sur les côtés les parties les plus proches, donnant ainsi un effet de profondeur assez réaliste. La dernière photo montre Walt Disney, qui présentait le fonctionnement de sa caméra au cours d'une de ses émissions télévisées réalisée dans les années 1950.
Une attraction du parc Disneyland Resort Paris fut créée sur le thème du Vieux Moulin. Baptisée Les Pirouettes du Vieux Moulin, il s'agissait à l'origine d'une sorte de grande roue. Les visiteurs pouvaient monter dans les seaux situés à l'arrière du Moulin, et qui tournaient. Aujourd'hui, l'attraction a laissé place à un "restaurant".
Des Arbres et des Fleurs
Dans nombre de ses courts-métrages, Walt Disney eut à coeur de représenter la nature et les animaux dans tous leurs états, notamment dans Springtime, Playful Pan, Le Vieux Moulin ou encore Le Vilain Petit Canard. Des Arbres et des Fleurs (Flowers and Trees) s'inscrit dans cette logique. Le film raconte en effet l'éveil de la forêt, dont les "habitants", fleurs, champignons et autres arbres s'animent et dansent au fil de la musique. Commence alors une belle romance entre deux arbres amoureux... Mais cela n'est pas du goût d'un vieil arbre acariâtre et jaloux, qui décide de mettre un terme à ces batifolages en embrasant la forêt...
29ème Silly Symphony, réalisée par Burt Gillett, Des Arbres et des Fleurs occupe une place privilégiée dans la longue filmographie de Walt Disney. Au départ produit comme les autres Silly Symphonies en noir et blanc, le film fut finalement réalisé en couleurs, grâce au procédé Technicolor. Et c'est une révolution, car c'est la première fois qu'un dessin animé est projeté en couleur !
Des Arbres et des Fleurs est sorti dans les salles américaines le 30 juillet 1932. Il est alors distribué par le partenaire des studios Disney de l'époque, la société United Artists Pictures.
L'affiche du film est l'une des plus connues. Elle présente les deux principaux protagonistes, à savoir ces deux arbres anthropomorphiques qui roucoulent au milieu des fleurs dansantes et des papillons. On remarque que le film est présenté par Mickey Mouse, véritable vedette de l'époque, et que son appartenance à la série des Silly Symphonies est bien plus visible que son titre même. Chose étrange, aucune mention du procédé Technicolor, à croire que l'affiche a été réalisée avant que la décision soit prise de reprendre la production initialement en noir et blanc, afin de créer un dessin animé en couleurs...
En France, Des Arbres et des Fleurs est sorti plusieurs fois dans les salles de cinéma, à l'intérieur de compilations regroupant 11, puis 9 Chefs-d'Oeuvres de Walt Disney couronnés aux Oscars, dont les courts-métrages animés Le Cousin de Campagne, Ferdinand le Taureau, Les Trois Petits Cochons, Le Vieux Moulin ou encore Le Lièvre et la Tortue, ainsi que deux documentaires de la série True-Life Adventures, L'Île aux Phoques et Oiseaux Aquatiques.
La première compilation est sortie dans les salles françaises le 27 juin 1967 (affiche rose), la seconde, amputée des deux documentaires L'Île aux Phoques et Oiseaux Aquatiques, a été distribuée le 18 août 1976 (affiche noire), puis le 21 août 1985 (affiche bleue).
Le même genre de compilation est également sorti en Argentine (1941) ou encore en Belgique...
... Ainsi qu'au Mexique.
Stan Laurel, Walt Disney, Hal Roach et Oliver Hardy, au cours de la soirée de remise des Oscars du 18 novembre 1932.
Pendant cette soirée, Walt Disney fut honoré de deux Oscars : un pour la création de Mickey Mouse (dans les mains de Lillian Disney, la femme de Walt) et celui du Meilleur court-métrage d'animation attribué à Des Arbres et des Fleurs (le certificat dans les mains de Walt).
Donald joue au Golf
Donald est un grand joueur de golf. Ce qu'il aime par-dessus tout, c'est jouer dans le calme et la sérénité. Mais c'est sans compter sur ses neveux, Riri, Fifi et Loulou, qui sont bien décidés, une fois de plus, à faire tourner leur oncle en bourrique...
Réalisé par Jack King, Donald joue au Golf (Donald's Golf Game) est sorti dans les salles américaines le 4 novembre 1938. Le film est distribué par la RKO.
L'affiche du film est dans la veine des affiches créées à l'époque, et qui présente chaque film en mettant en valeur non pas le titre, mais le nom de Walt Disney et du personnage principal de la série à laquelle appartient le court-métrage, à savoir ici, Donald Duck. A l'inverse, le titre du dessin animé est presque invisible, écrit en petites lettres dans un coin. On retrouve notre golfeur Donald, et ses trois neveux qui lui servent de caddie. L'esprit du film semble cependant faussé. En effet, l'un des neveux a "bidouillé" des club et un parapluie, afin d'abriter de la pluie un Donald qui semble enchanté. Pourtant, dans le court-métrage, on a plutôt un Donald râleur, et des gamins moqueurs qui "bidouilles" les clubs et les balles, mais aux dépends de leur oncle, et pas pour le protéger d'une quelconque pluie... Etrange donc que ce visuel pour illustrer ce film.
Une autre affiche fut publiée au moment de la ressortie du film, toujours sous l'égide de la RKO. Le visuel est identique, mais les couleurs sont moins nombreuses et moins vives. Exit le vert et le bleu. On se retrouve avec une pelouse jaune, et un costume de Donald noir, pour ne citer que ces deux exemples-là. Autre chose très étrange, est la mention de la série des Silly Symphonies, qui n'est pourtant pas la série dans laquelle le court-métrage se range... Bizarre donc que cette mention, qui pourrait laisser croire que l'affiche est une fausse (peut-être l'est-elle ?...)...
- Cliché pour la presse, Etats-Unis :
Super Noël Méga Givré - Super Noël 3
Noël approche et le Père Noël, Scott Calvin (Tim Allen), est débordé. En plus de l'organisation complexe de la fête, il doit veiller sur sa chère Mère Noël (Elizabeth Mitchell) qui est enceinte, et également s'assurer que ses beaux-parents (Alan Arkin et Ann-Margret), invités par cette-dernière, ne decouvrent pas sa réelle identité. Et par-dessus tout, il se retrouve confronté à son éternel assistant, Jack Frost (Martin Short), bien décidé à prendre sa place et à s'accaparer la fête de Noël...
Réalisé par Michael Lembeck, Super Noël Méga Givré - Super Noël 3 (The Santa Clause 3 : Espace Clause) est la suite de Super Noël et d'Hyper Noël. Il est sorti dans les salles américaines le 3 novembre 2006.
L'affiche du film est finalement assez classique. Reprenant le décor du Pôle Nord en bas, elle présente les deux personnages principaux interprétés par Tim Allen et Martin Short. A gauche, avec son rouge éternel, le mythique Père-Noël avec sa barbe blanche bien ronde, reconnaissable au premier coup d'oeil. A droite, son ennemi dans le film, le glacial Jack Frost, qui contraste avec le Père-Noël avec sa couleur bleue claire, ses cheveux hirsutes et pointus. Bien entendu, aux Etats-Unis, les deux personnages sont des mythes de Noël bien connus. Le Père-Noël, Santa Claus, évidemment, mais également Jack Frost, qui est pour sa part assez méconnu chez nous. Il s'agit, selon la mythologie anglo-saxonne, d'une sorte d'elfe incarnant le gel et le froid. A noter le jeu de mot du slogan, qui annonce non pas la "Night Before Christmas" (La nuit avant Noël) mais le "Fight Before Christmas" (Le Combat avant Noël), jouant ainsi sur le changement de la première lettre du mot "Night".
Une autre affiche, sorte de pré-affiche en fait, conserve le suspense quant au fond de l'histoire. En effet, elle présente Tim Allen dans le rôle du Père-Noël, elle présente le décor du Pôle Nord. Mais aucune trace de Jack Frost. Le Spectateur ne sait donc pas encore qui ou quoi va poser problème pour l'organisation de la fête de Noël.
A noter que le film fut également diffusé au El Capitan Theatre de Los Angeles, propriété de Disney, du 3 novembre 2006 au 4 janvier 2007.
Super Noël Méga Givré - Super Noël 3 n'est jamais sorti en France, ou du moins pas dans les salles de cinéma. Il fut édité directement en DVD le 21 novembre 2007...
- Allemagne :
- Italie :
- Québec :
- Vénézuela :
- Clichés pour la presse, Etats-Unis :
- Photos de l'avant-première hollywoodienne du 29 octobre 2006 :
Tim Allen et sa femme, Elizabeth Mitchell et Chris Soldevilla, Wendy Crewson, Sammi Hanratty, Liliana Mumy, Spencer Breslin, Aisha Tyler, Judge Reynolds, Q'Orianka Kilcher, Ryan Shelker, Art LaFleur, Jay Thomas, Eric Lloyd, Michael Dorn, Cameron Monaghan, Charlie Stewart, Daryl Sabara, Michael Urie, Le réalisateur Michael Lembeck, Ali et AJ Michalka, Mitchell Musso, Zane Huett, Ed Begley Jr et Jon Voight ; Tim Allen avec Spencer Breslin, Wendy Crewson, Bob Iger et Dick Cook...
La Gnome-Mobile
Dans une majestueuse forêt du Nord de la Californie, un vieux millionnaire excentrique, D.J. Mulrooney (Walter Brennan), et ses deux petits enfants Elizabeth et Rodney (Karen Dotrice et Matthew Garber) croise un jour le chemin de Jasper (Tom Lowell) et Knobby (Walter Brennan), deux gnomes persuadés d'être les derniers de leur espèce. A bord de la Rolls-Royce de Mulrooney, ils partent à la recherche des autres petits êtres. Commence alors pour les humains comme pour les gnomes une aventures pleine de rebondissements...
Réalisé par Robert Stevenson, le metteur en scène de Darby O'Gill et les Farfadets, Mary Poppins, Un Amour de Coccinelle, Les Enfants du Capitaine Grant ou encore de L'Apprentie Sorcière, La Gnome-Mobile (The Gnome-Mobile) est l'un des derniers films produits du vivant de Walt Disney. Il rassemble l'acteur Walter Brennan, ainsi que les deux enfants vedettes de Mary Poppins, Karen Dotrice et Matthew Garber, pour lequel c'est le troisième et dernier film. A noter que la bande originale est l'oeuvre des frères Sherman, également crédités au générique de Mary Poppins.
La Gnome-Mobile est sorti dans les salles américaines le 12 juillet 1967.
Plusieurs affiches furent créées pour la promotion du film, chacune avec un aspect crayonné. Le premier visuel reprend l'image devenue emblématique de la Rolls-Royce jaune, lancée à toute allure au coeur de la forêt, avec à son bord Mulrooney, ses enfants, et les gnomes. La Seconde affiche reprend ce même visuel en petit, donnant la part belle à un autre dessin, cette fois représentant les personnages joués par Walter Brennan, à savoir Mulrooney et le gnome Knobby, l'un, amusé, pointant l'autre, énervé, sous le regard souriant des enfants. On retrouve la voiture de luxe sur la troisième affiche, avec l'ajout d'images du film. A noter les slogans. Le film est vendu comme le plus drôle de l'année, provoquant un rire toutes les minutes, et narrant la "grande" histoire de très "petits" personnages !
La Gnome-Mobile est ressorti aux Etats-Unis en 1976.
Les visuels des affiches sont identiques à ceux de la première sortie. Les seules indications permettant de dire qu'il s'agit d'une nouvelle sortie est la mention "re-released by Buena Vista Distribution", ainsi que le slogan, qui est différent.
- Affiche espagnole :
- Argentine :
- Grande-Bretagne :
- Japon (8 mars 1969) :
- Ex-Yougoslavie :
- Photos d'exploitation, Etats-Unis :
- Cliché pour la presse, Etats-Unis :
- Dossier de presse, Etats-Unis :
- Synopsis, Japon :
- Programme, Ex-Yougoslavie :
- Photo d'exploitation, Mexique :
- Photos d'exploitation, Royaume-Uni :
Tarzan
Créé en 1912 par Edgar Rice Burroughs, le personnage de Tarzan est devenu avec le temps l'une des légendes du cinéma, avec plus de 30 films reprenant ses aventures dans la jungle. Et au milieu des années 1990, les studios Disney mettent en chantier leur propre version de l'histoire de "l'homme singe" dans ce qui est leur 37ème grand classique.
Réalisé par Kevin Lima et Chris Buck, le film s'ouvre sur le naufrage d'un voilier au large des côtes africaines. Seule une famille parvient à survivre à la catastrophe... Mais une fois sur la terre ferme, le danger est partout... Et seul le bébé échappe aux griffes de la panthère Sabor, sauvé in-extremis par une maman gorille, Kala, qui décide de l'adopter et de lui donner le nom de Tarzan. Intégré au sein du clan dirigé par Kerchak, l'enfant apprend auprès de ses amis, la gorille Tok et l'éléphant Tantor, les rudiments de la jungle. Mais sa vie est bouleversée lorsque des explorateurs européens, menés par le chasseur Clayton, débarquent dans la région. Il découvre alors qu'il n'est pas un gorille, mais un humain, et qu'il existe d'autres représentants de son espèce. Tombé sous le charme de la belle Jane, il doit alors choisir à quelle famille il appartient : celle des gorilles ou celle des humains...
Tarzan est sorti dans les salles américaines le 18 juin 1999.
La première affiche du film fut publiée plusieurs mois avant la sortie du film. Clairement, elle annonce le film pour une sortie en 1999, sans préciser pour autant une date précise. Elle plonge le spectateur au coeur de la jungle profonde, où on découvre, au loin le personnage central, Tarzan, une lance à la main. Rien ne filtre de l'histoire... Mais en même temps, qui ne connait pas l'histoire de l'homme-singe, élevé par des gorilles ? Inutile alors de s'apesantir sur ces éléments de scénario. L'affiche ne donne que l'atmosphère du film, connue et pourtant très mystérieuse. C'est typiquement le genre d'affiche pleine de poésie et de mystère que les studios Disney affectionnaient à l'époque. En effet, on retrouve cette même envie de ne pas trop en montrer sur certaines affiches de Dinosaure, Atlantide l'empire perdu ou La Planète au Trésor. Chacune reprend en effet une image très vague, avec seulement un personnage ou un symbole, assez vague ou éloigné, qui pose l'ambiance de ces films.
Une autre préaffiche fut également créée. Elle aussi place le film en 1999, sans donner une date plus précise. Et à nouveau, un visuel plein de mystère et de poésie. Une image superbe, en somme. Un crayonné de l'animateur en chef du personnage, Glen Keane, représentant le héros de l'histoire, Tarzan, fixant le spectateur. Un slogan apparaît : "An immortal Legend, as you've only imagined", indiquant clairement que le personnage est cette "légende immortelle" que chacun connaît. A noter cette effet de vieux papier, plié, décoloré, usé, qui semble placer l'histoire dans des temps assez éloignés de nous. Le même effet de papier abimé était aussi rendu sur l'affiche précédente.
L'affiche principale du film est beaucoup moins obscures que ses prédécesseurs. Son visuel fut également utilisé sur trois affiches différentes, indiquant (ou pas) la date de sortie. En effet, cette fois, les personnages principaux sont plus nombreux. Tarzan, bien sûr, qui semble traverser le dessin, comme s'il passait d'une liane à une autre. Mais également Jane Porter, sa célèbre Jane, dont le simple nom qui donna au cinéma l'une de ses répliques les plus célèbres ! Et puis Tantor et Tok, les deux amis de l'homme-singe. Enfin, la scène de la destruction maladroite du camp par les gorilles complète ce visuel. A noter, encore une fois, un effet vieilli donné par cet aspect de vieux papier, et cet aspect de crayonné, comme coloré avec de la véritable peinture, et patiné par le temps.
Distribué par Gaumont Buena Vista International, Tarzan est sorti dans les salles françaises le 24 novembre 1999.
Le visuel est celui d'une des préaffiches américaines, qui place Tarzan au coeur de la jungle.
Deux autres affiches furent également utilisées. L'une reprenait un visuel de Sabor, la panthère, et l'autre un visuel de Tantor et Tok.
Toujours en France, le film fut également présenté pendant tout l'été 2000.
- Affiche "internationale" :
- Pays d'Amérique du Sud (juillet 1999) :
- Australie (9 septembre 1999) :
- Grande-Bretagne (22 octobre 1999) :
- Hong Kong (10 juillet 1999) :
- Dossier de presse, Etats-Unis :
- Photos d'exploitation, Etats-Unis :
- Clichés pour la presse, Etats-Unis + France :
- PLV, Etats-Unis :
- Dossier de presse, France :
- Dossier de presse, Japon :
- Photo d'exploitation, Allemagne :
- Publicités, Etats-Unis, France, Argentine :
- PLV Sortie vidéo, France, 2005 :
- Catalogue Sotheby's, Etats-Unis :
- Rapport annuel de la Walt Disney Company, Etats-Unis, 1999 :
Les réalisateurs Kevin Lima et Chris Buck
Les superviseurs de l'animation : Glen Keane (Tarzan), Ken Duncan (Jane), Bruce Smith (Kerchak), Mike Surrey (Tok), Randy Haycock (Clayton) et Dave Burgess (Porter)
Le casting du film : Tony Goldwyn (Tarzan), Minnie Driver (Jane), Glen Close (Kala), Lance Henriksen (Kerchark), Rosie O'Donnel (Tok), Wayne Knight (Tantor), Brian Blessed (Clayton), Nigel Hawthorne (Archimède Porter).
Phil Collins, parolier et interprète des chansons du film.